Escapade estivale

Les nouveautés…
La grande nouveauté, cette année, est que nous sommes partis, en première semaine, avec un couple d’amis pour lesquels nous avons joué le rôle de « guides expérimentés » : depuis 2006 et sauf en 2014, nous passons régulièrement nos vacances estivales en ces lieux, pour des durées variables !
Entre Calais et Le Touquet, il y avait donc moyen d’arpenter les différentes plages de la Côte d’Opale, qui possèdent toutes leurs particularités et leurs charmes : cela va du très sauvage au très aménagé, sans toutefois une bétonisation à l’extrême comme on peut en voir en Belgique ou aux Pays-Bas –cliquer sur la carte pour la voir en plus grand : les cercles rouges symbolisent les plages visitées-. A une occasion, en diablotin téméraire, j’ai même pris un bain de pieds, dans une eau qui reste bien fraîche en toutes occasions –plus jeune, je m’y baignais en combinaison…-.

Les activités des vacances
Promenades sur plages : des milliers de pas chaque jour ! – Tourisme local –très peu cette année en deuxième semaine– – Photos – Bistrots pour étancher la soif – Restos variés – Quelques achats au Channel Outlet Store de Calais, dont, notamment, un très beau blouson cuir noir –presqu’un Perfecto– pour moi !

Les logements de nos vacances
En première semaine, j’avais trouvé un superbe appartement spacieux et lumineux, un peu retiré dans les terres –5 kilomètres à vol d’oiseau de la mer-, très bien équipé et finalement idéalement situé pour sillonner la région. Un rapport qualité prix exceptionnel en plus !

Durant la seconde semaine, j’ai assouvi un vieux fantasme, puisque nous avons logé dans l’ancien Grand Hôtel de Wimereux, reconverti en appartements et studios dont une grande partie sont loués via une plate-forme en ligne bien connue. Comme notre studio était situé dans les anciennes chambres de bonne, tout en haut de l’édifice, nous avons beaucoup vécu dehors, canicule oblige !
Nonobstant, le bâtiment, récemment rénové, est superbe et possède un magnifique ascenseur d’époque ! –Cliquer sur la photo pour le voir en plus grand-. Nous avons cependant peu bougé de la ville : le plan de circulation et le stationnement y sont, en cette période estivale, fort difficiles, et une fois que nous avions trouvé une place de stationnement à relative proximité de notre logement, nous avons décidé de ne plus en bouger ! En effet, lors de notre arrivée, nous avons dû stationner à grande distance de notre studio et la transfert des bagages fut un petit calvaire !

La météo des vacances
Grand beau soleil durant tout le séjour, avec 5 journées caniculaires supportables en extérieur –même si, pour la première fois depuis toutes ces années, nous n’avons connu aucun vent sur la digue de Wimereux lors de nos longues promenades durant ces cinq journées-.

Gastronomie estivale
La gastronomie locale n’est pas réputée pour sa finesse excessive, pays de marins et de productions agricoles peu variées oblige… Elle est copieuse, roborative et les restaurants pratiquent généralement des tarifs très doux, même en bord de mer. La frite règne évidemment en maîtresse absolue et accompagne généralement chaque plat…
Wimereux – Samedi : welsch complet du chef
Wissant – Dimanche : moules au curry et au gingembre
Bazinghen – Lundi : terrine de lapin maison – Jarret de porc à la bière
Hardelot – Mardi midi : moules marinières (toute petites)
Wimereux – Mercredi : soupe de poisson – burger au poulet de Licques sauce Maroilles
Boulogne-sur-Mer – Jeudi : assiette de la mer; welsch complet
Wimereux – Vendredi : moules au sablé de Wissant – glace menthe
Wimereux – Samedi : planche apéritive; pizza alsacienne*
Wimereux – Dimanche : salade Océane*
Wimereux – Lundi : planche de la mer à partager; welsch complet
Wimereux – Mardi : double burger bœuf Angus
Wimereux – Mercredi : assiette apéritive à partager (nems et samoussas) ; bœuf thaï au poivre noir*
Wimereux – Jeudi : assiette tex-mex*
Wimereux – Vendredi midi : potjevleesch aux quatre viandes
Wimereux – Vendredi soir : moules au sablé de Wissant
*repas sans frites

Vacances en chiffres…

Kilomètres parcourus en voiture : 1753 km
Consommation moyenne : 4,7 l
Pays traversés : 3
Kilomètres parcourus à pieds : ± 10 km chaque jour, dans le sable, sur les digues ou les trottoirs lillois
Marches montées et descendues : plusieurs fois 142 marches, Boulogne est une ville ou rien n’est plat, les pentes sont parfois très raides et nous habitions au somment d’une falaise face au port –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand
Paires de chaussures achetées à prix fracassés : 6
Plages visitées : 8 seulement cette année – du sud au nord : Le Touquet, Hardelot, Le Portel, Boulogne-Sur-Mer, Wimereux, Ambleteuse, Wissant, Sangatte

Gastronomie locale…
Frites avalées : plusieurs kilos ! Les meilleures étaient à Wimereux, deux restaurants en proposent des fabuleuses !
Bières bues : plusieurs litres, par « pinte » d’un demi-litre !
Plats dégustés au moins deux fois : Welsh complet; Potjevleesch de la mer -un miraculeux plat de trois ou quatre poissons en cuisson lente à basse température, servis en gelée; moules – frites

Satisfaction retirée de tout cela : infinie !!!

