Playlist « N’importe quoi ! »

La playlist de ce jour est construite sans queue ni tête : juste quelques albums dont je souhaitais me « re-souvenir » parce qu’ils étaient quelque peu sortis de ma mémoire. Ce qui me vaut deux excellentes surprises et deux « bons moments sans plus » ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Les deux « bons moments sans plus » sont les deux albums « du milieu » de l’illustration : le second album de Lynyrd Skynyrd, dont le hit « Sweet Home Alabama » constitue le premier titre, propose du blues-rock « sudiste », avec de belles envolées de guitares et une rythmique un peu molle typique de ces années-là : c’est très bien à petites doses, mais assez loin de ce qu’a pu réaliser, par exemple, The Allman Brothers Band, sacrément plus créatifs !

Quant aux deux symphonies de Schumann et Schubert par Günter Wandun concert avec l’orchestre de la Radio de Hambourg, par un excellent chef-artisan qui acquit une réputation « mondiale » sur le tard, à près de 70 ans…-, c’est moins bon en définitive que dans mon souvenir, et j’en attendais un peu plus, surtout pour la quatrième de Schumann, curieusement un peu atone à mes oreilles, et qui ne décolle jamais vraiment : un très bon concert, évidemment, et un couplage plutôt bienvenu, mais dans ce répertoire archi-rabâché, je préfère d’autres versions plus marquantes.

En revanche, les deux autres albums sont excellents, le premier, déjà évoqué ici, proposant surcroît une prise de son de démonstration, ce qui est important pour cette oeuvre ! Quant à celui de Fischer-Z, je ne m’en souvenais plus du tout; et il s’avère, au bout du compte, presqu’aussi bon que « Red Skies Over Paradise », qu’il précède dans la courte discographie du groupe : c’est vous dire si je l’ai apprécié !

La devinette facile du jour !

Observez le drôle de document que vous pourrez –essayer de–  lire, sur votre gauche –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– : à votre avis, à quoi sert-il ? Et peut-il d’ailleurs être valablement utilisé ?

Incidemment, et pour poursuivre dans cette entreprise de triturage de vos méninges, il reste une devinette très ancienne qui a échappé, en son temps, à votre sagacité, et que vous pourrez retrouver ici :  normalement, elle est assez simple à résoudre…

Deux pour le prix d’une, il fallait oser !

Pour vous, j’ai testé…

…macOS Big Sur !

Une version semble-t-il si majeure qu’elle vient marquer la fin de MacOS X, après 20 ans de bons et loyaux services : il s’agit en effet de la version 11 de macOS, qui perd une majuscule au passage ! C’est plein de couleurs et de transparence, avec une volonté marquée, esthétiquement, d’unifier les interfaces macOS et iOS pour iPhone et iPad.

A l’usage, et jusqu’à présent, rien de très révolutionnaire, si ce n’est que j’ai quelque peu réorganisé certaines barres de menu des logiciels que j’utilise le plus, afin de retrouver rapidement mon fonctionnement habituel ! De même, les raccourcis claviers fonctionnent de manière identique –depuis quasiment la nuit des temps…-, ce qui est bien pratique pour la mémoire dactyle ! –Cliquer sur les images pour les voir en plus grand-.


Une nouvelle histoire (re)commence : après avoir testé, depuis 1989, les systèmes 6, 7 et 8 sous leurs différentes moutures avec des bonheurs divers –7.5.3 et 7.5.5 me remémorent d’assez pénibles plantages et, pour les anciens qui s’en souviennent, la nécessité de « jouer » assez souvent avec le gestionnaire d’extensions pour résoudre moults conflits…-, après avoir laissé de côté la version 9 de MacOS « Classic », j’ai connu MacOS X sous toutes ses déclinaisons –de la version initiale 10.0, tout-à-fait révolutionnaire à son lancement, à la 10.15 donc- sauf une que je n’ai jamais utilisée -MacOS 10.14 Mojave-.

Devinette américaine : la réponse…

Malgré vos efforts, la « devinette américaine » du 04 novembre est restée sans solution, même si les hypothèses formulées étaient audacieuses !

Donc, comme vous l’aurez compris, la seconde carte représentent les résultats des élections tels qu’ils étaient connus à cette date. Depuis, elle a un peu évolué, vers une tendance bleue…

La première carte représente la situation des Etats-Unis, ou plutôt désunis, au moment de la guerre civile, dite « Guerre de Sécession « dans nos contrées, en 1862. En bleu, les états fédérés, en rouge les états confédérés et en violet les états faisant partie de l’Union, mais où l’esclavage restait autorisé. En blanc, les territoires ne faisant pas encore partie des Etats-Unis.

Malgré des réactions exacerbées ici ou là suite au résultat de ces élections, il reste cependant très prématuré de penser qu’on pourrait s’orienter vers une nouvelle guerre civile…

Playlist expressionniste

Très belle playlist entamée ce matin, qui allie l’expressionnisme musical d’Alban Berg à de bien belles pochettes qui plus est ! –Cliquer sur l’image pour la voir en pus grand-.

Cadet de la Seconde école de Vienne, admirateur de Wagner et de Mahler et disciple –plus qu’élève– de Schönberg, Berg était celui des trois musiciens de cette école qui se satisfaisait le mieux des «formes classiques», qui n’entravaient pas sa créativité.
De fait, il reste relativement accessible à une oreille peu aguerrie, et l’ensemble de sa production –qui tient en peu de disques– mérite une écoute attentive : on y découvrira beaucoup de beautés cachées et une profonde humanité.

De la volatilité des prix…

Cette notule est en lien direct avec un petit article de Sardequin, qui nous cause Discogs, base de données, marché du disque et comportement de certains acheteurs !

