Playlist pour affronter l’hiver

Une playlist plaisante et variĂ©e pour accompagner cette froide soirĂ©e
 Ce matin, j’ai Ă©chappĂ© Ă  la sĂ©ance de grattage intense des vitres de la voiture Ă  laquelle j’ai dĂ» m’adonner hier matin, avant de prendre la route pour aller travailler ! Dix petites minutes gagnĂ©es de bon matin, c’est toujours autant de pris !!!playlist29112016

Dans la playlist de ce jour –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand–  figure le cinquiĂšme concerto pour piano de Beethoven, dans une interprĂ©tation qui fut trĂšs favorablement accueillie lors de sa sortie au milieu des annĂ©es 80. Elle a assez bien rĂ©sistĂ© au temps, et s’avĂšre toujours excellent, Ă©coutĂ©e avec mes oreilles d’aujourd’hui –alors mĂȘme que mon apprĂ©ciation de ce pianiste a bien moins positivement Ă©voluĂ©, en gĂ©nĂ©ral-.
beethcto5g_kPlus gĂ©nĂ©ralement, l’évolution de l’apprĂ©ciation d’un disque subit parfois des sorts variables : par exemple, je lisais, l’autre jour, au grĂ© d’un petit parcours parmi les archives, une critique absolument positive du mĂȘme concerto par le couple Walter Gieseking / Philharmonia Orchestra & Herbert Von Karajan. A l’époque, ce LP –cliquer sur l’imagette de droite pour la voir en plus grand– fut largement saluĂ© par la critique internationale comme « LE » sommet de la discographie de l’Ă©poque, avec –voire devant– Fischer – FurtwĂ€ngler. Pourtant, si ces derniers sont encore largement citĂ©s comme « version de rĂ©fĂ©rence » de nos jours, la version [Gieseking – Karajan] semble avoir largement disparu des radars de la critique. Il s’agit pourtant, Ă©galement, d’une fort belle version, malheureusement assez mal enregistrĂ©e, y compris eu Ă©gard aux standards de l’époque.

Les mĂȘmes critiques furent trĂšs critiques (sic) avec la version des symphonies de Beethoven dans la version de Carl Schuricht, avec un orchestre français : elle fut trĂšs mal accueillie Ă  peu prĂšs partout, Ă  sa sortie, sauf en France, oĂč elle a toujours joui d’une aura trĂšs particuliĂšre
 Chauvinisme, Ă©ducation de l’oreille propre Ă  notre pays ? Je reviendrai, dans une notule ultĂ©rieure, sur mon apprĂ©ciation de cet album


Je ne vous parlerai pas de l’album live des Whocliquer sur l’exrait proposĂ© pour vous rappeler quelques souvenirs
-, Ă  peu prĂšs mythique depuis sa parution, en 1970 et dĂ©sormais en version complĂšte, ni de celui, beaucoup plus anecdotique –mais trĂšs convenable cependant-, de Nena et sa troupe.

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Devinettes en rade : solutions

Je vous rappelais, ici, que deux devinettes restaient en attente de solution.

vinchaudLa seconde a trouvĂ© une rĂ©ponse correcte d’OBNI, qui gagne donc un joli cadeau. La voiture de courtoisie que le vitrier avait mis Ă  ma disposition Ă©tait une Skoda, modĂšle Fabia de 2016. Skoda fait actuellement partie du groupe Volkswagen, aprĂšs avoir Ă©tĂ© le plus grand kartel industriel d’Autriche-Hongrie, puis de TchĂ©coslovaquie : ils fabriquaient notamment toutes sortes de moteurs et de vĂ©hicules, y compris militaires.

La solution Ă  la premiĂšre devinette n’a Ă©tĂ© qu’esquissĂ©e par Christophe. Il s’agissait de la « Valse des patineurs », d’Emil Waldteufel, interprĂ©tĂ©e en 1993 par l’Orchestre philharmonique de Strasbourg sous la direction de Theodor Guschlbauer.
Rien que pour le plaisir des oreilles, je vous propose un autre extrait de ce compositeur, je suis d’ailleurs sĂ»r que la majoritĂ© des lecteurs de ce blog le connaissent, puisqu’il servit de gĂ©nĂ©rique Ă  au moins une Ă©mission de TV fort connue -et, sans doute, Ă  de nombreuses publicitĂ©s-.

Et, pour le plaisir des yeux, vous trouverez une photo du grand sapin de NoĂ«l, symbole du Marche de NoĂ«l de Strasbourg, oĂč, comme annoncĂ© hier, j’ai pu dĂ©guster mon premier verre de vin chaud, parmi une foule nombreuse malgrĂ© la « bunkerisation » de l’ensemble du centre ville.

sapin2016

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Les surprises de l’Avent. 2016.1

surpriseaventEn ce premier week-end de l’Avent, une premiĂšre surprise vous attend pour poser au pied de votre sapin, si vous l’avez dĂ©jĂ  achetĂ© !

Elle est disponible ici, et disparaĂźtra forcĂ©ment dimanche prochain… ENJOY !

