The Cure : le miracle des 40 ans !

L’autre objet magnifique dont je vous parlais l’autre jour, et qui, outre les travaux de rénovation qui se prousuivent, m’a empêché d’aller plus avant dans la découverte du coffret présenté alors, est l’arrivée d’un colis que j’attendais depuis plusieurs semaines, puisque je l’avais pré-commandé dès l’annonce de sa sortie et qu’il est enfin arrivé, mardi, dans ma boîte aux lettres.

Il s’agit de la version « Deluxe » du coffret des deux concerts donnés par The Cure à l’occasion de leur quarantième anniversaire : un très beau contenant et un non moins exceptionnel contenu !

Dans un format un peu à part –un coffret en solide carton de 25 cm de côté et d’environ 3 cm de profondeur, donc inlogeable aisément dans une colonne prévue pour des boîtiers de CD de 12,5 cm de haut…-, on trouve un très bel album-photo et deux blu-ray ainsi que 4 CD. Chaque blu-ray reprend un concert : l’un au Royal Albert Hall, l’autre à Hyde Park, et chaque concert est également repris sur 2 CD chacun. Afin d’éviter les redondances, chaque concert propose une playlist qui permet de fêter les quarante années du groupe de manière différentes :

• au Royal Albert Hall, le groupe joua un extrait de chacun de ses albums dans l’ordre chronologique –From Here To There-, puis, en seconde partie, reprit le même processus à l’envers –From There To Here-, quelques « hits » venant, de surcroît, en rappel;

• à Hyde Park, la constitution de la playlist échappe un peu plus à cette forme de rationalité, et ressemble assez aux playlists fréquemment interprétées lors des différents festivals ou The Cure aime régulièrement se produire depuis près de 15 ans. Ce concert fut filmé par Tim Pope, vieux complice du groupe, dans la perspective d’en réaliser un film spécialement dédié au cinéma.

Les deux concerts sont d’ailleurs superbement filmés et donnent à voir un groupe heureux d’être sur scène, avec un Robert Smith un peu plus svelte et que, personnellement, je n’avais jamais vu aussi joueur avec le public –que ce soit documenté en film ou lors des nombreux concerts du groupe auxquels j’ai assisté-, allant même à s’adonner à quelques échanges avec lui -ce qui est tout-à-fait nouveau- et se montrant régulièrement très souriant, ou, parfois, très ému –« Disintegration », par exemple-. 

Dans une formation à cinq –Robert Smith : guitare, basse six cordes, chant; Simon Gallup, basse; Jason Cooper, batterie; Roger O’Donnell, claviers; Reeves Gabrels, guitare-, qui constitue sans doute la formule idéale –ils sont passés du duo au sextet-, le répertoire abordé est parfaitement rodé et chaque chanson est superbement interprétée : pour qui connaît le groupe de longue date, il n’y aura évidemment pas de révélation majeure, mais on peut tout de même affirmer que :
la présence d’un clavier me semble à peu près indispensable pour interpréter sereinement certaines chansons, dont le magnifique « Plainsong », qui, dans une formule à quatre, peinait à trouver tout son sens, malgré l’immense talent du désormais retiré Port/Pearl Thompson;
Jason Cooper est bel et bien le meilleur batteur que le groupe ait connu, malgré les doutes ayant émergé ici ou là chez certains lors de son entrée dans The Cure, en 1995; une très belle technique, un énorme abattage et beaucoup d’engagement;
je ne connaissais pas très bien Reeves Gabrels, le guitariste dernier arrivé dans le groupe : il est tout simplement remarquable, et propose des chorus ou des solos sobres mais très inventifs, qui viennent parfaitement s’intégrer au son et au caractère de chaque chanson;
Simon Gallup est un marcheur exceptionnel : du début à la fin du concert, il arpente la scène dans tous les sens, grimpe sur les amplis tel un cabri, tout en délivrant ses lignes de basse avec sa grâce habituelle –les lignes de basse de The Cure sont terriblement efficaces, généralement plus mélodiques que rythmiques, et tombent merveilleusement sous les doigts-;
40 ans après, la voix de Robert Smith a très peu bougé, il monte encore avec beaucoup d’aisance dans les aigus; en revanche, il a énormément gagné en expressivité dans sa manière d’aborder ses textes très personnels.

