Vacances en chiffres…

Kilomètres parcourus en voiture : 1753 km
Consommation moyenne : 4,7 l
Pays traversés : 3
Kilomètres parcourus à pieds : ± 10 km chaque jour, dans le sable, sur les digues ou les trottoirs lillois
Marches montées et descendues : plusieurs fois 142 marches, Boulogne est une ville ou rien n’est plat, les pentes sont parfois très raides et nous habitions au somment d’une falaise face au port –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand
Paires de chaussures achetées à prix fracassés : 6
Plages visitées : 8 seulement cette année – du sud au nord : Le Touquet, Hardelot, Le Portel, Boulogne-Sur-Mer, Wimereux, Ambleteuse, Wissant, Sangatte

Gastronomie locale…
Frites avalées : plusieurs kilos ! Les meilleures étaient à Wimereux, deux restaurants en proposent des fabuleuses !
Bières bues : plusieurs litres, par « pinte » d’un demi-litre !
Plats dégustés au moins deux fois : Welsh complet; Potjevleesch de la mer -un miraculeux plat de trois ou quatre poissons en cuisson lente à basse température, servis en gelée; moules – frites

Satisfaction retirée de tout cela : infinie !!!

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Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt…

Et d’ailleurs, pendant les vacances, j’en ai profité plus que d’autres qui en profitent pour se reposer… Néanmoins, par deux fois, je me suis levé un peu après 08 heures, ce qui relève presque d’un exploit –cliquer sur le graphique pour le voir en plus grand– !

A cette heure-là, les mouettes hurlent déjà à qui-mieux-mieux –elles commencent en fait avec le lever du soleil…-.

La tournée des beffrois

Nous avons écumé une toute petite partie du Nord et du Pas-de-Calais, occasion, évidemment, de faire une petite tournée des beffrois : les plus beaux sont plus à l’intérieur des terres, semble-t-il, mais nous ne sommes pas aller si loin, nous contentant, grosso modo, de rester sur la côte d’Opale ou le long de la frontière belge… Celui de Lille carillon périodiquement « L’Ode à la joie » de la neuvième symphonie de Beethoven. Certains sont très simples, d’autres bellement ouvragés.

L’un d’eux est célèbre parce qu’il joue un rôle important dans le film « Bienvenue chez les Ch’tis ». Sauras-tu le reconnaître sur l’une des photos ci-dessous ? –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

La devinette du mois : violon

De retour de notre périple annuel en bord de mer, et un peu ailleurs : petit compte-rendu de séjour et photos à venir… C’était très bien !

Durant ces vacances, profitant des derniers jours de soldes, j’ai commandé –parmi d’autres– un petit coffret consacré à un violoniste un peu oublié de nos jours, mais qui fut considéré, dans les années 30-60, comme l’un des très grands virtuoses de son instrument.
Le coffret, que je commence à déguster, recèle, quoi qu’il en soit, de véritables merveilles, qui donnent à entendre un son d’une grande pureté et un legato formidable –cf. le petit extrait ci-dessous pour vous allécher ! -.

Donc :
je suis un violoniste anglais -mais mon nom n’est pas à consonance anglo-saxonne-;
outre mon instrument, mon violon d’Ingres était le bridge, où j’étais à peine moins virtuose que sur mes deux Stradivarius;
je fumais d’excellents cigares;
la pureté de ma sonorité était légendaire !
Je suis … ? A vous de jouer !

Vive les vacances !

D’après la météo, nous serons sortis de la canicule lors de notre départ en vacances, samedi, mais nous voyagerons sous la pluie !  –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Samedi soir, balade et apéro-repas sur la digue, quel que soit le temps !

Peut-être profiterons-nous même de la possibilité d’aller pour la dernière fois en Angleterre sans visa ? A voir…

En attendant, je me suis levé avant le soleil pour ouvrir les fenêtres et les volets pour rafraîchir l’appartement, qui n’est pas excessivement chaud cela étant : nous n’y avons pas dépassé les 27° au plus fort des grosses chaleurs d’hier –et aujourd’hui s’annonce pire, puisqu’on devrait frôler ou dépasser les 40°-.

