Test de connexion : c’est bizarre !

DiablotinQuizJe voulais en avoir le coeur net : avec Chrome, le ping, ou délai de latence –11ms– est  excellent, et nettement meilleur qu’avec Safari –27ms-, où il n’est que très bon. Il faudra qu’on m’explique le pourquoi du comment…
A contrario, Safari est très économe en ressources consommées, quand Chrome semble éminemment dévoreur en la matière…

Je sais bien qu’à ce bon niveau-là, tout cela n’est pas excessivement important, mais j’aimerais bien comprendre pourquoi, malgré tout !

TestConnexion2Edit tardif : en la matière, rien n’est simple et tout semble décidément très relatif ! Avec un autre service de test, Safari a un ping meilleur –3ms– que les autres navigateurs –4ms-, les autres valeurs étant par ailleurs tout-à-fait cohérentes…

Cliquer sur l’image pour voir en plus grand ces drôles de résultats…-.

,

Concours de rangement !

Sardequin affirme que le bureau de son Mac est bien rangé ! Que nenni à mon avis ! Un bureau bien rangé, c’est plutôt ça !!! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

BureauiMac

Le Dock est escamotable, escamotons-le donc… Il suffit de descendre en bas de l’écran pour le voir apparaître, à la demande ! Quant au reste, chaque chose à sa place, qui n’est pas le bureau 😉 ! Selon mes standards, du moins…

Par ailleurs, mon convoi vers la déchetterie se prépare : au menu, une vieille, encombrante et lourde TV cathodique trinitron qui pèse la bagatelle de 57 kg et qui nécessitera un peu de main d’oeuvre et d’huile de coude pour le transport; le lecteur-graveur de CD du bureau qui ne fonctionne plus du tout depuis quelques temps : c’est irréparable pour cause d’obsolescence programmée et du fait de son grand âge; les vieilles choses dont je vous parlais hier, un vélo tout cassé et sans doute quelques petits trucs que The CookingCat ne manquera pas d’y ajouter !

La musique qui a accompagné la rédaction d’une partie de cette notule vous est proposée ci-dessous. Ça s’appelle « Trash » et c’est parfaitement adapté –en plus d’être très bien et vivifiant à cette heure…-, non ?

, ,

In memoriam. Le souvenir des vieilles choses

Ici, je vous parle d’un temps que les plus de trente ans auront du mal à appréhender ! En faisant du rangement dans mes tiroirs pleins de nouilles et de vieilleries, j’ai retrouvé –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– :

VieilesChosesInf

un lecteur SyQuest EZ135 en SCSI, avec ses cartouches, qui ne peut plus me servir à rien, puisque l’interface de connexion –le haut de gamme de l’époque, bien supérieur au port parallèle des PC d’antan– est totalement obsolète depuis plus de quinze ans !
SCSIPortAvec un port SCSI, on pouvait chaîner 7 éléments sur le même port d’un ordinateur, il fallait simplement attribuer un numéro d’ordre à chaque élément et terminer la chaîne par un « bouchon terminateur » –cliquer sur l’imagette pour voir à quoi ça ressemblait-.
Ainsi, sur le même port étaient branchés le SyQuest, un graveur de CD Rom et un scanner. C’était un excellent outil de sauvegarde, à une époque où un disque dur n’excédait pas quelques centaines de Mo. Il me reste même quelques cartouches, dont je ne peux malheureusement rien faire, mais si je les mets dans le lecteur, l’ensemble semble fonctionner parfaitement –et même silencieusement-. J’ai gardé un bon souvenir de cette chose, les cartouches fonctionnant comme de petits disques durs de 135 Mo, et non comme des disquettes, au contraire de l’autre chose que j’ai retrouvée, qui est donc…

… un lecteur de disquette Iomega ZIP 100 : les cartouche de ce lecteur –USB, et donc exploitable-, qui fonctionnaient comme de « super-disquettes » permettaient d’accueillir 100 Mo de données. J’en ai une douzaine, je ne sais même plus exactement ce qui y figure, mais je vais m’empresser de vérifier. Je pense qu’il s’agit essentiellement de vieux fichiers Quark XPress que je ne pourrai pas ouvrir avec les versions actuelles du logiciel, mais peut-être y-a-t-il des sorties PDF de ces fichiers ? J’ai même retrouvé une disquette « Transfert imprimeur » !