Au final, depuis la sortie du triple DVD « Trilogy » sorti pour les 20 ans du groupe, je n’avais pas pris autant de plaisir qu’avec ce nouveau coffret, qui s’inscrit très haut dans la discographie de The Cure !

Récompense méritée… mais tardive

Ils étaient éligibles depuis 2004, avaient déjà été sélectionnés au moins deux fois auparavant, et leur non-nomination était assez régulièrement dénoncée par leur pairs ou la presse spécialisée comme un petit scandale… C’est officiel désormais, les voilà intronisés dans ce « temple de la renommée du Rock’n’Roll –même si tous les nombreux membres qui ont, un jour ou l’autre, composé le groupe, n’ont pas été retenus pour pénétrer le saint des saints…– !

Playlist pour -presque- finir l’année

Peut-être, sans doute, me suis-je levé avant le soleil ce matin, mais comme il ne devrait pas se montrer de toute la journée, c’est assez difficile à dire ! En tout cas, depuis très tôt, cette playlist très disparate résonne dans la maison, de plus en plus fort à mesure que l’heure avance ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Pas grand-chose à en dire, puisque je vous ai déjà parlé ici de la symphonie de Glière et qu’elle est délivrée dans une version « avec coupures », comme tous les enregistrements de cette symphonie avant l’apparition du CD –les deux versions dans ma discothèque sont plutôt anciennes, mais je sais qu’il en existe au moins une complète, très bien enregistrée de surcroît, mais assez chère-.
Les albums des Cure et d’AC/DC sont déjà « des classiques » et celui des Flamin’Goovies est, à mes oreilles et pour de nombreux autres, l’un des meilleurs albums parus en 1969, grand année pour la « Rock-Music » au sens large du terme : c’est dire sa grande qualité !

Bref, une matinée dominicale qui s’annonce bien !

Playlist « Chutes de radio »

Tous les albums écoutés ce matin proviennent des archives d’émissions de radio, et, très généralement, de la BBC –les fameuses Peel Sessions, du nom de leur producteur, John Peel, fameux découvreur de talents, et grâce auquel des groupes aussi importants que Joy Division ou The Cure doivent une partie de leur renommée, puisqu’il était quasiment le seul, alors qu’ils émergeaient à peine, à le programmer sur BBC Radio One-.

 

Il s’agit généralement d’albums assez remarquables, puisqu’on y entend chacun des groupes au tout début de leur carrière, dans les conditions du live –et, généralement dans un son excellent-, avec ou sans public : remarquables car on y entend leur tout premier répertoire souvent exécuté avec, déjà, un vrai accomplissement.

A cet titre, l’album « On Air », des Rolling Stones, est d’ailleurs une vraie révélation –je vous en avais déjà parlé ici– : 32 pépites éclatantes de maîtrise et de brio instrumental, que l’on écoute avec un intérêt sans cesse renouvelé. Vrai bonheur aussi de retrouver The Cure dans leur formation originelle, avec, notamment, la basse agile et mélodique de Michael Dempsey, d’autant plus présente que le jeu de batterie de Lol Tolhurst est minimaliste. –Cliquer sur l’extrait pour l’entendre par vous-même-.

Finalement, les moins à l’aise techniquement semblent être Joy Divisionbeaucoup d’intensité dans la voix de Ian Curtis, mais des décalages ponctuels et des  harmonies vocales parfois bizarres…-. Quant à The Specials, c’est peut-être, tout simplement, l’album le plus abouti de cet excellent groupe anglais issu du courant « ska – rocksteady » : une sorte de compilation très bien jouée, avec beaucoup d’entrain et de bonne humeur !

