Playlist « Touches d’ivoire en liberté »

L’éditeur allemand Hänssler publie régulièrement, dans sa collection Profil, des portraits d’artistes en se fondant sur des enregistrements libres de droit et parfois rares, qu’il compile assez intelligemment et diffuse ensuite à des tarifs très modérés –cf. le coffret Gilels dans la même collection-.

C’est ainsi que j’ai acheté, tout récemment, le remarquable petit coffret –10 CD + 1 livret malheureusement assez succinct-, très vite déposé dans ma boîte aux lettres, dont je vous présente le contenant sur l’image de droite : une anthologie consacrée au pianiste américain –né russeShura CHERKASSKY (1909 ou 1911, ça dépend des sources… – 1995). Les enregistrements proviennent en grande majorité des deux éditeurs majeurs de musique classique de ces années-là –on peut ainsi facilement retrouver les pochettes d’origine– : DGG et EMI et ont bénéficié d’un transfert très soigné. Ce coffret est absolument admirable ! Vous pouvez le retrouver ici.

Doté d’une très belle technique et d’une non moins belle sonorité, CHERKASSKY était un pianiste abordant les oeuvres avec une grande liberté rythmique et un sens du rubato indéniable. Dans le répertoire romantique qu’il aborda essentiellement –Chopin Liszt, Tchaïkovsky, Schumann…-, cela fonctionne formidablement bien et cela permet parfois de dynamiter des oeuvres archi-connues sans les trahir pour autant.

Malgré sa très longue carrière, il enregistra en définitive assez peu –même si sa discographie est enrichie de nombreux enregistrements réalisés en concert et publiés plus tardivement-, et connut son heure de gloire dans les années 50 et 60. Karajan l’admirait beaucoup et ils enregistrèrent ensemble une magnifique version de la « Fantaisie Hongroise » de Liszt, qui ouvre d’ailleurs ce coffret et qui fut l’une de mes toute première découverte musicale quand j’étais enfant.

Réputé trop fantasque pour être facilement accompagné par un orchestre, le pianiste a pourtant enregistré d’excellentes versions des deux premiers concertos de Tchaïkovsky et un premier concerto de Listz non moins convaincant. Son approche des concertos de Schumann et Grieg, autres chevaux de bataille du catalogue, est également superbe, l’énergie débordante du pianiste étant canalisée par l’approche maîtrisée du grand chef anglais Adrian Boult.

Un « Grand Seigneur » du piano ! Et de belles heures d’écoute à venir pour moi !

Playlist « Première fois »

C’est le week-end, et, une fois n’est pas coutume, je suis tombé du lit bien avant le lever du soleil –c’est plus facile avec l’heure d’été, cela dit…-. A l’heure de la publication de cette notule, la playlist en cours, consacrée aux toutes premières publications discographiques –au sens « album » du terme– de chacun des groupes envisagés est presque achevée ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Je ne me souvenais plus trop de « High Voltage », paru en 1976, parce que je l’écoute rarement, même si j’ai toujours beaucoup aimé AC/DC à ses débuts –mon album préféré du groupe est « Dirty Deeds Done Dirt Cheap– : du boogie blues, joué un peu fort, mais pas tant que ça finalement, et un guitariste soliste qui se cherche encore : ici, c’est simple, direct, efficace ! Ça groove efficacement et les paroles de Bon Scott trouvent déjà leur inspiration dans « des histoires de mecs » que l’on n’oserait plus chanter de nos jours sans être confronté à l’ire des ligues officielles de vertu… 

Le premier album des Beach Boys est aussi le plus ancien de cette playlist, puisqu’il date de 1962. Il s’écoute en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire : 12 titres dont aucun ne dépasse 2’30 ! Une vingtaine de minutes de bonne humeur et de mélodies fraîches et joyeuses, qu’on oublie presqu’aussi vite ! Mais un chouette bain de jouvence !