Vive les vacances !

D’après la météo, nous serons sortis de la canicule lors de notre départ en vacances, samedi, mais nous voyagerons sous la pluie !  –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Samedi soir, balade et apéro-repas sur la digue, quel que soit le temps !

Peut-être profiterons-nous même de la possibilité d’aller pour la dernière fois en Angleterre sans visa ? A voir…

En attendant, je me suis levé avant le soleil pour ouvrir les fenêtres et les volets pour rafraîchir l’appartement, qui n’est pas excessivement chaud cela étant : nous n’y avons pas dépassé les 27° au plus fort des grosses chaleurs d’hier –et aujourd’hui s’annonce pire, puisqu’on devrait frôler ou dépasser les 40°-.

Pensées estivales

TheCookingCat me rappelait souvent, ces derniers jours, qu’il était plus que temps de s’occuper de nos vacances estivales –depuis qu’elle avait réussi à obtenir les dates qu’elle avait choisies-. C’est chose faite depuis hier !

La grande nouveauté, c’est qu’on passera, lors du retour, trois jours à Lille, ville qu’elle souhaitait visiter depuis longtemps. Pour le reste, ce sera : plages, petites balades dans les dunes, vite du tunnel sous la Manche s’il n’a pas été bouché d’ici-là et autres restos et photos –avec, peut-être, pour ce qui me concerne, un nouvel appareil ? Je m’interroge…-.

Vivement l’été, donc !

De choses et d’autres : considérations inessentielles !

Finalement, contrairement à ce que j’indiquais hier, nous partirons quelques jours –même pas une pleine petite semaine– à la mer, face aux côtes anglaises, puisque j’ai réussi à trouver un lieu d’accueil a priori sympathique via une plate-forme en ligne bien connue et qui s’est fortement développée depuis quelques années, tant et si bien qu’une loi de régulation porte son nom… Un peu de changement d’air et de paysages, voilà qui devrait nous ravir après une année bien chargée !

Juste avant ce départ, il nous faudra aider au déménagement de la fille aînée de TheCookingCat, qui part pour une année comme assistante dans une université américaine : une longue expérience de la chose sera propice aux conseils avisés en matière de chargement et de transport, et je lui ai même trouvé des bras secourables pour le déplacement des objets lourds –à savoir, essentiellement, une machine à laver– ! Et, au retour de notre court périple, il faudra la conduire à l’aéroport de Bâle, d’où décollera son avion.

Hier, j’ai « rentabilisé » mon compte « Prime » de la célèbre boutique en ligne : ils « offrent » un espace de stockage des photos illimité en taille, j’ai donc exporté une centaine de Go dans le nuage, ce qui m’a pris près de deux pleines heures quand même… L’interface en ligne est assez lisible et offre même quelques possibilités de retouche que je n’ai pas testées à cette heure –et cela m’étonnerait, d’ailleurs, que je le fasse, je dispose de bons outils locaux à cette fin-.
MiniNain, pour en avoir discuté avec lui hier soir, restait assez dubitatif sur le modèle économique prôné, se demandant s’il était viable : à mon avis, oui, les choses doivent largement s’équilibrer entre ceux qui profitent des opportunités liées à ce type de compte et ceux qui n’en tirent guère profit : autour de moi, ceux qui en disposent n’utilisent guère les outils en ligne, sauf pour regarder des films.

By the way, notre couloir est fini ! Le peintre a mis plus de temps que prévu, il a même fait venir un collègue pour l’aider tant la tâche était rude ! Après deux jours, ils avaient juste fini de retirer les restes de papier peint et fixé un durcisseur sur le mur. Les trois jours restants, ils ont enduit, lissé, poncé, reponcé, tapissé puis peint et repeint ! A la fin, le résultat est très réussi : les murs et le plafond sont parfaitement lisses et propres ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Ci-dessous, un extrait de l’album qui a accompagné la rédaction de cette notule ! Très chouette, même si le volume d’écoute forcément modéré à une heure très matinale n’aide pas vraiment à en profiter aussi pleinement que je le souhaiterais ! Il fait partie d’une série de trois disques que ce grand chef consacra avec « son » orchestre de San Francisco puis avec celui du Gewandhaus de Leipzig, entre 1987 et 1997, à la musique de cet immense compositeur sans doute trop méconnu de nos jours, et que j’apprécie tout particulièrement, dans tous les domaines qu’il a abordés. –Cliquer sur l’image de la pochette pour la voir en plus grand-.

