Derrière ce titre écliptique se cache l’achat, hier et en occasion, d’un nouvel objectif 55-300, qui vient se substituer, pour le quotidien, au 70-300 que j’utilisais jusqu’alors. Le nouveau est en « état exceptionnel », il n’a servi que moins de dix fois à son ancienne propriétaire et comme il est relativement ancien dans la gamme du constructeur –mise sur le marché en 2010– en ces temps d’obsolescence programmé, il a forcément pas mal décôté depuis sa sortie il y a 7 ans –même s’il reste toujours en vente dans le circuit officiel, son prix neuf a également un peu chuté-. –Cliquer sur l’image pour voir en plus grand ce joli caillou-.
Cela faisait longtemps qu’il me faisait de l’oeil, et j’avais déjà envisagé son achat il y a plusieurs années, mais je reportais cette décision en raison d’autres priorités, puis je m’étais orienté vers le 70-300 dont je vous ai déjà parlé, acheté, celui-ci, pour une bouchée de pain pour cause de liquidation totale ! L’occasion, décidément, fait le larron, dans les deux cas !
Du coup, dans un premier temps, je vais sans doute revendre ou donner le Nikon 55-200 dont je n’aurai plus l’usage. Quant au 70-300, qui n’a pas démérité, je vais le conserver, dans un premier temps, pour la fonction Macro très pratique qu’il propose, et qui est absente sur ma nouvelle acquisition. Mais, pour les longues balades, il restera à la maison : comme il n’est pas stabilisé, l’utilisation des plus longues focales nécessitait utilisation –et donc le transport– d’un trépied, ce dernier étant plutôt lourd et encombrant. Mon sac de photographe est déjà suffisamment plein et pesant pour repas rajouter, chaque jour, une charge supplémentaire. Ce nouvel achat va contribuer à l’alléger.
C’est en effet tout l’avantage du nouveau Nikon 55-300 : il dispose d’une stabilisation qui, d’après ce que j’ai pu en tester rapidement, semble très performante ! A moi les jolies photos de vacances !