Le premier album de Fleetwood Macversion « anglaise » du groupe, qui s’américanisera par la suite-, sorti en 1968, présente l’avantage de nous faire entendre un Peter Green –imagette de droite– très à son aise, mais aussi la belle slide guitar de Jeremy Spencer, aujourd’hui oublié. Des titres blues d’excellente facture, soutenus par l’une des meilleures section rythmique de l’époque.

Evidemment, je garde la bonne bouche pour la fin ! Il est quasiment impossible, aujourd’hui, de trouver la version anglaise du premier album des Rolling Stones1964– et seule l’édition américaine est disponible. Et, cependant, c’est bien l’édition anglaise qui est la meilleure des deux, avec une playlist beaucoup mieux équilibrée. Et, 55 ans après sa parution, cela reste un merveilleux album, plein de gouaille et de raucité lorsqu’on le compare aux productions d’artistes « concurrents » de la même année !

Décalage horaire : quatre clairs de Lune

En cette matinée d’antépénultième décalage horaire –si j’ai bien compté, puisqu’en 2021, on devrait arrêter de décaler sans cesse les aiguilles de nos montres et nos horloges internes-, une petite playlist matinale consacrée à quatre visions de la Lune…

La quatorzième sonate pour piano de Beethoven, dite « Clair de Lune » en français –sans pour autant y trouver trace de la chansonnette « Au clair de la Lune »– est l’une de ses plus connues, et son premier mouvement a été mis à toutes les sauces, pour le pire et pour le pire… Elle est également très accessible, y compris aux oreilles les moins sensibles à la musique classique, et ne dure pas suffisamment longtemps pour avoir le temps d’ennuyer les mélomanes les moins aguerris –de l’ordre du quart d’heure, pour trois mouvements très contrastés-. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Beethoven composa cette oeuvre au tout début du 19ème siècle –1801-, à une époque où il adoucissait encore son caractère explosif et ombrageux et faisait quelques efforts pour trouver sa place dans la bonne société viennois,  mais aussi où sa surdité naissante ne l’empêchait pas de se produire encore comme pianiste : il possédait un sens génial de l’improvisation, unanimement reconnu et salué, que l’on retrouve sans doute un peu dans le caractère improvisé du premier mouvement.
Ce n’est pas le compositeur qui donna ce titre –postérieur à son décès– à la sonate, qu’il n’appréciait d’ailleurs pas outre mesure et dont il ne comprit jamais le succès, immédiat dès sa toute première audition publique.

Au choix, je vous laisse associer un adjectif à chacune des versions entendue : épure, copie d’épure, indifférente, vocale. Les pochettes ne vous aideront pas. 
Pour la petite histoire, la dernière pochette correspond à mon premier achat de CD catégorie « piano solo » –et l’un de mes dix premiers CD toutes catégories confondues-.

Playlist « Transcriptions »

La playlist de ce jour est exclusivement consacrée à des transcriptions d’oeuvres de Johann Sebastian Bach, soit pour piano, soit pour formation de chambre, soit pour orchestre. J’aime souvent mieux ces versions que les versions originales, je sais, c’est mal mais c’est ainsi ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

D’une part, je n’aime pas trop écouter des oeuvres pour orgue en milieu domestique, l’instrument supporte assez mal, à mes oreilles, une restitution en appartement –et la gestion des dynamiques est complexe, il s’agit d’un instrument qu’il convient, selon moi, d’écouter suffisamment fort pour en profiter pleinement-. d’autre part, ces transcriptions permettent d’éviter le phénomène « machine à coudre » que j’entends, trop souvent, en écoutant ce compositeur –mais c’est très subjectif et complètement personnel !-.

Nonobstant, ces transcriptions sont toutes très bien réalisées et, comme je télé-travaille en même temps, sont très bien adaptées à cette matinée printanière. De plus, tous ces albums sont très bien enregistrés, ce qui ne gâte pas mon plaisir !

