Jouer avec son mentor…

Quand le meilleur guitariste de blues anglais -Mick Taylor, pour une fois avec une Fender Stratocaster- rencontre son mentor -Albert King-, en compagnie de celui qui le lança -John Mayall, au piano électrique ou à l’hamonica et en marcel, comme à son habitude-, ça donne çà, et c’est exceptionnel ! Si vous avez le temps, je vous recommande de regarder toute la video. Si vous êtes pressé, passez directement à 10:50 et regardez jusqu’à la fin ! C’est exemplaire de feeling et de maîtrise, sans aucune ostentation !

Finalement, on se fait à tout…

… et même à l’opéra italien !

Celui-ci, comme je l’avais déjà plusieurs fois laissé entendre, ne constituait pas vraiment ma tasse de thé de cappuccino, jusqu’à présent ! Et pourtant, depuis deux jours, j’en ai écouté quelques-uns avec un peu plus d’attention et de persévérance. Mes oreilles en ont été un peu récompensées ! Bon, on est loin de Wagner ou de Richard Strauss dans le traitement des voix et du drame, et, surtout, dans un tout autre esprit, mais j’ai largement survécu et cela me vaudra sûrement quelques joyeuses découvertes, qui sait !

Ces derniers jours, donc, voici ce que j’ai écouté -de l’avis largement partagé de connaisseurs autrement plus au fait de ces opéras que moi, de très bonnes versions, tant qu’à faire, on ne va pas se priver non plus…- avec un certain plaisir :

Opera_Italien

Surprise de fin de vacances

NouveauLogoSurprises_GAUCHEBientôt, les vacances -et les nuages, semble-t-il, puisque la météo devrait s’améliorer, enfin, c’est eux qui le disent…- seront derrière moi et le quotidien du travail reprendra ses droits. Avant cela, une petite surprise –et un nouveau logo pour l’annoncer– vous attend ici.
Une curiosité des plus intéressante/intéressantes -les deux semblent justes, les puristes trancheront et feront leur choix-, à dire vrai !
Mais je n’en dirai pas plus et vous laisse la découvrir tranquillement -il est même possible de la déguster par petits bouts, ça s’y prête tout-à-fait bien-, et vous faire surprendre vous aussi…

Souvenirs de vacances

Outre les nombreuses boîtes de gâteaux -palets et galettes- au beurre que nous avons ramenées et qui seront distribuées petit à petit, ce sont également plusieurs dizaines de photos qui constituent un précieux souvenir de notre petit séjour breton. En plus de l’appareil photo, la voiture est un outil indispensable dans cette région…

Une petite sélection est visible ici. Un point commun : les nuages  :mrgreen:

Et voici la carte -cliquer dessus pour l’agrandir- des lieux principaux visités.

carte_bretagne

Diablotin boute l’anglais hors de France !

echecsexterieurLa scène se passe sous les nuages, à Josselin, petite cité de caractère (c’est eux qui le disent), le 6 août 2014 : un grand jeu d’échecs d’extérieur est disposé au centre du village, ponctuellement investi par quelques amateurs et régulièrement squatté par des bambins qui n’y connaissent encore rien mais s’y amusent gaillardement et s’y ébaubissent joyeusement !

Ordoncques, ce jour-là, une fillette anglaise -8 ans- affronte son « daddy » et se fait mettre une jolie pâtée. Je me propose donc de l’aider, en lui expliquant le pourquoi du comment de la stratégie que nous allons mettre en place pour bouter l’anglais hors de France 😉 ! A la fin, nous avons réussi à le vaincre, non sans mal tant la partie était mal engagée ! Mais l’anglais vaincu fut, beau joueur, ravi des conseils donnés à sa fille et m’en remercia vivement.

Histoire de panneaux !

Panneau_BretonEn Alsace, le touriste se perd parce qu’il n’a pas le temps de lire les panneaux, les noms de quelques villes ou de certains villages étant pour le moins peu faciles à déchiffrer : Ichtratzheim, Ittlenheim-Neugartheim, Niederschaeffolsheim, Breuschwickersheim… Avouons-le, c’est parfois difficile, et demander sa route à l’indigène n’est guère plus aisé : une fois lu, il faut savoir prononcer le mot lu, sinon, il ne comprendra pas, ou, au moins, fera semblant de ne pas vous comprendre !!!

Panneau2En Bretagne, on nous égare souvent par un trop-plein d’informations : les panneaux des routes départementales -qui sont nombreuses et souvent tortueuses, et où l’indigène roule à toute vitesse- sont traduits en breton, pour le coup. Donc, on n’a guère le temps de les lire entre deux coups d’essuie-glace ! Et lorsqu’ils ne sont pas traduits, ils sont incompréhensibles également, et ne correspondent à rien sur une carte, même d’état-major !

Enfin, certains panneaux sont abstrus, mais hilarants, et d’autres ne sont même pas faits pour être compris par les humains !

Quoi qu’il en soit, nous sommes venus, nous avons vu -et c’était souvent fort joli sous les nuages-, et nous sommes revenus après 3624 kilomètres parcourus et des douzaines de crêpes au beurre salé avalées -mais aussi un court passage par la Normandie, chez Gilsoub, voir la très belle exposition de ses photos-.

Panneaux_Bizarres