Bref, une magnifique playlist pour entamer la semaine ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist fourre-tout multicolore

Entamée dès l’aube, cette playlist aux jolies couleurs devait nécessairement commencer par de la musique calme et écoutille à volume modéré, dimanche matin oblige ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Deux heures durant, donc, c’est Erik Satie et JJ Cale qui ont commencé par tourner sur ma platine : dans une version princeps, mélodies simples et dépouillées portées par un pianisme sans grands contrastes dynamiques pour l’un, musique « laid back » très agréable et apaisée pour le second.

Ce qui m’a conduit à la première pause café de la matinée, avant de poursuivre désormais avec deux albums plus remuants. L’album des Cure comprend en fait un « album bonus » par lequel, à cette heure encore précoce de la journée, je vais entamer l’écoute : les mêmes chansons, mais en versions acoustiques : pas totalement dépaysant, mais de belles adaptations avec un instrumentarium relativement varié.
Passé 9 heures, il sera temps d’attaquer « Dirty Works » des Rolling Stones : assez largement décrié lors de sa sortie, du fait notamment d’une production ratée et d’un mixage parfaitement atroce qui met la batterie très en avant comme on aimait le faire dans les années 80, l’album a cependant assez bien vieilli et certains titres s’écoutent avec plaisir.

De trilogie -glacée- en tétralogie -gelée-

Ma playlist –très– matinale est notamment composée de la suite des albums « Seventeen Seconds » – « Faith » – « Pornography » du groupe The Cure, publiée entre 1980 et 1982. Cette suite est parfois surnommée « la Trilogie Glacée », bien que ce terme ne soit pas officiellement avalisé par le groupe. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

On y retrouve cependant les mêmes atmosphères mystérieuses et moroses, allant du gris plus ou moins sombre au noir le plus intense, dans des configurations diverses -du quatuor au trio-, et avec un groupe de musiciens dont le noyau commence à se fixer autour de Robert Smith, leader incontesté et incontestable du groupe.

Parfaite liaison entre « Faith » et « Pornography », « Carnage Visor » est une longue mélopée de plus de 27 minutes, jamais sorti officiellement en album, mais proposé en face B de la première édition la cassette de « Faith ». Une drôle d’expérience musicale, construite autour d’une basse ductile, répétitive, modulant très peu, ce qui donne au morceau une force entêtante ou le rend totalement assommant, selon vos goûts et votre humeur ! –Cliquer ici pour écouter et vous ranger dans l’un ou l’autre camp…-.

Ce titre servait de support à un film d’animation assez réussi et régulièrement projeté pendant la tournée du groupe en 1981 –tournée de promotion de l’album « Faith »– dont il reste assez peu de traces aujourd’hui, si ce n’est ce petit extrait vidéo…

Playlist « Morceaux de concerts »

Alors que nous avons quitté –définitivement ?- la période glaciaire, qui n’aura finalement guère duré –et après tout, c’est l’hiver, il n’est donc pas tout-à-fait étonnant qu’il puisse faire froid…-, et tandis que les travaux de rénovation de notre futur nouvelle appartement avancent lentement –j’ai quand même réussi à faire de la plomberie sans provoquer d’inondation !-, mes journées, pourtant longues, comptent trop peu d’heures pour que je puisse, en plus, consacrer un peu de temps à l’entretien de mes oreilles, ou même à lire quoi que ce soit d’autre que mes deux quotidiens nationaux et un quotidien anglais chaque matin –tôt, forcément tôt…-.

Néanmoins, ce matin, j’ai mis à tourner une courte playlist –une vingtaine de minutes– de petites pépites –à mes oreilles, au moins– enregistrées en concert, n’ayant pas le temps d’écouter un album complet ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et sur l’extrait ci-dessous pour en profiter un peu aussi ! -.