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Playlist noir d’ivoire en attendant frigo…

Ce matin, j’attends la livraison d’un nouveau frigo, l’actuel ne dégivre plus convenablement et « coule » ; le tuyau d’évaporation doit être bouché, et s’avère évidemment en partie inaccessible pour être débouché / nettoyé –il faudrait démonter toute une partie de la face arrière…-.

Ça doit être ça, l’obsolescence programmée ! Encore qu’ayant atteint l’âge relativement vénérable de 10 ans, il n’y a pas de quoi se plaindre outre mesure, me semble-t-il… La livraison est prévue entre 08:00 et 13:00, ce qui laisse le temps d’attendre !

Je mets donc ce temps à profit pour profiter des derniers achats de musique pour piano effectués ces derniers mois, et que je n’ai pas encore eu l’occasion d’écouter très attentivement. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. 

On y trouve deux intégrales des sonates de Beethoven -quand on aime, on ne compte pas-, dont la toute première jamais enregistrée, par Artur Schnabel, au début des années 30, dans la meilleure édition sonore possible, qui rend enfin son écoute presque confortable –le travail de nettoyage et de report est réalisé par une équipe française, ils vendent ça un peu cher pour des enregistrements libres de droit, mais, honnêtement, ça fait le coup/coût-. Pour certaines oreilles, cette première intégrale n’a jamais été égalée par quiconque après lui…

L’autre intégrale est beaucoup plus récente, et très bien enregistrée à l’origine : peu de partis-pris interprétatifs, mais du très beau piano et, en définitive, une très belle version, même si elle ne sera jamais ma préférée.

Nietzsche au piano, c’est assez intéressant, mais jamais édifiant : il vaut mieux lire le philosophe qu’écouter sa musique : même si elle n’est jamais indigne, elle n’est jamais très originale ou très édifiante. C’est assez « joli », ça s’écoute distraitement, mais cela ne va guère au-delà de ce constat.

Enfin, le disque consacré à Liszt par un jeune pianiste très virtuose bénéficie d’une remarquable prise de son, qui sied à ces oeuvres qui nécessitent beaucoup de clarté et une grande dynamique. En revanche, l’écoute intégrale de ces deux longs CD de cycles d’études peut s’avérer fatigante sur la durée –tant de virtuosité fracassante en deux heures, ça fait beaucoup– et les oeuvres ne sont pas écrites pour cela !

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Moment de détente…

Ainsi donc, nous sommes allés, le week-end dernier, dans les Vosges pour un petit moment de détente… Le trajet fut plus long que prévu, non pas parce que nous avons roulé lentement, mais à cause des travaux de voirie et, surtout, des nombreuses déviations dues aux préparatifs du Tour de France –les coureurs sont passés quelques jours après nous-, ce qui nous a valu donc quelques détours…

Arrivés au chalet, nous étions perchés à un peu plus de 900 mètres, avec vue vers la France de l’intérieur ! Il a fallu tester les équipements aquatiques de détente : The CookinCat a tout essayé ! Le jacuzzi, le bain islandais, le sauna sec et le sauna humide : il paraît que c’était très bien ! Pour ma part, j’ai ouvert les portes des deux saunas pour les refermer aussitôt sans même y entrer, tant la chaleur m’a paru étouffante ! De même, la température –38° minimum– de l’eau du bain islandais était trop élevée pour moi, et je me suis donc contenté du jacuzzi et de ses bulles.

Pour le reste, vue imprenable sur les sommets environnants, repas sympathique pris en terrasse à la nuit tombante, suite très agréable et bellement aménagée et décorée : que du bonheur !

Au retour, petit passage par le musée Unterlinden à Colmar, juste histoire d’admirer le magnifique et impressionnant retable d’Issenheim de Grünewald, dont j’ai déjà eu l’occasion de vous entretenir –une partie est actuellement en travaux de restauration, mais la Crucifixion est toujours exposée-. On y trouve également une grande partie de la production de Martin Schongauer et un très beau retable gravé sur bois d’Albrecht Dürer-cf. ci-dessous-.

Plus généralement, tout la période consacrée à l’art rhénan de la Renaissance, sur fond de Réforme protestante, est formidable –on est assez éloigné des canons de l’art italien de la même époque-. Quant aux collections du 20ème siècle, elles sont moins parquantes marquantes, malgré un espace Otto Dix que j’ai beaucoup apprécié.

Très chouette week-end, culturel, aquatique et gastonomique !

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