Entre les deux, la guerre a fait rage, et ils ont assez longtemps accompagné certains des Macs présentés ici. Des deux, j’ai toujours préféré le SyQuest, beaucoup plus rapide et solide, mais il était beaucoup moins répandu, plus cher, et m’a donc peu servi d’outil de transfert. Evidemment, tout cela est maintenant archi-obsolète, en cette époque de clé USB bien plus pratique et moins chère !

Quoi qu’il en soit, une grande partie de tout cela et des tonnes de nouilles de câbles, vont partir à la déchetterie illico ! En attendant, et puisque Sardequin présentait son Dock encombré hier, presque incidemment, en voulant nous présenter son chatbois, voici le mien, beaucoup plus réduit ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Une jolie frise pour achever cette notule sans quitter tout-à-fait sa problématique !

DockiMac

,

Playlist baroque, ou presque

Après deux jours de répit et d’occupations variées –transport de nains vers diverses activités de vacances sous le soleil, par exemple…-, je me suis concotcé une petite playlist baroque, ou presque –il y a un intrus, assez facile à identifier, dans cette liste !-. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist13042016

Le problème –selon moi– de la quasi-totalité de la musique baroque, c’est qu’elle n’est pas faite pour le disque, ou alors, hors certaines oeuvres, plutôt destinée au 45T. En effet, les concerti grossi de Corelli, par exemple, sont tout-à-fait admirables individuellement –et, comme Les Quatre Saisons de Vivaldi, l’oeuvre supporte assez bien de nombreuses approches interprétatives-, mais leur écoute dans la continuité –2 pleins CD– s’évère assez vite assommante…
C’est pareil pour la quasi-totalité du répertoire de l’époque, au moins à mes oreilles ! Qui, par exemple, est capable d’entendre les 4 CD de la « Tafelmusik » de Telemann à la suite, alors même que l’ensemble est vraiment excellent replongé dans son contexte initial.

Pour la surprise, un petit extrait du disque intrus : c’est enregistré aussi tôt qu’en 1951, par le Philharmonique de Berlin, qui était encore l’orchestre de Furtwängler, et c’est étonnamment en style selon les standards de l’époque !

, ,

Playlist « La suite de la suite »

Parfois, quand j’ai un peu de temps, j’inscris mes playlist dans le cadre d’un projet plus global, mêlant recherches thématiques et lectures diverses. C’était le cas ces trois derniers jours, depuis l’écoute du « Berlin » de Lou Reed en live, prolongée hier par la réécoute du Velvet Underground, puis par cette playlist consacrée essentiellement à John Cale, son compère créatif au sein du groupe, qui connut une carrière en solo extrêmement riche et diversifiée.

Son dernier concert parisien constituait une recréation personnelle des deux premiers albums du groupe, que Lou Reed avait eu tendance à s’accaparer après sa dissolution -critiques à lire ici ou -. Et puis, Nirvana apparaît comme l’un des enfants spirituels du Velvet Underground et l’album écouté comporte, dans sa réédition, une reprise de « Here she comes now » très engageante. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist09042016

John Cale n’est pas moins personnel que Lou Reed –ni moins subversif, au contraire : mais il l’exprime différemment– dans ses compositions et sans doute bien plus varié dans les thèmes abordés –et, pour tout dire, beaucoup moins glauque en général-.
Musicalement, c’est souvent très ambitieux, son passé de musicien classique –interprète et apprenti-compositeur auprès de LaMonte Young– lui facilitant notablement la tâche : monsieur connaît la musique et ça s’entend : « Words for the dying » –en écoute intégrale ici– comporte ainsi des morceaux symphoniques illustrant des poèmes de Dylan Thomas, le tout est très classique et très agréable à l’écoute. Quant à « Paris 1919 », paru en même temps que Berlin, c’est un album admirable et inventif. A son écoute, on se dit qu’il valait mieux vivre à Paris qu’à Berlin, en 1973 !

, , ,

Playlist Très Grand-Est

CarteDerisionDepuis hier, j’habite dans le « Grand-Est », sans avoir déménagé 😉 !
Evidemment, tout cela dépend complètement de l’idée qu’on s’en fait selon le point vue auquel on se place : certains amis en Allemagne trouveront que cette nouvelle désignation est complètement… à l’ouest ! Faisons fi de ce mauvais esprit et soulignons cependant que tout cela dénote aussi un sacré manque d’imagination du fameux comité de réflexion mis en place pour trouver un nom adapté !