Interminable feuilleton -et pages de musique-

Vous trouverez ici un schéma en forme de dédale et autres impasses : c’est le long et sinueux chemin qui doit –ou pas…– conduire les Anglais vers la sortie de l’Union européenne. Honnêtement, pour moi qui suis de très près ce sujet passionnant, c’est mieux et plus tendu que le meilleur des feuilletons.

Tout y est : indécision, trahisons et rebondissements, coups bas et formules choc. Les séances en « live » du parlement anglais sont d’un bel intérêt et leur système de vote est hilarant, sans parler de la noble prestance du « Speaker » qui s’exprime dans un Anglais exquis ! Il ne fait pas bon être premier ministre anglais en ce moment… Ce serait presque jubilatoire si le sujet n’était aussi grave !

Cet imbroglio politico-institutionnel ne m’empêche pas d’écouter un peu de musique quand j’en ai le temps –c’est à dire : pas souvent en ce moment-.
Pour rester en Angleterre, j’ai trouvé cette très belle intégrale des symphonies de Schumann –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-par un chef qui est peu la quintessence des chefs anglais de son époque, Sir Adrian Boult, conduisant l’orchestre philharmonique de Londres. Les enregistrements, datant de l’été 1956, sont tous très bons pour l’époque –l’éditeur, Westminster, était très réputé pour cela, plus encore que Decca au même moment– et, globalement, c’est une très belle intégrale, que vous pouvez écouter en ligne ici !
Grand brahmsien, spécialiste de l’interprétation des  musiciens anglais –et notamment d’Elgar, qu’il connut bien-, Boult est décapant dans la troisième et très engagé dans la quatrième. De quoi passer quelques moments vraiment agréables !

Chauvinisme musical

J’ai récupéré, il y peu de temps, ce singulier livre –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, genre de petit guide critique des disques parus en France entre 1946 et 1952, soit juste au moment de l’émergence des premiers microsillons 33 tours. Sa lecture, en 2019, est assez intéressante : ayant accès aux archives de la revue « Gramophone » depuis la parution de son premier numéro, en 1923, j’avais déjà eu l’occasion d’entrevoir que la critique musicale est parfois tributaire des « goûts nationaux » –c’est moins vrai lorsqu’on lit les revues allemandes, par exemple, mais en lien peut-être avec le plus grand nombre de compositeurs et d’interprètes austro-allemands dans le répertoire classique courant-.

Quoi qu’il en soit, il me semble que les critiques musicaux français étaient encore plus chauvins que leurs homologues étrangers, que ce soit en matière de compositeurs ou d’interprètes. La fameuse « clarté française », le goût pour une approche « rationnelle » sont, ici, exacerbés de manière particulièrement subjective, et je m’étonne que de si réputés « musicologues » aient, pu, parfois, se montrer si chauvins, si dogmatiques et, finalement, si peu clairvoyants !
Certes, on se situe presqu’encore au sortir de la guerre, mais il me semblait que l’art n’avait pas trop de frontières…

Un petit extrait, consacré aux symphonies de Mahler, vous donnera une idée de la chose : « Ces neuf symphonies sont lourdes, interminables et kolossales, entassant d’instrumentaux Pélion sur des Ossa de choeurs à dix parties, comme dans la VIIIème, qu’on appelle Des Mille, parce qu’elle exigerait, à dire d’experts, mille exécutants ou mille heures de répétition, sinon l’un et l’autre. […] »
A propos de sa quatrième symphonie, la seule jugée digne d’être entendue, on peut lire : « Evidemment, comme ça se dit sans élégance, il a ici à boire et à manger -disons même à bâfrer et à pitancher , cette progéniture étant évidemment de nature pantagruélique ».

Dans ce livre, Bruckner relève à peu près du même traitement, et Bartok ne ferait « se pâmer que les snobs prétentieux »… En revanche, la Marche Hongroise » de Berlioz est une « oeuvre somptueuse » et le « Requiem » de Fauré est un symbole « de la grandeur à la française ».

