Les papys du rock gardent la côte !

Je vous avais signalé ici la sortie de cet album, tout en vous disant tout le bien que j’en pensais ! Visiblement, je ne suis pas le seul à l’apprécier !

Ça faisait des lustres qu’un tel événement ne s’était pas produit pour le groupe –et, quoi qu’il en soit, pas dans ces proportions– : mes archives me disent depuis la sortie de « Voodoo Lounge », en 1992, soit un bon quart de siècle ! Cet attrait de nouvelles générations pour le blues semble par ailleurs confirmé par l’accueil chaleureux réservé à cet autre excellent album –son 65ème !- de John Mayall : « Talk about that » –cf. un extrait ci-dessous-. –Cliquer sur l’imagette de droite pour la voir en plus grand-.

A plus de 80 ans, le « parrain du blues anglais » a plus que de beaux restes, et sait toujours s’entourer avec beaucoup de réussite. Ici, c’est notamment le guitariste américain Joe Walsh –ex-Eagles, sauf qu’ici, il se contente de jouer, plutôt très bien, de la guitare sans chanter, et c’est tant mieux !– qui est mis en vedette. Evidemment, ce disque se vendra moins bien que l’album des Rolling Stones, mais il n’en est pas moins très bon par autant et mérite un solide coup d’oreilles.
Le blues a encore de beaux jours devant lui !

Playlist « Envie de plage »

A force de me projeter vers les vacances du prochain mois d’août –la maison, à quelques centaines de mètres de la plage, est réservée et la carte vous en dira plus quant à notre destination estivale, qui s’avère être la même que celle des années passées : je suis d’une grande constance dans mes choix, parfois… et c’est la mer la plus proche d’ici !-, j’ai une irrésistible envie de plage, de jeux de plage et de paysages marins depuis quelques jours…

La playlist de ce jour y répond partiellement, et décrit des joies maritimes -le surf, le surf et le surf- qui me parlent donc complètement !
Aucun de ces albums n’atteint la demi-heure, la variété de style n’est pas une donnée essentielle ici. Mais une certaine douceur de vivre, de vraies beautés du côté des harmonies vocales et le caractère invariablement gai et aimable des compositions font oublier la minceur du propos. Au tout début des années 60, les Beach Boys étaient un vrai bon groupe, très au-dessus des Beatles à mes oreilles, et même si je leur préférerai toujours les inoubliables –et à peine plus tardifs– « Pet Sounds » et « Smile », ces quatre albums, enregistrés presqu’à la chaîne entre 1962 et 1964, constituent néanmoins un véritable rayon de soleil et de joie de vivre. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Une bonne humeur estivale, et un vrai avant-goût de vacances, en quelque sorte !

Jolie surprise pour accompagner avril

A nouveau mois, nouvelle surprise, comme traditionnellement… Celle d’avril me semble très alléchante, vraiment, mais je vous en laisse juges ! Comme toujours également, la surprise du mois précédent est désormais supprimée.

En attendant, et pour accompagner le programme de ce jour –mettre à jour mon agenda pour les deux mois à venir, ce qui constitue un vrai casse-tête, d’une part; trouver un lieu de villégiature pour les vacances d’été, d’autre part, mais ça, c’est agréable et j’ai ma petite idée !-j’ai commencé la matinée assez tôt avec un petit coffret trouvé pour presque rien –5,99€– dans un bac à soldes à Karlsruhe, où il était en plusieurs exemplaires : je pense que les Allemands passent un peu à côté de cette musique…

J’ai déjà eu l’occasion de vous parler ici ou là de Pascal Rogé, très discret et néanmoins remarquable pianiste français, excellent dans Satie, Saint-Saëns et Ravel. Ici, il interprète –très bien si j’en juge les critiques glânées sur la toile– les oeuvres pour piano de Francis Poulenc, compositeur que je connais assez mal au demeurant. Une musique souvent élégante et raffinée, un peu sèche cependant pour une écoute en continu : je n’épuiserai pas ce coffret en une seule matinée, c’est une certitude !

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