Lu ce matin, un article fin, bien écrit et peut-être plus pertinent qu’il n’y paraît pour en dire long sur nous-même : c’est ici, et ça fait plaisirà lire –quoi qu’on puisse penser du personnage par ailleurs, qui semble loin de faire l’unanimité désormais-tant, au quotidien, on peut être amené à rencontrer des personnes moroses, ou râleuses, mais, surtout résignées et traînant un sentiment de déclassement que l’on peut interroger et remettre perspective pour peu qu’on prenne du recul, mais ça, c’est difficile.
Pour l’éternel optimiste que je suis, certaines réactions lues ou entendues me laissent parfois pantois : désormais, tout est prétexte à soupçon, contestation et dénigrement.
Un bel article en forme de rayon de soleil ! Be happy 😀 !
Où l’on apprend que l’industrie de la publicité en ligne reconnait avoir abusé –de la simple bannière au pop-up, puis à la video au son saturé-, et appris de ses errements –c’est eux qui le disent-… Evidemment, ils ont trouvé plus fort qu’eux avec les bloqueurs de pub, sans lesquels il devient quasiment impossible de naviguer sereinement –et franchement, sur une tablette, on a hâte qu’ils arrivent également, parce que parfois, hein…-, et maintenant, ils pleurent !
Article intéressant, d’un magazine en ligne qui vient d’évoluer, et, honnêtement, sur ce coup-là, j’ai envie de dire : c’était mieux avant 😉 ! Plus lisible, et tout simplement mieux hiérarchisé : il suffit d’aller voir sur leur page d’accueil pour essayer de s’y retrouver…
Edit : dans la catégorie des lectures décalées propres à égayer ce début de week-end, ces « cronik zanimal’ » sont insolites et agréables !
Un retour « at home » tardif après une longue journée laborieuse, suivie d’une sortie impromptue, ont considérablement raccourci la playlist prévisionnelle que j’avais élaborée hier. Du coup, elle fut réduite à quelques grands classiques, dans des interprétations anciennes, mais pas démodées ! –Cliquer sur l’image pour la voir ne plus grand-.
Je ne sais pas si ça s’annonce mieux aujourd’hui… Tombé du lit avant l’aube, je n’ai pas prévu de rentrer très tôt ! Avant le lever du soleil, et suite à la lecture du blog de Sardequin parlant de chansons engagées, j’ai écouté cette jolie chose, dont je vous parlais il y a fort longtemps sur feu mon ancien blog, et qui raconte cette histoire.
World turned upside down
In sixteen forty nine, to St George’s Hill a ragged band they called the Diggers came to show the peoples’ will they defied the Landlords, they defied the laws they were the dispossessed, reclaiming what was theirs « We come in peace » they said, to dig and sow we come to work the lands in common and to make the wastegrounds grow this earth divided, we will make whole so it will be a common treasury for all The sin of property, we do disdain no man has any right to buy and sell the earth for private gain by theft and murder, they took the land now everywhere the walls spring up at their command They make the laws, to chain us well the clergy dazzle us with heaven or they damn us into hell we will not worship, the god they serve the god of greed who feeds the rich while poor man starve We work, we eat together, we need no swords we will not bow to the masters or pay rent to the lords we are free men, though we are poor you diggers all stand up for glory stand up now From the men of property, the orders came they sent the hired men and troopers to wipe out the Diggers’ claim tear down their cottages, destroy their corn they were dispersed, but still the vision lingers on You poor take courage, you rich take care this earth was made a common treasury for everyone to share all things in common, all people one we come in peace, the orders came to cut them down
Sur le site du journal Le Monde, vous pouvez tester votre niveau en orthographe, si ça vous tente… C’est plus amusant qu’une dictée, revenue à la mode, paraît-il –comme si elles avaient disparu !-. Quelques pièges assez connus et un zeste de bon sens font l’affaire : c’est un peu ardu, mais pas trop ! Du coup, je m’en suis sorti avec les honneurs…
Ce billet est plus spécialement dédié à Gilsoub, qui traite du même sujet, à sa manière, sur son blog !