Playlist « Evocation de la mer »

Comme la perspective de passer des vacances estivales à la mer -ou ailleurs…- s’éloigne à grands pas ces derniers jours –même si les travaux de rénovation avancent plutôt vite et bien, ils sont d’ampleur, chronophages et s’avèrent un peu coûteux-, je me suis rabattu sur une playlist où de chatoyantes sonorités évoquent cette mer… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

On retrouve donc, évidemment, « La Mer », de Claude Debussy, oeuvre « impressionniste » très agréable, et son presque pendant stylistique « Les Océanides », de Sibeliusune très belle pièce, restée longtemps peu connue, mais néanmoins vraiment belle !-. La symphonie « Hebridean » de Granville Bantock est sa première, et, à mes oreilles, sa plus belle. Elle s’inscrit dans une veine post-romantique, mobilise un orchestre important et distille quelques magnifiques sonorités –cf. extrait ci-dessous– ! Enfin, l’ouverture « Les Hébrides » de Mendelssohn, qui complète, sur cet album, une troisième symphonie solidement charpentée, vient achever ce rapide voyage marin…

Une petite matinée de relâche, avant de poursuivre mes activités de décollage de papier peint –qui sont presqu’achevées : à partir de demain, les longs travaux de peinture (± 80 mètres carrés de plafond et au moins autant de murs) et de mise aux normes électriques pourront débuter– !

Playlist avec un T

Peu de musique ces derniers jours, pour cause de plein d’autres choses à faire… Et, notamment, m’interroger sur mon prochain lieu de villégiature estivale, puisqu’il semble que celui où nous allions régulièrement ces dernières années ait été englouti par les flots –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. J’aurais bien voulu y être pour voir ça : d’ici cet été, tout aura séché !

En attendant, c’est une playlist alphabétique consacrée aujourd’hui à la lettre T qui résonne dans la maison. Là encore, le choix était remarquablement vaste, et il a fallu éliminer plein de choses que j’aurais eu plaisir à écouter également ! Reste donc dans cette sélection du jour –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– :

• Lou ReedTransformer – 1973. Peut-être le plus connu des albums de l’artiste, il contient son unique vrai grand succès populaire, « Walk On The Wild Side« , avec contrebasse, saxophone et choeurs doop-doo-doop faciles à chanter !

• Carla Olson & Mick TaylorToo Hot For Snakes – 2008. Malgré une date de sortie relativement récente, l’album contient des chansons enregistrées en live en 1990, ainsi que d’autres enregistrées en studio par la chanteuse texane, avec ou sans Mick Taylor. Celui-ci nous livre, sur « Sway« , ce que je considère comme le plus beau solo de l’histoire du Rock, et brille également sur « Winter« , une reprise des Rolling Stones qu’il composa avec Mick Jagger –de l’aveu même de ce dernier-, mais pour laquelle il ne fut pas crédité.

• ScorpionsTokyo Tapes – 1978. Dernier album du groupe allemand avec la guitare de feu d’Uli Jon Roth. L’un de mes live préférés, avec quelques titres vraiment excellents : « We’ll Burn the Sky« , « Fly To The Rainbow » ou « Polar Nights« , qui ne sont pas forcément les plus connus du groupe –un petit extrait ci-dessous-. Cette réédition japonaise a été totalement remixée, améliorant considérablement l’impact de la section rythmique et la lisibilité de la guitare rythmique de Rudolf Schenker, un peu noyée dans toutes les éditions précédentes.

• The Flamin’GrooviesTeenage Head – 1971. L’un des tout meilleurs albums de ce groupe vaguement maudit, qui ne perça jamais tout-à-fait, et se trouva confronté à des changements de personnel incessants. Sauvage et rauque, souvent considéré comme l’équivalent américain du « Sticky Fingers » des Rolling Stones, paru la même année.

Notule bourgeoise -et colorée-

Allez ici, et vous comprendrez le drôle de titre de cette notule ! Et , vous en apprendrez bien plus que n’importe quelle légende que j’aurais pu mettre, je n’en ai donc pas mis ! L’ouvrage, au demeurant, est très impressionnant de près, assez monumental de proportions, et mérite la visite.
Pour d’autres photos plus colorées, un autre album est en ligne en suivant ce lien.

Quant à moi, il faudrait que je m’abstienne de prendre des photos avec les lunettes de soleil, la balance des blancs est toujours un peu délicate à régler par la suite…

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