Playlist « Beethoven HIP ou presque »

Après la récente playlist Beethoven à l’ancienne, voici que je m‘attaque désormais à une playlist proposant des interprétations de Beethoven un peu plus récentes et prenant en compte l’évolution des données de l’historiographie de la musique.-Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Symphonies n°1 & 2 – The Academy Of Ancient Music, Hogwood – 1983 ; 1984
Symphonies n°3 & 4-Orchestre révolutionnaire et romantique – Gardiner – 1993
Concerto pour violon – Tezlaff, DSO Berlin, Ticciati – 2019

J’apprécie de plus en plus la deuxième symphonie, désormais, et je trouve qu’elle supporte très bien ce traitement… Et j’aime toujours autant la quatrième symphonie, cette « frêle dame grecque prise entre deux dieux nordiques » selon le mot de Schumann.

Surprise volatile !

C’est une surprise copieuse qui vous attend ici pour ce mois de novembre, en lien avec une actualité déjà un peu lointaine –septembre 2023-. Le titre de cette notule peut éventuellement vous donner une piste –lointaine elle aussi...- quant à ce que vous découvrirez !
Il me semble ne vous avoir jamais présenté son contenu, mais c’est normal, je l’ai moi-même découvert assez tardivement et je n’y reviens pas souvent.
ENJOY !

Playlist Beethoven à l’ancienne »

« Es vergeht kein Tag, an dem ich nicht einmal versuche, den Anfang des G-Dur-Klavierkonzertes zu spielen. Und eigentlich war ich noch nie restlos zufrieden damit. » – Wilhelm Backhaus.
« Il ne s’écoule pas une journée sans que je n’essaie de jouer une fois le début du concerto pour piano en sol majeur (n°4). Et, pourtant, je n’ai encore jamais été totalement satisfait. »

Concerto pour piano n°3 – Willem Kempff – Berliner Philharmoniker, Paul Van Kempen ; 1955
Concerto pour piano n°4 – Wilhelm Backhaus – Wiener Philharmoniker, Clemens Krauss ; 1951
Concerto pour piano n°5 – Wilhelm Backhaus – Wiener Philharmoniker, Clemens Krauss ; 1953

Versions justement légendaires, prises de son très convenables pour l’époque et remastering soigné : Beethoven à l’ancienne, c’était vachement bien aussi ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Rien que ça ? Ah oui, quand même !

Critique du Daily Telegraph du nouvel album des Rolling Stones. Sa conclusion est sans appel : « Le meilleur disque de Rock’n’Roll de ces quarante dernières années ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Vous m’en direz tant ! Il y a de très bonnes choses sur cet album, et, notamment, le retour de Bill Wyman accompagnant Charlie Watts pour un titre –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– : la rythmique historique et légendaire du groupe fonctionne alors à plein, et l’on se rend compte immédiatement de la perte incommensurable que constitua le retrait du bassiste, quels qu’aient été les mérites de son successeur, confirmant ainsi l’avis de Bob Dylan, pour qui Les Rolling Stones sans Bill Wyman ne sont plus exactement les Rolling Stones.
Le disque se conclut sur un hommage en duo Jagger – Richards consacré à Muddy Waters : Rollin’Stone Blues ». La boucle est bouclée ?

Retour en haut