En matière d’interprètations, le constat est encore plus cocasse, et des disques qui ont passé l’épreuve du temps et sont aujourd’hui regardés comme des enregistrements « de référence », y compris en France, font l’objet de critiques, par des grand noms de la presse musicale française de l’époque, dont le chauvinisme le dispute à la mauvaise foi. En revanche, parmi les disques recommandés, souvent par des interprètes français aujourd’hui oubliés, même par les connaisseurs, très peu sont passés à la postérité.

L’autre singularité, c’est la faiblesse du nombre de disques parus en France, à cette époque, au regard des catalogues autrement plus volumineux en Allemagne ou en Angleterre. Finalement, la « mondialisation » n’a pas que des inconvénients !

Soirée de gala – Concert Sibelius

Comme annoncé dans la notule précédente, nous nous sommes rendus, hier soir, avec TheCookingCat, au concert prévu, dont le programme et les interprètes suivent.

Arrivés très peu de temps avant la fermeture des portes, nous avons trouvé deux places assises tout au fond de la salle de la grande église faisant office, pour un soir, de salle de concert. Détail qui n’est pas si anecdotique pour la suite de cette notule… En effet, la réverbération du lieu est très importante et explique sans doute en grande partie que le message sonore parvenu jusqu’à nos oreilles ait paru parfois un peu déséquilibré. L’autre explication en étant que l’orchestre compte assez peu de cordes, et que, notamment, les altos sont en petit effectif : on ne les a pas beaucoup entendus durant tout le concert.

Il en a résulté quelques déséquilibres lors d’un Finlandia très solennel où les cuivres, d’où nous étions, couvraient parfois l’ensemble de l’orchestre. Pour autant, la petite harmonie est magnifique et l’entrée du mouvement lent du concerto pour violon fut tout-à-fait superbe, comme d’ailleurs l’ensemble de l’oeuvre, prise sur un tempo très large –ce qui est préférable en ce lieu très résonnant-. Ce concerto, magnifiquement écrit et très virtuose, a donné à entendre un superbe soliste, Shuichi Okada –un nom à retenir– très bien accompagné par un orchestre de très belle tenue, dans une vision essentiellement lyrique qui convient tout-à-fait à cette oeuvre. Magnifique prestation également d’un soliste réellement prometteur, à la très belle sonorité et que l’on a pu admirer en « rappel » dans un extrait de la partita pour violon n°3 de Bach, toute de légèreté et de finesse.

La soirée s’est achevée sur un poème symphonique de Dvořák, « La colombe« , connu également sous le nom de « La colombe sauvage ». Le compositeur n’étant pas de mes favoris, je ne connais l’oeuvre que d’assez loin, mais la version entendue ce soir était d’un très beau lyrisme et chantait très agréablement.

Depuis la dernière fois que j’avais entendu cet orchestre en concert, il me semble qu’il a remarquablement progressé en terme de justesse de ton et de sonorité, notamment au sein de la petite harmonie, vraiment impeccable. Son chef, Etienne Bardon, fut assistant d’Alain Lombard, lui-même assistant de Karajan, dont on connaît la vénération qu’il portait à Sibelius.
Malgré une petite réserve sur la salle peu adéquate, une excellente soirée et un très beau concert !