Je n’ai pas les mêmes références que lui pour l’achat de mes disques –vu que je les achète généralement neufs, et brillants plutôt que noirs ! -, mais on peut partager, au moins, un constat : celui de la volatilité des prix en la matière, qui pourrait faire de ces albums des objets de spéculation. 

De cette démarche spéculative, je sortirais assurément gagnant pour certains coffrets de musique classique –mais pas seulement– de ma collection, dont la disponibilité est devenue très aléatoire et comme le montre l’imagette à votre droite. Certains coffrets étaient en « édition limitée – numérotée », et sont donc voués à rester rares –et à devenir plus ou moins chers– : dommage que je n’ai pas l’esprit mercantile !

Playlist « L’autre grand K »

« Carlos Kleiber est un génie qui ne dirige que quand son frigo est vide… » : ainsi s’exprimait Herbert von Karajan sur son cadet. Les deux chefs se vouaient une admiration réciproque, puisque Carlos Kleiber affirmait que pour étudier et comprendre une partition, la meilleure voie était d’assister à une répétition du vieux maestro –ce qu’il fit à maintes reprises-.
Fils du célèbre chef d’orchestre Erich Kleiber et quelque peu écrasé par l’ombre tutélaire de son père, Carlos, né en exil en Argentine pendant la seconde guerre mondiale, a bâti sa légende malgré –ou à cause ? – le nombre de concerts qu’il annula et un répertoire remarquablement limité à quelques oeuvres qu’il approfondit tout au long de sa vie.

La playlist de ce jour est donc consacrée à l’intégrale des enregistrements symphoniques de Carlos Kleiber réalisés pour la firme Deutsche Grammophon, et tient en exactement quatre CD, assez chichement remplis qui plus est ! Les légendes tiennent à peu de choses ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Les autres disques sont consacrés à quatre intégrales d’opéras enregistrées, elles aussi, en studio et viennent compléter le legs de ses enregistrements officiels pour la firme allemande, qui lui bâtit des ponts d’or pour ces maigres témoignages –quantitativement parlant-.

Carlos Kleiber, c’est une souplesse de battue et une élégance inouïes, et une ligne claire qui apporte beaucoup de lisibilité et de dynamisme aux oeuvres qu’il dirigeait. Les répétitions se passaient dans une certaine détente, et le chef, plutôt affable et courtois, s’appuyait sur des anecdotes imagées très curieuses pour illustrer ses exigences. Il prétendait ne pas aimer diriger, préférant, de son propre aveu, les bonheurs simples de la vie : « Je veux cultiver dans un jardin, je veux avoir le soleil, je veux manger et boire et dormir et faire l’amour, et c’est tout. »

Playlist « le CD n°10 »

Aujourd’hui, pour constituer ma playlist, j’ai pioché le CD n°10 dans quelques-uns des coffrets de rééditions que les éditeurs posent depuis quelques années à prix bradés, et qui contiennent très souvent de vrais trésors, le plus souvent dans de très bonnes conditions soniques ! Ce qui me vaut une playlist très variée et des plus agréables ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

De grandes oeuvres, par de grands artistes ! Et comme j’ai entamé cette playlist à une heure assez avancée de la matinée, je peux même l’écouter « un peu fort » !

Un expérience à rééditer, donc…

Aujourd’hui : mise à jour !

Temps maussade aidant et l’heure des bilans arrivant rapidement, je me suis attelé, ce matin, à une tâche trop longtemps repoussée : la mise à jour de la base de données qui me sert à répertorier les CD. Comme je n’y avais pas touché depuis avant le premier confinement, ce fut long et laborieux, ma mémoire me jouant parfois des tours –et je viens de me rendre compte, à l’instant, que j’en avais déjà oublié quelques-uns-…
Et, comme je n’ai pas encore réinstallé FileMaker sur l’iMac, c’est mon fichier de sauvegarde Excel qui a été mis à jour, mais, à jour ça fait assez bien l’affaire ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Heureusement, entre boulot et travaux, je n’ai pas acheté trop de disques ces derniers mois –et essentiellement à répertorier dans mon fichier « Pop-Rock « , bien plus simple et rapide à tenir ! -.
Là où les choses se corsent, c’est qu’en voulant ranger/classer tous ces derniers achats, je viens de me rendre compte que la place commence à manquer dans les colonnes dévolues à cet effet et qu’il va falloir que j’y envisage quelques aménagements…

Très bel objet et bonne musique !

C’est un bien beau colis réceptionné hier dans ma boîte aux lettres, pré-commandé au mois d’octobre –donc bien avant le reconfinement– pour mon opération de vieillissement annuel et arrivé pile-poil le jour prévu, malgré la période particulière que nous vivons actuellement ! Il va sans dire que je l’attendais avec impatience !-Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Un solide coffret cartonné à la jolie ligne éditoriale –double-pochettes d’origine, remasterisation dans les studios d’Abbey Road…-, comprenant l’intégrale des enregistrement studio –plus un disque bonus proposant des remix– du groupe The Police, trio légendaire de la fin années 70 et du début des années 80, qui se reforma triomphalement de manière éphémère –le temps d’une tournée très rentable– en 2008. Et, cerise sur le gâteau, le prix de ce coffret est formidablement attractif !

Issus de la mouvance punk et passés rapidement à autre chose –les trois musiciens étant techniquement bien trop doués pour se limiter à ce genre minimaliste-, la carrière du groupe, relativement brève, fut jalonnée de nombreux succès et d’une inspiration constante et sans baisse de qualité, sans doute du fait de sa brièveté même !

Avec The Cure et à mes oreilles, le groupe « grand public »  –sans aucune connotation péjorative– le plus intéressant de cette période !

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