Les vacances au jour le jour, 5

11 août
Pour la première fois en plus de dix ans, nous sommes allés à Berck-Sur-Mer : nous n’étions jamais descendus si loin vers le sud, presque à l’entrée de la baie de Somme ! Berck-Sur-Mer est célèbre pur sa grande plage –7 km de long, 1,5 km de large à marée basse– et ses phoques de la baie d’Authie, que nous n’avons pas vus…
Le tourisme y semble essentiellement local, et la sociologue de la population a priori très différente de celle de stations balnéaires plus huppées de la Côté d’Opale. Beau temps oblige, la plage à marée basse, était noire de monde ! La ville, qui a été assez largement bombardée durant les deux guerres mondes, présente peu d’architecture typique de la Côte d’Opale et les influences picardes se font déjà ressentir dans certaines constructions. Hors la plage, les rues de la ville sont assez peu fréquentées, les vacanciers garant leurs voitures au plus près de la plage, presque sur la digue ! Bilan du jour : 12566 pas


Menu du soir : un excellent Potjevleesch accompagné de ses frites : je l’ai d’autant plus apprécié que je n’en avais plus mangé depuis longtemps !
Playlist du jour : Charlie Watts – Jim Keltner, Project, 2000

12 août
Nous entamons une belle journée ensoleillée par une promenade matinale sur le port et la plage de Boulogne-Sur-Mer. Un port et ses abords, c’est à peu près aussi moche qu’une gare et ses abords, et tout aussi animé –les mouettes très sonores en plus ! -, avec, notamment, une vente à la criée qui se prolonge assez tard dans la matinée, à la grande joie des touristes !
Dans l’après-midi et la soirée, nos effectuons quelques emplettes à Wimereux et profitons de la digue très animée et ensoleillée. Malgré la mise en application du pass’ sanitaire, la fréquentation des restaurants est très élevée et réserver une table s’avère très compliqué ! Bilan du jour : 13617 pas.


Menu du soir : Planche de la mer à partager – Fish’n’chips
Playlist du jour : Beethoven, Sonate pour piano et violon n°9 « Kreutzer », Oïstrakh – Oborin, 1962

13 août
Longue promenade ensoleillée le long de la longue digue de Sangatte –on a longtemps cru qu’on pourrait longer la côte jusqu’à Calais, dont non voit le beffroi de très loin, mais la digue s’arrête avant-, par marée haute et vent puissant ! Comme le port de Calais est tout proche, le trafic maritime, malgré le Brexit, reste encore intense, même s’il est sans commune mesure avec ce q’ill était avant –nettement moins de gros tankers, mais toujours pas mal de ferries pour ceux qui ne souhaitent pas passer sous La Manche…-.
Le soir, nous « faisons une dernière digue », à Wimereux, à marée basse cette fois-ci, à la sortie du très bon restaurant que nous avons choisi pour notre dernier repas de vacances. Bilan du jour : 15608 pas.
Repas du soir : Soupe de poissons –je ne m’en lasse pas…– – Poitrine de cochon confite au jus réduit, frites : très bon !
Playlist du jour : Beethoven, Symphonie n°4, Kempe – Munich, 1972 -assez décevant-.

14 août
C’est l’heure du retour, sous un soleil resplendissant ! Non contents de traverser la Belgique et le Luxembourg, comme habituellement, nous faisons, de surcroît, un petit passage en Sarre allemande : c’est, grosso modo, la même distance qui sépare la sortie du Luxembourg de Strasbourg que si nous passions pr la France, et, par ailleurs, la route est moins encombrée –gros bouchons annoncés sur l’autoroute autour de Strasbourg-. En fait, la traversée de de la Sarre est très joliment vallonnée, et je connaissais assez mal cette région pourtant presque voisine, fréquentant plus régulièrement le land de Bade-Wurtemberg.
Playlist du jour : « Dans 500 mètres, tournez à gauche puis continuez jusqu’au rond-point et prenez la deuxième sortie. Continuez tout droit sur 16 kilomètres… » !