Ça habille très bien ce petit matin, juste avant de partir : aujourd’hui, empaquetage de livres qui vont être donnés pour certains à une médiathèque –20 kilos-, pour d’autres à différents instituts universitaires –histoire : 20 kilos, linguistique : 5 kilos, langue et culture régionale : 12 kilos– : pas assez de place pour tout garder, mais je ne doute pas qu’ils connaîtront une nouvelle vie sur leurs nouvelles étagères !

Playlist avec un S

2018 prolonge 2017 via les playlists alphabétiques, puisque je n’avais pas réussi à épuiser le concept l’année passée… Aujourd’hui, la lettre S, pour laquelle le choix était si vaste que j’aurais pu réaliser quelques playlists supplémentaires vraiment aguichantes… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Commencer la journée avec « Smile », de Brian Wilson2004– est réjouissant et vivifiant, de quoi se mettre de très bonne humeur jusqu’au lendemain ! Conçu pour les Beach Boys en 1967, à l’époque où Les Beatles enregistraient « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band », j’aurais pu ajouter celui-ci à la playlist du jour, mais il n’aurait pas soutenu la comparaison avec « Smile », cette « symphonie de poche adolescente » comme l’appelait son créateur… Des errances de sa composition à sa création tardive, tout, ou presque, a été dit sur cet album pour lequel l’adjectif « mythique » n’est pas usurpé !

• The Cure, « Seventeen Seconds », 1980. Deuxième album du groupe –et premier opus de ce que certains critiques appellent la « Trilogie glacée »-, ici en quatuor –guitare, basse, batterie, clavier-. Le contraste avec « Smile » est saisissant : ici, tout est brumeux et figé, très épuré, à la limite du murmure parfois. J’aime beaucoup ce très beau disque, que je classe dans mon trio de tête des productions du groupe, avec « Pornography » et « Disintegration ».

• The Rolling Stones, « Some Girls : The Complete Demos », 1978. Seconde partie d’une édition « Deluxe » de l’album : des chutes de studio, des reprises, des compositions originales non retenues pour l’album final… Intéressant, mais pas édifiant ! L’album comporte deux blues, dont le premier est gâché par la slide guitar maigrelette de Ronnie Wood… La tournée US qui suivit connut un très gros succès.

• AS Dragon, « Spanked », 2003. A mes oreilles, l’un des tout meilleurs disques produit par un groupe français au 21ème siècle, même si la plupart des chansons sont en anglais- ! Des compositions énergiques très bien interprétées –cf. extrait ci-dessous-, beaucoup de diversité et une très belle mise en musique du poème de Baudelaire : « Un hémisphère dans une chevelure », qui me fait immanquablement penser au « Dirt » des Stooges, l’une des influences revendiquée du groupe français.

Playlist avec un K

Retenu par plein d’autres activités ces derniers jours, j’ai consacré assez peu de temps à mes oreilles, même si j’ai, malgré tout, écouté assez distraitement un peu de musique, et, notamment, la magnifique « Walküre » de Karajan –1966-, ce qui a occupé plaisamment une entière fin de journée hier. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Tombé du lit fort tôt ce matin comme tous les matins depuis le décalage horaire, j’ai constitué une playlist formée d’albums dont le titre commence par la lettre K.
Lettre relativement rare, et choix en conséquence plutôt restreint –une petite douzaine seulement d’albums répondait à cette caractéristique dans ma discothèque-. Chose encore plus rare, cette playlist comporte deux albums étiquetés « Jazz », un genre que je goûte généralement assez peu, comme le savent les lecteurs réguliers de ce blog. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

