Aujourd’hui : mise à jour !

Temps maussade aidant et l’heure des bilans arrivant rapidement, je me suis attelé, ce matin, à une tâche trop longtemps repoussée : la mise à jour de la base de données qui me sert à répertorier les CD. Comme je n’y avais pas touché depuis avant le premier confinement, ce fut long et laborieux, ma mémoire me jouant parfois des tours –et je viens de me rendre compte, à l’instant, que j’en avais déjà oublié quelques-uns-…
Et, comme je n’ai pas encore réinstallé FileMaker sur l’iMac, c’est mon fichier de sauvegarde Excel qui a été mis à jour, mais, à jour ça fait assez bien l’affaire ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Heureusement, entre boulot et travaux, je n’ai pas acheté trop de disques ces derniers mois –et essentiellement à répertorier dans mon fichier « Pop-Rock « , bien plus simple et rapide à tenir ! -.
Là où les choses se corsent, c’est qu’en voulant ranger/classer tous ces derniers achats, je viens de me rendre compte que la place commence à manquer dans les colonnes dévolues à cet effet et qu’il va falloir que j’y envisage quelques aménagements…

Un jour avant la fin…

Les 10 à 15 jours de travaux de rénovation auront finalement duré 15 jours ouvrés, soit quasiment trois semaines calendaires, pendant lesquels nous aurons vécu dans le bruit –sporadiquement très bruyant– et la poussière, et même, certains jours, sans eau pour quelques heures, tandis que différents corps de métier se succédaient : plombier, plaquiste, peintre, carreleur, électricien…

Le vrai avantage des vrais professionnels, c’est que plutôt que de réajuster le projet initial aux réalités pratiques, ils ajustent leur travail pour se plier aux réalités et respecter le projet initial –ce que je n’aurais pas pu faire moi-même, y compris avec l’aide d’amateurs très bricoleurs, vu les nombreuses difficultés à contourner…-.

A la sortie, une très jolie salle de bain, où il va falloir retrouver ses marques tant elle ne ressemble plus en rien à l’ancienne ! Et heureusement ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Page de petite histoire…

Au début, on ne parlait pas encore d’obsolescence programmée, mais de fragilité et de fiabilité aléatoire, intrinsèquement liée à l’apparition de nouvelles machines…
Au bilan : 7 lecteurs en 37 ans, plus quelques autres venus sporadiquement compléter cette panoplie, que j’ai testés rapidement mais n’ai pas gardés : de mémoire, 1 Kenwood, 1 Technics et un 1 excellent mais hors de prix Quad qui est resté en prêt quelque semaines à la maison. –Cliquer sur l’image pour la voir en pus grand-.

Les plus fiables sur cet échantillon : Sony et Marantz
Les préférés de mes oreilles  : Marantz, indiscutablement.

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Lentement, mais sûrement…

… les travaux se poursuivent !

On ne dirait pas, comme ça, mais ça avance, et les différents corps de métier se succèdent régulièrement !
• le faux-plafond la une cloison de séparation prévues sont posés;
• l’électricité est mise aux normes –tous les nouveaux câbles sont tirés– et l’éclairage est d’ores-et-déjà intégré au fond-plafond;
• l’ensemble des arrivées sanitaires est en place et l’emplacement des douche italienne est installé et imperméabilisé;
• tous les murs et sols sont désormais prêts à recevoir le carrelage.

Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Dernière fois ?

Nous avions été sondés à l’échelle européenne –c’était sur le site du Parlement européen, et TheCookingcat et moi y avions participé…– il y a un ou deux ans à ce sujet, et les Français, comme la majorité des Européens, s’étaient exprimés très largement en faveur d’un arrêt du traditionnel changement horaire, chaque printemps et chaque automne, pour passer à l’heure d’été ou à l’heure d’hiver… Cette nuit, pourtant, nous repasserons à l’heure d’hiver.

Et, à mon avis, ce ne sera pas la dernière fois… Le nécessaire consensus européen est loin d’être trouvé en la matière : grosso modo, les « pays du sud », dont la France, souhaitent que l’heure d’été soit désormais celle de rigueur tout au long de l’année. A contrario, les « pays du nord » souhaitent ne conserver que l’heure d’hiver –qui est la plus proche de l’horaire universel-… Bref, c’est pas gagné, et d’autant moins que les députés européens semblent avoir actuellement d’autres chats à fouetter !
En attendant, cette nuit, on dormira une heure de plus… Pour la dernière fois ?

Ceci deviendra une salle de bain…

… même si ça n’y ressemble pas -encore- beaucoup !