Les vacances s’achèvent dans une belle ambiance estivale !

Les vacances au jour le jour, 4

9 août

• Très belle promenade sur la digue de Sangatte, le paradis des kite-surfeurs, que nous ne connaissions pas, après quelques achats vestimentaires –je prépare déjà la reprise…-.

• En passant devant l’embarcadère ferroviaire du tunnel sous La Manche, nous avons pu constater qu’il était quasiment désert… Bilan du jour : 12466 pas.

• Playlist du jour : The Lords Of The New Churchill, Anthology, 2000
• Menu du soir : moules à la bisque de homard, frites – Café gourmand. Le repas de TheCookinCat était nettement moins satisfaisant: était-ce dû à la toute nouvelle mise en place du pass sanitaire qui a engendré une relative mais réelle désorganisation du service ?

10 août

• Promenade dans les dunes de la Slack, face Sud, prolongée d’une balade ensoleillée sur la digue de Wimereux puis de la visite de la petite église d’Ambleteuse : quelques jolies statues et un beau vitrail. Les petites maisons de marins-pêcheurs sont évidemment sans rapport avec les opulentes villas de Wimereux, de Hardelot ou du Touquet ! Bilan du jour : 12065 pas

• Menu du soir : une très originale soupe de poissons de la côte sous son cappuccino de rouille, une goûteuse poêlée de Saint-Jacques au basilic et, pour finir, un somptueux café liégeois : un très bon repas !
• Playlist du jour : The Specials, BBC Sessions.

Les vacances au jour le jour, 3

5 août

• Une météo magnifique durant presque toute la journée, et une promenade, d’Audresselle à Ambleteuse –deux petites communes de marins pêcheurs assez typiques, et très différentes dans leur physionomie des cités balnéaires qui bordent la Côte d’Opale– à travers les dunes de la Slack ! Et, soudain, le ciel s’est couvert et nous avons fini la soirée sous la pluie, sur la digue de Wimereux ! Bilan du jour : 13559 pas
• Menu du soir : délicieuse soupe de poisson, copieux filet de saumon et crème brûlée, le tout à un prix défiant toute concurrence.
• Playlist du jour : Alexis Korner, At The Cavern, 1964. Un excellent concert enregistré à Liverpool par le pionnier du British Blues.

6 août 

• Le-Touquet-Paris-Plage, sous un ciel rapidement changeant toutes les cinq minutes entre nuages menaçants et soleil éclatant… À marée basse et avec le vent, la plage, immense, s’est transformée en paradis pour cerfs-volants ! Suite à une déviation, nous sommes entrés dans la ville par une route que nous ne connaissions pas et avons ainsi eu l’occasion de découvrir quelques autres villas somptueuses… Bilan du jour : 14538 pas.
• Menu du soir : un très bon hamburger gastronomique, accompagné de frites parmi les meilleures que j’ai mangées.
• Playlist du jour : John Mayall And The Bluesbreakers, Bare Wires, 1968. Le saxophoniste est le même que celui du concert d d’la veille et oriente ces prestations vers un blues fortement mâtiné de jazz d’accès facile. Très chouette !

7 et 8 août

• Météo maussade, alternant averses plus ou moins modérées et pâle soleil. Nous nous replions vers nos bases arrières, à savoir la vieille cité de Boulogne-Sur-Mer et ses remparts et Wimereux et sa digue. Evidemment, ces sorties sont plus raccourcies que d’habitude… Bilan de ces deux jours : 7559 et 5541 pas : c’est peu !
• Menu du soir 1 : un dos de cabillaud sous croûte de parmesan déposé sur un lit de risotto au jus de vin corsé : très bon !
• Playlist du jour : Ange, Au-delà Du Délire, 1974
• Menu du soir 2 : soupe de poisson avec tous ses accompagnements !
• Playlist du jour 2 : Dvorak, Symphonie n°9 « Du Nouveau Monde », OP Berlin, Rafael Kubelik