Pour le coup, c’est donc une playlist du très lointain et très grand-est que j’écoute aujourd’hui : musique aussi bariolée que les pochettes sont colorées, en fort contraste avec la playlist présentée hier !
Le CD consacré à Shostakovich, récemment sorti, est très bien, et très bien enregistré de surcroît : le contraste sonore est tout aussi saisissant ! Quant à la « Pathétique » de Tchaikovsky, elle est remarquablement interprétée par un tout jeune chef, bien trop tôt disparu.-Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist05042016

,

Playlist en noir et blanc

Une petite plongée dans le passé, depuis hier, avec cette playlist en noir et blanc –les enregistrements s’étalent de la fin des années 30 au début des années 50-.  Ils datent donc tous d’avant la généralisation de la stéréo, mais bénéficient tous d’une production très soignée et restent très facilement audibles de nos jours, même le plus ancien.
Alors donc, plus c’est vieux, meilleur c’est ? Que nenni ! Mais c’est un petit morceau d’histoire que l’on entend, avec sa part de mythe et de légende. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist03042016

Il y a des oeuvres que l’on ne jouera sans doute plus jamais ainsi –le Mozart de Beecham, très daté de style et d’approche; le Brahms de Furtwängler est très personnel– et d’autres que l’on aimerait entendre interprétées de manière aussi élégante et racée –le Strauss de Krauss-. Quant au Beethoven de Toscanini, aux sonorités très mates, il influença tout le courant HIP largement postérieur.

, , , ,

Intelligence artificielle : fonctionnement et perspectives

DiablotinQuizCette petite vidéo, très intéressante –le site « Science étonnante », de David Louapre est une mine d’informations à caractère scientifique présentées avec clarté et pédagogie– nous explique à la fois la problématique générale de l’intelligence artificielle –vidéo entière-, mais également le fonctionnement plus spécifique qui a permis à AlphaGo de gagner au jeu de GO contre l’un des tout meilleurs joueur au monde –à partir de 8 minutes environ-, au-delà de la seule puissance brute, suffisante aux échecs par exemple.

Notamment, on apprendra qu’une part intuition est désormais envisageable pour la machine, et que c’est ce concept qui reste à appréhender plus avant…

,

Statistiques du blog

StatsBlog1516Ce blog  a plus de lecteurs qui lisent plus de pages à chaque visite que je ne le croyais… Et qui viennent parfois de contrées improbables, lointaines et non francophones : je me demande bien ce qu’ils peuvent comprendre à la lecture de certaines notules  😛  ! je devrais me lancer dans une édition bilingue ou trilingue !!!

Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et en évitant de vous évanouir à la lecture de ces chiffres stratosphériques !-.

Playlist « cohérence visuelle »

Au début des années 60, et jusqu’à au milieu de cette décennie, Herbert Von Karajan devint pour quelques années «artiste exclusif» pour la firme Deutsche Grammophon et enregistra avec «son» orchestre philharmonique de Berlin, dont il avait été nommé chef à vie –la seule condition qu’il posa pour accepter le poste– quantité de disques qu’il vendait comme des petits pains.

A cette époque, la firme entreprit, pour une dizaine d’albums, de donner une forme d’unité visuelle aux productions du maestro –et sans aucune photo d’icelui-, pour mieux souligner sans doute le caractère idiosyncrasique qui commençait à poindre dans son approche des oeuvres enregistrées : un genre de clair-obscur prenant appui sur un sens exacerbé de la ligne mélodique et les cordes graves de l’orchestre, mais aussi sur une rigueur rythmique affirmée.

Playlist30032016

Cela nous vaut de bien jolies pochettes –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, certes, mais, surtout, un Sibelius épatant, un Debussy – Ravel à peine moins impressionnant –ce disque a toujours eu une côté remarquablement élevée à l’étranger, où on le considère comme l’un des absolus fleurons de la discographie de Debussy, beaucoup moins en France, où, c’est bien connu, on n’y connaît rien quant à la musique française…-, un Berlioz aux timbres impressionnants, mais très éloigné de cette fameuse french touch, et un Stravinsky à la sauvagerie raffinée –il fera mieux dix ans plus tard-.

, , , , ,
Retour en haut