On retrouve donc, dans l’ordre :
Miles Davis, « Kind of Blue » –1959-. Le disque le plus célèbre du trompettiste, et, paraît-il, l’album de jazz le plus vendu au monde, comme quoi je ne dois pas avoir trop mauvais goût en la matière, malgré mon peu d’appétence…
Sparks, « Kimono My House » –1974-. Evidemment, cette pop fraîche et plutôt ambitieuse contraste singulièrement avec l’album précédent. Personnellement, j’aime beaucoup cet album très singulier, marqué en particulier par la voix à l’amplitude très large de Russell Mael.
Keith Jarrett, « (The) Köln Concert » –1975-. C’est indéniablement le disque le plus célèbre du pianiste, et le disque de piano solo le plus vendu au monde. C’est aussi le premier album « de jazz » que j’ai acheté dans ma vie, et, si je l’écoute plus très souvent, c’est toujours avec plaisir.
The Cure, « Kiss me, Kiss me, Kiss me » –1987-. A contrario, cet album n’est pas mon préféré du groupe. Il est néanmoins très –trop ?– varié, commence très fort avec la fabuleuse chanson « Kiss me », et comporte le très frais et très pop tube, archi-connu, que je vous propose en extrait ci-dessous : de quoi mettre un peu de bonne humeur dans toutes les chaumières !

Playlist avec un H

En ces temps de disette de temps à consacrer un peu sérieusement à mes oreilles –horaires de travail peu propices à cela en ce moment, où mes soirées sont réduites à peau de chagrin, notamment, sans compter qu’en cette période d’importants travaux de voirie, je mets à peu près deux à cinq fois plus de temps à aller-revenir du travail…-, c’est une playlist alphabétique –de fainéant, diront les narquois– que j’ai bâtie vite fait – bien fait ce soir. Nous en sommes donc à la lettre H, -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– et j’avais plus que l’embarras du choix, mais j’ai fait le choix, justement, de retenir des albums plutôt courts.

Ça commence avec le très beau « Histoire de Melody Nelson » de Serge Gainsbourg1971-, l’un des ses « concept-albums », et mon préféré, dans sa production, avec le non moins beau « L’homme à tête de chou », qui aurait tout aussi bien pu figurer dans cette liste ! L’orchestration aux couleurs sombres de Jean-Claude Vannier sied tout-à-fait bien aux textes de Gainsbourg, pas encore Gainsbarre mais déjà barré dans ses trips un peu glauques. Les paroles sont très belles, au demeurant, et l’histoire permet de lancer une collaboration fructueuse à venir avec Jane Birkin.

On continue avec la musique du film-hommage consacré à Chuck Berry, « Hail Hail Rock’n’Roll » –1987-, où le vieux maître –déjà passablement aigri– est accompagné de ses « jeunes » disciples, parmi lesquels on retrouve Keith Richards en maître de cérémonie et inspirateur du projet, mais aussi, au détour de quelques notes de guitare, Eric Clapton –qui joua beaucoup de Chuck Berry à ses débuts, dans les Yardbirds, notamment-. Très bien pour se remettre en mémoire quelques pages de l’histoire de cette musique !

« The Hours » est la musique composée par Philip Glass pour le très beau film de Stephen Daldry, qui relate une journée cruciale dans la vie de trois femmes reliées entre elles par « Mrs Dalloway », le roman de Virginia Woolf. Les trois actrices principales sont formidables, le film très bien construit si on aime la lenteur et la bande musicale composée par Philip Glass, qui reproduit comme toujours ses recettes un peu éculées, fonctionne très bien dans ce contexte, et a d’ailleurs obtenu plusieurs nominations – distinctions à sa sortie, en 2002.

On termine, enfin, avec « The Head On The Door » des Cure1985-, l’un de leurs albums les plus frais et pop, à une époque où les changements constants de musiciens avaient largement déstabilisé le groupe. S’il ne bénéficie pas d’une côte très élevée auprès des amateurs du groupe, je l’aime beaucoup, personnellement, d’autant qu’il contient une vraie rareté : un solo de saxophone –la seule fois dans l’entière production du groupe, me semble-t-il-. Que vous pouvez découvrir dans l’extrait ci-dessous ! En concert, c’est généralement la guitare de Porl/Pearl Thompson qui prend le relais…

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