Les vacances au jour le jour, 2

3 août 

• Très belle journée assez largement ensoleillée que nous avons passée à Montreuil-Sur-Mer, ville de Jean Valjean et de Fantine absolument magnifique : à mon avis, la plus jolie cité historique du Pas-De-Calais, et l’une des plus petite sous-préfecture de France –la commune compte moins de 2000 habitants de nos jours, mais en comptait plus de 10000 au Moyen-Âge, ce qui en faisait une ville de première importance et prestigieuse à plus d’un titre, d’autant qu’il s’agissait du seul port maritime du domaine royal des premiers Capétiens-.
Belle promenade sur les remparts qui protègent la vieille ville -Ville haute-, laquelle compte seize monuments historiques, ce qui est considérable pour une si petite commune. Bilan du jour : 11079 pas.


• Menu du soir, pris sur une très jolie terrasse arborée d’espèces rares dans un restaurant à la carte hyper-réduite –cliquer sur l’imagette de droite pour la voir en plus grand– : planche de charcuteries locales et marmite de poisson –encore un repas sans frites ! -.
• Playlist du jour : John Mayall, Blues From Laurel Canyon, 1968 -un beau récit musical de ses vacances en Californie…-.

4 août 

• Décidément, les infos météo, qu’elles soient intégrées à un système d’information en ligne ou plus « officielles » via Meteofrance sont trop pessimistes dans leurs prévisions : cette journée s’est avérée nettement plus belle que prévu, avec un beau soleil toute la journée et aucune goutte de pluie !
Tant mieux ! Nous en avons profité pour faire un rapide sur la plage et la digue en bois de Hardelot, commune qui compte un impressionnant nombre de villas Cordonnier impressionnantes et opulentesdu nom de l’inventeur de ce style assez codifié, Louis-Marie Cordonnier-installées sur les anciennes dunes en bord de mer, puis plus tard, dans une vaste pinède.
• En fin d’après-midi, une autre promenade sur une autre digue, à Wimereux, où les villas les plus jolies,  non moins opulentes mais généralement plus colorées, sont d’un style architectural tout-à-fait différent. Bilan du jour : 12613 pas.


• Menus du jour : très bonne pizza aux fruits de mer à midi et welsch complet –sans frites mais avec salade verte– le soir.
• Playlist du jour : Beethoven, Symphonie n°3 « Eroica », OP Vienne, Furtwängler, 1944.

Les vacances au jour le jour…

31 juillet
Départ après rapide chargement de la voiture – Passage à la pompe pour faire le plein d’essence – Escale au Luxembourg pour faire le plein de cigarettes : long bouchon sur le parking et gros ralentissement pendant la courte traversée du Duché, de nombreux juilletistes belges et néerlandais sont déjà sur le chemin du retour – Escale en Belgique pour faire le plein de nos estomacs : la météo belge est encore plus exécrable que la météo française, il pleut, par intermittence, à gros torrent !
Arrivée sur place avec une petite heure de retard : excellente surprise, le logement est tout neuf et remarquablement équipé – Wimereux : sortie sur la digue et 5640 pas à peine pour se dégourdir les jambes avant de rejoindre le restaurant.
Menu : moules au Sablé de Wissant / frites –évidemment– et café liégeois. Le repas pris en terrasse s’achève dans une grande fraîcheur automnale ! Comme je fais remarquer à TheCookingCat qu’il semble y avoir bien moins de monde que d’habitude, elle me rétorque que la salle du restaurant est pleine de touristes frileux !
Playlist du jour : ZZ TOP, Tres Hombres

01 août
• Une météo mitigée –mais moins pire que les prévisions de la TV, puisque nous n’avons pas essuyé la moindre averse– et les contingences du quotidien nous ont conduits à effectuer quelques emplettes : à Boulogne-Sur-Mer pour remplir très modestement le frigo, d’abord ; à Calais pour abonder, comme chaque année, ma garde-robe.