Playlist préparatoire

Ce soir, j’irai entendre le concerto pour violon de Sibelius –selon mes oreilles : le plus beau composé au 20ème siècle avec celui d’Alban Berg– au concert, pièce de résistance de cette sortie musicale, où un soliste en devenir –il prépare le concours de la reine Elisabeth, ce qui pose un peu son niveau…– sera accompagné par un orchestre « d’amateurs » de très bon niveau, fondé en 1899 –je les ai entendus souvent, plus jeune, et, dernièrement encore, ils ont délivré une belle version de la cinquième symphonie de Sibelius-. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Dans cette attente, la playlist plutôt éclectique de ce jour est consacré à des artistes du « Grand Nord », sans que Sibelius y soit cependant présent.
Le premier album est consacré au trio formé par le guitariste Terje Rypdalnorvégien– et ses acolytes Miroslav Vitous –contrebasse– et Jack DeJohnette –batterie-, trois virtuoses d leur instrument respectif. C’est une espèce de jazz « progressif » relativement facile d’accès, plutôt mélodieux et , surtout, très bien enregistré.
Uuno Klami et Levi Madetoja sont des compositeurs finlandais qui demeurent un peu dans l’ombre de Sibelius et qui, grâce au disque et, en particulier, grâce à l’émergence du CD, ont été livrés à la curiosité d’un public plus large. C’est toujours très agréable et souvent mieux ! Là encore, les deux disques du jour bénéficient d’une très belle prise de son !
Enfin, Einojuhani Rautavaara, compositeur finlandais plus tardif et complètement inscrit dans le vingtième siècle, a écrit, notamment, 8 symphonies, dans des genres très divers. Celles entendues ce jour sont la Troisième –très proche de Bruckner dans le traitement de l’orchestre, voire parfois des thèmes développés– et la Sixième, inspirée par des fragments de la vie et de l’oeuvre de Van Gogh.
De quoi ma préparer très agréablement à ma petite virée de ce soir !

Mort depuis 150 ans hier !

Hier, on commémorait –modestement, parce que l’actualité, partout, traitait essentiellement de la Journée internationale des Femmes– le cent-cinquantième anniversaire de la mort du compositeur Hector Berlioz, compositeur français dont le culte est, depuis longtemps et de son vivant-même, parfaitement établi en Angleterre –ce qui prouve que nos amis d’Outre-Manche ont parfois une sûreté de goût mieux et plus vite établie que dans nos riante contrées nationales-.

Les chefs d’orchestre anglais, d’ailleurs, ont très rapidement oeuvré pour établir sa réputation discographique, et notamment Thomas Beecham et Adrian Boult, puis Colin Davis, qui, dès les années 60, se proposa d’enregistrer une grande partie de son répertoire. Tradition désormais perpétuée avec le talentueux Robin Ticciati à la tête de son orchestre écossais !

Cette relative méconnaissance s’applique ici aussi : je le connais assez mal, hors bien entendu la « Symphonie fantastique« , découverte il y a plus de quarante ans !

Ma discothèque est assez pauvre, donc, pour ce qui concerne les autres oeuvres du compositeur, même si j’envisage toujours d’acheter la formidable intégrale de son opéra « Les Troyens » enregistrée à Strasbourg assez récemment en version de concert –et dirigée, là encore, par un excellent chef anglais…-.
C’est aussi le cheval de Troie qui trôna sur la parvis de l’opéra national du Rhin durant toute la saison 2006-2007 –cliquer sur l’imagette de de droite pour la voir en plus grand– : l’oeuvre y fut donnée intégralement, et cela m’avait paru interminable, malgré d’excellents passages : 5 actes, et plus de cinq heures de spectacle avec les entractes  !

Il paraît que le bouillant Hector est «  »panthéonisable » depuis une cinquantaine d’années, mais que, pour diverses raisons, cela n’a pas encore été concrétisé –on lui préféra, notamment, Alexandre Dumas-.
Le dossier est une nouvelle fois remis à l’étude et pourrait désormais aboutir rapidement.

Playlist « Grands classiques du répertoire »

La playlist du jour est consacrée à des oeuvres « du grand répertoire », de celles que l’on recommande généralement au « mélomane débutant » pour appréhender la « musique classique » en y trouvant plaisir sans crainte d’aborder une oeuvre trop difficile : vous les trouverez dans toutes les listes du genre « 101 oeuvres pour débuter en musique classique »… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Toutes ces oeuvres sont en effet des chevaux de bataille du répertoire de leur genre et les bonnes interprétations, qui sont légions –et celles-ci en font partie– leur permettent d’échapper aisément à la mièvrerie et suscitent l’intérêt de bout en bout. 

De quoi accompagner très agréablement une après-midi de télétravail !

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