Suite à la lecture de cet article, très intéressant et bien plus nuancé, à la lecture, que ce que son titre laissait présager, je vous propose de construire une playlist monstrueuse, qui sera constituée ainsi –cliquer sur l’image pour la voir en grand-.
Pour coller au mieux à l’article, il peut être intéressant d’écouter ces albums dans l’ordre de leur parution, sachant que ceux retenus ici sont à connotation autobiographique assez marquée. Par principe, je n’ai retenu aucun album live, alors que le chanteur y donne souvent son meilleur –avec un penchant personnel et coupable pour « Take no prisoners »-.
Après cette écoute, à vous de vous faire votre propre idée sur le sujet… Evidemment, si vous commencez par écouter « Berlin », et en particulier « Caroline says (part one) » ou « The kids », je ne vous garantis pas que vous trouverez la réponse la plus objective…
Novembre et se premiers frimas et ses brouillards un peu denses au petit matin… Ça méritait bien une playlist un peu colorée ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand, ou dans le nouveau slide de la barre des menus, nouveau mois obligé…-.
Edit. Ce matin, j’ai essayé de configurer une tablette Android à partir d’un iMac : c’est juste pénible… Rajouter ne serait-ce que quelques livres passe par une longue série de problèmes à contourner ! Du coup, j’ai laissé tomber, pour le moment. Et puis, je vous parlais du match de rugby d’hier soir, et, incidemment, je suis tombé sur cet article ! Non contents de fournir à la planète les deux plus belles équipes à l’heure actuelle, les deux pays adoptent également des choix peut-être visionnaires, en tout cas audacieux !
A lire en ligne, ce très bel article, consacré au roi du roi des jeux. Malgré tous ses défauts, le personnage reste attachant.
Un beau documentaire, bien écrit et richement documenté, instructif et passionnant, un petit voyage dans le temps échiquéen –retour sur les 50 dernières années– !
L’article est émaillé de photos et de vidéos –trailers, interviews– de belle qualité. On regrettera simplement la fatigue oculaire suscitée par ce texte blanc sur fond noir : c’est très joli esthétiquement parlant, un peu pénible à lire cependant…
Aujourd’hui, n’ayant aucune envie très particulière autre que d’écouter de jolies choses, je me suis donné comme thème «Pochettes rouges». Ainsi, cela m’a conduit à la constitution de cette playlist, des plus avenante finalement, pour accompagner une partie de la matinée, qui va durer longtemps, passage –mortel– à l’heure d’hiver oblige…
Après tout, un certain joue le jeu du classement alphabétique pour entretenir ou raviver sa curiosité, pendant qu’un autre passe en revue, chaque dimanche, le Top 50, pour égayer ses matinées de quelques séquences léguées à la postérité –ou pas !?!-, alors, pourquoi ne pas arrêter une démarche ludique ? –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Petit jeu amusant, donc, qui m’a ramené –tout-à-faitfortuitement, bien sûr– vers mes deux groupes favoris pour deux albums que j’ai toujours bien aimés. D’abord et surtout « Tattoo You », qui jouit d’une réputation plutôt flatteuse –si tard dans leur carrière : 1981, pensez-vous !– et, à mes oreilles au moins, pas usurpée ! La construction sur deux faces –33T oblige : le CD n’était encore qu’au stade de brouillon-, à l’époque, opposait une face A rapide à une face B -la meilleure à mon avis- plus lente. La tournée associée à cet album reste mon premier souvenir d’un concert des Rolling Stones –exactement : le dimanche 13 juin 1982, à Paris, déplacement à 4 dans une vieille R5…-.
« Kiss me kiss me kiss me » reste l’un des albums les plus ambitieux de The Cure –parution sous la forme d’un double 33T– : c’est très varié, alternant les megatubes comme « Just like heaven » et des chansons non moins belles, mais un peu restées dans l’ombre comme « If only tonight we could sleep », cette dernière bénéficiant d’une longue introduction à la guitare, plaintive et torturée.
Quant à Heather Nova, elle jouit d’une certaine popularité au tourment du millénaire, possède une jolie voix, chante des textes inspirés sur de belles mélodies, bien arrangées –cf. l’extrait en écoute ci-dessous-, même si elle est un peu oubliée, semble-t-il, de nos jours.
Enfin, la symphonie « Pathétique » de Tchaikovsky par Guido Cantelli est tout simplement formidable, dans un son plus qu’honorable de 1953, et entretient le souvenir d’un immense chef disparu trop tôt –à 36 ans, dans un accident d’avion– et que Toscanini voyait comme son successeur.
Lu ce matin, un article fin, bien écrit et peut-être plus pertinent qu’il n’y paraît pour en dire long sur nous-même : c’est ici, et ça fait plaisirà lire –quoi qu’on puisse penser du personnage par ailleurs, qui semble loin de faire l’unanimité désormais-tant, au quotidien, on peut être amené à rencontrer des personnes moroses, ou râleuses, mais, surtout résignées et traînant un sentiment de déclassement que l’on peut interroger et remettre perspective pour peu qu’on prenne du recul, mais ça, c’est difficile.