A cette heure et en cette quasi-fin de première semaine de travaux : tous les éléments sanitaires ont été retirés, le sol et les murs sont remis à niveau pour la pose à venir d’un nouveau carrelage, la plomberie a été refaite pour les nouvelles arrivées d’eau, les saignées creusées pour le passage du nouveau réseau électrique –pose aujourd’hui-et la structure du faux-plafond et d’une cloison murale est posée. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

La semaine prochaine : carrelage, installation des éléments sanitaires et des meubles… Si tout va bien, nous aurons une nouvelle salle de bain fonctionnelle le week-end prochain !

Petits bonheurs du jour !

Alors que je viens d’enrichir, aujourd’hui, ma collection de balais, j’en profite pour écouter ce délicieux double album dédié à une fantastique compilation des Yardbirds, groupe quasi-mythique du milieu des années 60, notamment pour avoir vu passer dans ses rangs trois des très grands guitaristes de l’histoire de la Rock-Music : Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page, pas moins ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Je n’avais dans mon ancienne collection de LP, il y a bien longtemps, que leur excellent album « Five Live », témoignage d’un concert enregistré aussi tôt qu’en 1964, avec Eric Clapton, qui y débutait quasiment sa carrière de bluesman –avant même son entrée dans les Bluesbreakers de John Mayall-; de même, la scène du film « Blow Up » où le groupe interpréte avec une sauvagerie consommée le fameux « Stroll On » –solistes: Jeff Beck et Jimmy Page, rien de moins ! – était l’une des plus marquantes de cet excellent film-culte, qui symbolise parfaitement le Swinging London.

Bref, cette compilation, plutôt copieuse, mériterait bien de figurer dans la liste des albums-clés des années 60, que je vous proposais il y a peu de temps, non seulement pour la qualité de la musique, mais également pour l’importance historique de ce groupe dans l’évolution de la Rock-Music, puisqu’il donna quasiment naissance, quelques mois plus tard, à Led Zeppelin.

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PDA : qui s’en souvient encore ?

En tous cas, pas les moins de 16 ans –Trésor-de-Janvier m’a demandé ce que ça pouvait bien être quand elle a vu la photo-… Je me souviens qu’au début du millénaire, ces objets, dénommés « assistants personnels portables » faisaient passer leurs possesseurs pour des geeks absolus ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Il en existait deux types : à stylet ou à clavier, et, évidemment, les différents OS et formats de fichiers de ces petites machines n’étaient pas compatibles entre eux. L’avantage du modèle présenté et que j’avais retenu à l’époque, était double : d’une part, il était compatible Mac, et je pouvais synchroniser mon agenda aisément –selon les standards de l’époque, parce que ce n’était évidemment pas aussi aisé que de nos jours-; d’autre part, il était d’un tarif modéré par rapport à la concurrence, notamment à cause de son écran monochrome.
Évidemment, il s’est trouvé assez rapidement démodé avec l’arrivée des premiers smartphones, mais c’est depuis ce temps que je gère mes agendas électriquement et que je partage mon agenda professionnel, même si j’ai abandonné l’engin depuis longtemps !

Souvenir, souvenirs…

Redécouvrons de vieux classiques…

Je profite de cette dernière journée « tranquille » avant longtemps –les travaux de rénovation de salle de bains, qui commencent demain, forcément bruyants et peu propices à des écoutes un peu attentives et sereines, vont s’étaler sur au moins deux à trois semaines…– pour me plonger dans la « redécouverte » de vieux classiques, à savoir les sonates de Beethoven par Friedrich Gulda –troisième intégrale dudit pianiste, cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Cela me confirme qu’il s’agit, après la quasi-intégrale des mêmes oeuvres par Emil Gilels –et dans une optique très différente-, de ma version préférée, parmi toutes celles qui peuplent ma discothèque. Elle a l’avantage dans cette édition très économique, de bénéficier d’une remarquable remastérisation, nonobstant la laideur de sa pochette et l’absence de livret informatif…

Si je devais effectuer un classement, exercice toujours un peu vain et forcément tributaire de mes goûts –sachant que toutes ces versions sont malgré tout un magnifique aboutissement artistique pour chacun de ces pianistes-, il se présenterait ainsi :
Gilels*
Gulda III
Backhaus – A. Fischher – Gulda I – Kempff I – Kovacevich – Schnabel – Solomon*
Arrau I – Barenboim II – Brendel I – Grinberg -Kempff II – Levit – Lewis
Barenboim I – Bavouzet – Brendel II – Heidsieck – Jando – Nat – Pollini
Les * signalent des intégrales inachevées, pour cause de décès de l’artiste –Gilels– ou de maladie invalidante –Solomon-.

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