NB. Pour une question au moins, je pense que la mise en oeuvre de l’orthographe rénovée en 1991 permettrait une autre réponse…
Pour qui s’intéresse un peu –ou beaucoup, ou même pas du tout– à l’évolution de la signalétique des marques, la lecture de ce petit article –bien fait, mais un peu court, tant il y aurait de choses à rajouter…– est instructive. –Cliquer sur l’image pour la voir en grand-.
Resterait maintenant à s’intéresser à l’évolution des fontes qui ont accompagné la communication de la marque -Aaaah ! Les luxueux modes d’emploi en Apple Garamond !!! Qu’ils étaient beaux à lire !!!-. Pour suivre l’évolution du look des machines portant ce logo, vous pouvez faire un petit tour rapide dans le musée du Mac.
A lire, ici, ce drôle d’objet d’étude, découvert de matin et qui m’a tarabusté tote la journée… L’événement doit être d’importance, cela dit, puisque pas moins de trois quotidiens nationaux –et peut-être plus : à vérifier dans votre presse régionale ou locale, si vous la lisez– y ont consacré un article dans leurs colonnes de ce jour !
Tiens, m’en vais vérifier dans la presse étrangère ce qu’ils en disent !
Je vous avais déjà parlé, il y a un moment, de Pepper, le petit robot gentil pour le moment avant la rébellion finale capable de vous servir votre café à la demande…
Voilà qu’il refait parler de lui, et pour des raisons beaucoup plus triviales. Ou pas, ça dépend de votre humeur. Et de votre rapport à l’éthique cybernétique –termes que je viens d’inventer, mais qui n’évoque rien à mon esprit à cette heure, même si ça semble en taquiner quelques un-e-s….-.
L’article, au demeurant, est intéressant, et les commentaires qui le suivent assez drolatiques pour certains. Dans une vingtaine d’années, la question se reposera peut-être différemment, qui sait ?
Comme je vous l’avais indiqué plus avant, mon défi-lecture doit me conduire à lire l’intégrale Maigret avant le 31 décembre 2015.
A mon avis, c’est mal barré, j’en suis à 16, mais je commence un peu à me lasser : à force, tout cela se ressemble un peu, et son caractère vaguement monolithique fait que cela en devient prévisible. Mais c’est très bien néanmoins, juste pas fait pour être lu en série à aussi haute dose –et l’écriture de la séries s’est déroulée sur une trentaine d’année, au moins…-. On va donc dire que j’ai perdu mon pari afin de conserver le plaisir de la lecture…
Par contre, à force de le voir entrer et sortir de table, ça m’a donné envie de refaire un peu de « cuisine de bistrot ». Hier soir, donc, confection d’une mega-choucroute –on entre à peine dans la saison, mais la vente de choucroute nouvelle a débuté il y a quelques jours– : bon, un plat de 4 kilos tout compris, ça va faire quelques restes pour la semaine, mais ce fut diablement bon ! Et, aujourd’hui, j’ai passé une partie de la matinée à mettre un petit bourguignon à mitonner, ce qu’il continue à faire à cette heure, parfumant toute la maison… Me reste plus qu’à bougonner à qui-mieux-mieux, et Maigret aura totalement déteint sur moi !
Les romans et nouvelles lus cette semaine sont juste en-dessous –cliquer sur les images pour les voir en grand-.
Alors, voilà où j’en suis ce jour… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
L’illustre commissaire continue à enquêter, promenant sa grande carcasse dans Paris, bougonnant mais débonnaire, et toujours en mangeant force sandwiches, choucroutes et autres blanquettes… Et en buvant, en buvant !!! A ce propos, une petite enquête statistique tout-à-fait édifiante se trouve ici.