Pour l’éternel optimiste que je suis, certaines réactions lues ou entendues me laissent parfois pantois : désormais, tout est prétexte à soupçon, contestation et dénigrement.
Un bel article en forme de rayon de soleil ! Be happy 😀 !
Où l’on apprend que l’industrie de la publicité en ligne reconnait avoir abusé –de la simple bannière au pop-up, puis à la video au son saturé-, et appris de ses errements –c’est eux qui le disent-… Evidemment, ils ont trouvé plus fort qu’eux avec les bloqueurs de pub, sans lesquels il devient quasiment impossible de naviguer sereinement –et franchement, sur une tablette, on a hâte qu’ils arrivent également, parce que parfois, hein…-, et maintenant, ils pleurent !
Article intéressant, d’un magazine en ligne qui vient d’évoluer, et, honnêtement, sur ce coup-là, j’ai envie de dire : c’était mieux avant 😉 ! Plus lisible, et tout simplement mieux hiérarchisé : il suffit d’aller voir sur leur page d’accueil pour essayer de s’y retrouver…
Edit : dans la catégorie des lectures décalées propres à égayer ce début de week-end, ces « cronik zanimal’ » sont insolites et agréables !
Un retour « at home » tardif après une longue journée laborieuse, suivie d’une sortie impromptue, ont considérablement raccourci la playlist prévisionnelle que j’avais élaborée hier. Du coup, elle fut réduite à quelques grands classiques, dans des interprétations anciennes, mais pas démodées ! –Cliquer sur l’image pour la voir ne plus grand-.
Je ne sais pas si ça s’annonce mieux aujourd’hui… Tombé du lit avant l’aube, je n’ai pas prévu de rentrer très tôt ! Avant le lever du soleil, et suite à la lecture du blog de Sardequin parlant de chansons engagées, j’ai écouté cette jolie chose, dont je vous parlais il y a fort longtemps sur feu mon ancien blog, et qui raconte cette histoire.
World turned upside down
In sixteen forty nine, to St George’s Hill a ragged band they called the Diggers came to show the peoples’ will they defied the Landlords, they defied the laws they were the dispossessed, reclaiming what was theirs « We come in peace » they said, to dig and sow we come to work the lands in common and to make the wastegrounds grow this earth divided, we will make whole so it will be a common treasury for all The sin of property, we do disdain no man has any right to buy and sell the earth for private gain by theft and murder, they took the land now everywhere the walls spring up at their command They make the laws, to chain us well the clergy dazzle us with heaven or they damn us into hell we will not worship, the god they serve the god of greed who feeds the rich while poor man starve We work, we eat together, we need no swords we will not bow to the masters or pay rent to the lords we are free men, though we are poor you diggers all stand up for glory stand up now From the men of property, the orders came they sent the hired men and troopers to wipe out the Diggers’ claim tear down their cottages, destroy their corn they were dispersed, but still the vision lingers on You poor take courage, you rich take care this earth was made a common treasury for everyone to share all things in common, all people one we come in peace, the orders came to cut them down
Sur le site du journal Le Monde, vous pouvez tester votre niveau en orthographe, si ça vous tente… C’est plus amusant qu’une dictée, revenue à la mode, paraît-il –comme si elles avaient disparu !-. Quelques pièges assez connus et un zeste de bon sens font l’affaire : c’est un peu ardu, mais pas trop ! Du coup, je m’en suis sorti avec les honneurs…
Ce billet est plus spécialement dédié à Gilsoub, qui traite du même sujet, à sa manière, sur son blog !
NB. Pour une question au moins, je pense que la mise en oeuvre de l’orthographe rénovée en 1991 permettrait une autre réponse…
Pour qui s’intéresse un peu –ou beaucoup, ou même pas du tout– à l’évolution de la signalétique des marques, la lecture de ce petit article –bien fait, mais un peu court, tant il y aurait de choses à rajouter…– est instructive. –Cliquer sur l’image pour la voir en grand-.
Resterait maintenant à s’intéresser à l’évolution des fontes qui ont accompagné la communication de la marque -Aaaah ! Les luxueux modes d’emploi en Apple Garamond !!! Qu’ils étaient beaux à lire !!!-. Pour suivre l’évolution du look des machines portant ce logo, vous pouvez faire un petit tour rapide dans le musée du Mac.
A lire, ici, ce drôle d’objet d’étude, découvert de matin et qui m’a tarabusté tote la journée… L’événement doit être d’importance, cela dit, puisque pas moins de trois quotidiens nationaux –et peut-être plus : à vérifier dans votre presse régionale ou locale, si vous la lisez– y ont consacré un article dans leurs colonnes de ce jour !
Tiens, m’en vais vérifier dans la presse étrangère ce qu’ils en disent !