Fin d’après-midi sur une autre digue, à équidistance entre Calais et Boulogne. Belle promenade, d’autant que ladite digue proposait une magnifique exposition de photographes locaux : c’est le programme touristique de cette année, puisque d’autres digues seront égayées par d’autres photos ! Pas de quoi attirer le touriste étranger cependant –les Anglais, notamment, très nombreux en général, sont totalement absents cette année-, on se demande bien pourquoi ! La marée étant haute, la plage était réduite à peu de chose : j’ai oublié de relever les heures des marées et leur coefficient… Bilan du jour : 15150 pas.
Menu du soir : un excellent fish’n’chips. Les terrasses étaient désertées, mais les salles des restaurants bien remplies.
Playlist du jour : David Bowie, Aladdin Sane.
Lecture –très matinale– : outre un rapide tour de la presse quotidienne, je commence à rattraper le retard accumulé dans la lecture un peu exhaustive de la revue anglaise « Gramophone », dont le nombre de numéros récents en attente est assez conséquent… Ça va me faire une grande partie des vacances !

02 août
La météo reste toujours mitigée et n’est guère propice aux longues escapades : nous nous contentons de visiter la vieille ville de Boulogne-Sur-Mer et d’en faire le tour sur les remparts construits au 13ème siècle et désormais aménagés en jolie promenade. Sur la place centrale, Auguste Mariette et ses expéditions en Égypte sont à l’honneur. Cette balade propose une assez jolie synthèse de Boulogne-Sur-Mer, commune dont la santé économique et la démographie sont en déclin important depuis le début du 21ème siècle : l’Empire et la Troisième République glorifiant le Moyen-Âge, la ville ayant notamment donné son premier souverain au Royaume de Jérusalem. Cette promenade a été d’autant plus tranquille que les touristes étrangers sont toujours aussi peu nombreux. Bilan du jour : 11640 pas.
Menu du soir : une copieuse planchette apéritive « Terre-Mer » suivie d’une non moins copieuse et excellente choucroute de la mer –premier repas sans frites !-.
Playlist du jour : Joey Ramone, Don’t Worry About Me

Insolite !

Ce qui devait arriver arriva : rouler sur une piste cyclable en voiture, au bout d’un moment, ça coince –et ça coûte cher, accessoirement…- ! A vélo, en revanche, ça passe largement et cette piste est même très agréable ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist « Mozart à l’ancienne »

Le titre de cette playlist peut paraître trompeur : jouer « Mozart à l’ancienne », c’est grosso modo, faire fi des apports du courant « HIP », et non pas jouer Mozart sur instruments anciens ou en formation réduite comme il est le plus souvent de tradition désormais : ici, les albums du jour s’inscrivent dans la plus pure tradition d’une vision large et fondée sur un orchestre relativement opulent. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Les lecteurs les plus anciens de ce blog savent déjà que Mozart ne fait pas souvent partie du répertoire que j’écoute régulièrement et que je ne goûte pas spécialement cette musique je qui me paraît essentiellement belle et aimable mais assez rapidement lassante. Et pourtant, ce n’est pas faute d’essayer temps à autre… Comme aujourd’hui !

• La symphonie 40 trouve ici, à mes oreilles au moins –mais elle a été également, et de manière sans doute surprenante pour les mozartiens les plus aguerris, portée en tête d’une discographie comparée dans je ne sais plus quelle revue il y a assez longtemps…– la plus belle version de la discographie de cette oeuvre. C’est la seule oeuvre symphonique de Mozart que j’écoute un peu régulièrement, au sein d’un corpus abondant mais de qualité très inégale à mon avis.

