Je me confine, donc je mange…

Bilan au terme de ces deux premiers jours de confinement :
je télétravaille, ce qui, en cette période, est épuisant : appels téléphoniques incessants, échanges de mails frénétiques -plusieurs centaines hier- et vidéo-conférence lorsque cela veut bien fonctionner, c’est-à-dire pas si souvent que cela, puisque c’est aussi tributaire de la robustesse des connexions des uns ou des autres, d’une part, et d’un engorgement certain de la tuyauterie mondiale, d’autre part : on dépasse désormais assez largement les 10 térabits de données par seconde sur le réseau mondial !

• je fais le tour du parc de la résidence chaque jour (2 ou 3 fois quinze minutes), c’est un espace privé sans maréchaussée, mais ça atteint vite ses limites !

• je cuisine : ça détend, ça occupe les mains et l’esprit pendant une petite heure et le résultat est plutôt goûteux ! -Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Et, sinon, je lis et j’écoute de la musique, comme chaque jour « normal ».

Etat d’urgence – Confiné ?!

Depuis midi, me voilà confiné, ou presque ! Je suis encore passé au bureau toute la matinée –grand moment de solitude, mais voyage express pour cause de route quasi-déserte…– régler les urgences urgentissimes qui s’accumulent depuis vendredi et qui m’ont valu un week-end bien bien bien rempli à en traiter une multitude d’autres !

Ma carte professionnelle me vaut la mansuétude des forces de l’ordre lors de mes éventuels déplacements professionnels, mais un collègue qui avait oublié la sienne a eu droit aux remontrances de la maréchaussée, à exactement 12:05 : la ville où il exerce était bouclée par les forces de l’ordre et il fallait monter patte blanche ! J’ai, également, consciencieusement rempli l’attestation de déplacement dérogatoire en 5 exemplaires, que j’emmène lors de chacun de mes déplacements !

Scène surréaliste ce matin sur le parking du supermarché où je fais régulièrement le plein d’essence : à 07:15, une file d’une cinquantaine de personnes au moins attendait déjà l’ouverture des portes du magasin, dont les portes n’ouvrent qu’à 08:30 !!! De l’art de perdre son temps, non ?

Etat d’urgence, ou presque…

Comme d’habitude, j’étais le premier –et le seul…– à voter, tôt ce matin, muni des documents nécessaires et d’un stylo que j’avais apporté –noir indélébile, mais le bleu convient aussi-. J’ai hésité à prendre une paire de gants en latex –TheCookingCat en a des boîtes pleines, c’est normal vu son métier…-, et j’ai finalement renoncé. Et je ne portais pas de masque : c’est grave, docteur ?
En revanche, des flacons de gel hydroalcoolique sont disponibles –ils devraient les coller sur la table, ça évitera les vols– et le bureau de vote était organisé conformément aux dernières recommandations. Je ne sais pas encore si j’assisterai au dépouillement ce soir, mais il risque d’être plus rapide que d’habitude, le taux d’abstention s’annonçant vraisemblablement élevé !

Au retour, je ne suis pas passé par la case petit noir au comptoir : la brasserie voisine est fermée depuis hier soir –je me demande ce que les restaurateurs vont faire de leur stock de denrées périssables– : du coup, arrivé à la maison, je me suis refait un expresso ! La ville est déserte : certes, nous sommes dimanche matin et il est encore relativement tôt, mais pas le moindre petit joggeur ni le moindre promeneur de canidé… sauf sur le chemin du retour, via un petit détour par la boulangerie : devant sa porte, une file de dix clients s’étirait sur près de 50 mètres, et l’accueil en boutique se faisait un par un ! L’Alsacien est naturellement méfiant – prudent – discipliné – respectueux des règles édictées –ou un peu de tout cela…– !

Le plus surprenant reste encore à venir : le spectacle des jours suivants risque de ressembler à ce spectacle dominical !

En attendant, mettons tout cela en musique, avec cette chanson somme toute assez rare et peu connue d’un groupe archi-célèbre…

COVID-19 : devinette belge -et autres considérations-

Les cabaretiers belges n’ont pas perdu leur sens de l’humour, malgré la propagation du Coronavirus-19 un peu partout en Europe… Ainsi, pour la consommation de deux pintes de la marque CORONA, ils vous offrent une troisième pinte d’une marque différente : l’objet de la devinette est, justement de trouver la marque de cette autre bière, assez logique somme toute ! Evidemment, un engorgement des toilettes est à prévoir… Mais c’est un moindre mal !

Sinon, afin de maîtriser parfaitement l’impédance assez basse de mes enceintes et d’en profiter dans les meilleures conditions possibles, je me suis offert ce joli joujouen importation directe d’Angleterre et à prix défiant toute concurrence par rapport à ceux pratiqués en France, avant l’entrée en vigueur effective du Brexit…-, très agréable aux oreilles de surcroît ! Puissance –pour elles– et plaisir –pour moi– accrus ! Un bonheur n’arrivant jamais seul, TheCookingCat le trouve très joli, dans sa livrée « Lunar Grey » ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

,

Recette pour devenir millionnaire…

C’est plus facile qu’il n’y paraît, dès lors qu’on a acquis une certaine notoriété… De toute façon, quand on aime, on ne compte pas, c’est bien connu !

  1. Organiser quelques concerts dans des stades, pas besoin d’en faire trop non plus, de toute manière, les gens viennent de loin pour remplir le stade et les tickets sont vendus en quelques heures –mais la vente aux vieux fans, comme moi par exemple, est ouverte quelques heures avant la vente au grand public-…
  2. Pratiquer des tarifs exorbitants : pourtant, le son dans un stade est loin d’être excellent, mais les tarifs sont à faire peur. En gros, selon la place et pour les « non VIP », il vous en coûtera, pour une personne, entre 200$genre place assise lointaine où tu vois des lutins s’égayer sur une scène surdimensionnée– et près de 2500$à ce prix, on t’offre un petit morceau de pelouse à relative proximité de la scène et plus ou moins dans l’axe de celle-ci-.

A ce prix-là, ils pourraient embaucher un super guitariste, et même le payer décemment : à tout hasard, je leur proposerai Mick Taylor !!!

And the winner is…

Pour comprendre le titre de cette notule, il va vous falloir un peu d’efforts !
• D’abord, vous rendre ici pour lire l’article traitant du sujet.
• Poursuivre ensuite par là, pour contempler les jolis dessins interactifs en couleurs !
A la fin, le nom du « vainqueur », qui conserve une belle avance bien que la méthodologie d’établissement du classement le pénalise quelque peu, n’est même pas étonnant… Indéboulonnable, qu’ils disent ! Au moins à ce jour…

A moi les jolis bokeh !

Pour compléter ma panoplie de vacancier photographe-compulsif, j’ai mis à jour mon matériel : je vous annonçais il y a quelques mois déjà avoir changé d’appareil photo moyennant modestes finances. Le nouvel appareil est vraiment très bien, mais les objectifs parfaitement adaptés à l’ancien trouvaient quelque peu leurs limites.
L’achat d’un objectif à focale fixe –35 mm, soit ±50 mm sur un capteur 1/2 format– bien plus lumineux me permet désormais de franchir ces limites ! A moi les jolis bokeh ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Retour en haut