• La symphonie 41 est sans doute la plus ambitieuse du compositeur : je ne savais même plus à quoi elle ressemblait –hors la fugue finale très connue– avant de la réécouter ce matin –c’est, finalement, mieux que dans mes lointains souvenirs-, dans une interprétation très célèbre tirée d’une fameuse intégrale, qui fut longtemps la seule inscrite au catalogue et y est quasiment toujours demeurée sous une forme ou une autre –cliquer sur l’imagette de droite pour la voir en plus grand– : je n’ai écouté les 34 premières qu’une seule fois sans doute, et je ne compte pas y revenir très souvent : pour le coup, les versions HIP de ces oeuvres « de jeunesse » –sachant que Mozart est mort à 35 ans– me semblent vraiment préférables…

• Enfin, les 20ème et 23ème concertos pour piano sont, de très loin, mes deux préférés de Mozart, qui en composa également beaucoup –là encore, le corpus est abondant et me semble assez inégal, mais d’une qualité cependant plus constante que pour les symphonies-. Je chéris cette version, totalement désuète et surannée sans doute, mais réellement formidable !

Le bonheur du jour, c’est que je peux désormais –enfin ! – commencer à lever le pied professionnellement parlant et envisager de bientôt « penser vacances » après une période bien chargée !

Un nouveau dimanche à l’opéra

Alors qu’un semblant de vie sociale reprend peu à peu ses droits –pourvu que ça dure– et après avoir fait le tour des bureaux de vote dès leur ouverture, c’est confortablement installé à l’opéra que je passe la matinée, en fort belle compagnie ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

« Le chevalier à la rose », de Richard Strauss, n’est pas l’opéra du compositeur vers lequel je me dirige le plus spontanément –ce serait plutôt Salomé ou Elektra-, mais je l’apprécie beaucoup également, malgré son argument un peu kitsch et aux rebondissements improbables : une vraie comédie de moeurs très « lubistchiennne » !

« A Vienne, dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Alors que la Maréchale se réveille d’une nuit passionnée avec son amant Octavian, son cousin le Baron Ochs vient la déranger pour lui annoncer ses fiançailles avec la jeune Sophie : il faut, selon les traditions, qu’un chevalier aille porter à la fiancée une rose d’argent avant le mariage.
Octavian est choisi pour être le porteur de la rose. Toutefois, lorsqu’il vient présenter cette rose à Sophie, les deux jeunes gens succombent à un coup de foudre immédiat. Désormais, Sophie n’est plus guère pressée d’épouser Ochs, aussi pleutre et grossier que prompt à s’encanailler avec la première femme de chambre venue.
Le piège tendu par Octavian se refermera sur lui, et le Baron Ochs, surpris en galante compagnie, n’aura plus qu’à renoncer à ses noces, et à s’effacer devant l’amour solaire de Sophie et Octavian – cause de quelques larmes chez la Maréchale. »

La version de ce jour –un excellent enregistrement studio de 1954 très bien remastérisé pour le CD-, qui propose le gratin de la troupe des chanteurs de l’opéra de Vienne dans les années 50 –mention spéciale pour l’Octavian de Sena Jurinac, absolument remarquable-, est assez formidable, plus rude et anguleuse et moins portée vers la nostalgie très « fin de règne » que certaines propositions enjolivées, voire enrubannées, que l’on entend souvent dans cet opéra.

J’aime beaucoup cette approche originale !

Leçon de peinture urbaine…

… pour supporter les canicules ! C’est à lire icien Anglais– et c’est vraiment intéressant ! Comme nous devrons prochainement procéder à un ravalement de façade, j’en parlerai à mon syndic, ça va encore faire jaser dans les chaumières  !

Dans certaines contrées très chaudes, ils commencent même à repeindre les routes en blanc –du coup, on ne voit plus le marquage au sol ?! -.

En attendant, je serai piqué une seconde et dernière fois aujourd’hui… De quoi passer de prochaines vacances sereines et presque démasqué !

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