Quant Ă  moi, je m’en vais faire une premiĂšre visite du MarchĂ© de NoĂ«l, qui a dĂ©sormais ouvert ses portes. Malheureusement, je suis rentrĂ© trop tard pour pouvoir participer Ă  l’inauguration, hier soir  đŸ˜„ A moi le premier vin chaud de la saison !

Une base de données en état de marche !

discobddÇa y est, j’ai enfin fini de peaufiner la base de donnĂ©es qui me sert Ă  recenser et classer ma discothĂšque. A dire vrai, il existe un tas d’outils plus ou moins bien faits qui permettent de rĂ©aliser cette opĂ©ration plus ou moins aisĂ©ment, avec une jolie interface et avec des options plus ou moins nombreuses, mais ils se rĂ©vĂšlent, Ă  l’usage, plus ou moins fonctionnels dĂšs lors qu’on veut y entrer des informations complexes dans le cas d’une discothĂšque classique. Et donc, aucun ne me convenait rĂ©ellement. Je me suis donc lancĂ© dans l’utilisation de File Maker, que je n’avais plus cĂŽtoyĂ© depuis des lustres… Mais, assez rapidement, de vieux rĂ©flexes se sont rappelĂ©s Ă  mon souvenir !

discobdd_2Je me suis donc lancĂ© il y a quelques temps, et j’ai importĂ© les donnĂ©es issues de mon fichier Excel, à  jour, mais difficilement utilisable inutilisable pour lancer des requĂȘtes croisĂ©es, et servant donc plus de catalogue que de vraie base de donnĂ©es complexe. J’ai optĂ© pour une interface aussi sobre et lisible que possible –les couleurs bariolĂ©es façon Windows 3.1 piquent vite les yeux !!!-, tant pour l’affichage Ă  l’écran –cliquer sur l’imagette de gauche pour voir comment cela s’affiche– que pour les Ă©ventuelles impressions –ça peut toujours servir pour envoyer Ă  l’un ou l’autre qui me demande ce que contient tel ou tel album : cliquer sur l’imagette de droite pour en avoir une idĂ©e. Il faudra simplement que je supprime de ce modĂšle les boutons de requĂȘtes, qui ne servent Ă  rien sur du papier…-.

Evidemment, le plus gros du travail a consisté à saisir l’ensemble des donnĂ©es, mais je m’étais dĂ©jĂ  adonnĂ© Ă  cet exercice fastidieux il y a fort longtemps.

DĂ©sormais, je cherche un moyen simple d’incorporer une image de chaque pochette Ă  chaque fiche, ce qui n’est pas si Ă©vident que ça en a l’air, et il semble qu’il faille que je m’oriente vers un croisement de deux bases de donnĂ©es, dont l’une en contiendrait que les illustrations
 Pour le reste, les boutons de script appelant des requĂȘtes fonctionnent parfaitement bien !

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Playlist en attendant


diablattenteEn attendant sortie dĂ©sormais trĂšs prochaine du prochain album des Rolling Stones, toujours annoncĂ©e pour le 02 dĂ©cembre, je rĂ©Ă©coute deux des albums de leur production que je connais le plus mal, faute d’une frĂ©quentation intensive. Steel Wheels marque leurs retrouvailles aprĂšs les bouderies du milieu des annĂ©es 80. SaluĂ© par la critique Ă  sa sortie, je ne l’ai personnellement jamais trop apprĂ©ciĂ© : il consacre l’impression de barnum musical constatĂ© depuis l’intronisation de Ronnie Wood Ă  la guitare, avec deux guitaristes au son assez maigrelet et des compositions pas forcĂ©ment inoubliables –Ă  vrai dire, aucune n’est jamais parvenu Ă  se fixer durablement dans ma mĂ©moire
-. Quant Ă  Still Life, c’est un album retraçant la sĂ©rie des concerts de 1981 aux USA –la premiĂšre du groupe dans des stades gigantesques-, mais les bandes pirates qui en existent sont Ă  la fois plus complĂštes et dans un son moins cliniquement froid que dans ce live officiel. Bref, pas dĂ©shonorant, mais loin des fulgurances de Get Yer y’a Ya’s Out, pour se cantonner Ă  leur discographie officielle.

En attendant NoĂ«l, je prĂ©pare PĂąques avec une Passion de Bachcelle selon l’évangile de St. Jean, un peu moins connue que sa soeur, selon l’évangile de St. Matthieu-, dans une version Ă  mi-chemin entre les prestations trĂšs romantiques des annĂ©es 40 – 60, et celles sur instruments d’époques et selon, les canons HIP. Ça se dĂ©roule tranquillement et ça s’écoute gentiment, avec quelques grands noms parmi les chanteurs et un orchestre au discours assez sage.

Et en attendant d’attendre, j’attends des nouvelles quant Ă  la rĂ©paration de mon prĂ©amplificateur !

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Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et sur l’extrait musical sans attendre pour profiter un peu de cette playlist !-.

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Une voie s’est Ă©teinte !

J’aurais Ă©galement pu appeler cette notule « Le retour de Murphy », puisque ce matin, Ă  l’allumage, le prĂ©amplificateur du salon a connu une dĂ©faillance sĂ©vĂšre… Du coup, pas d’Ă©coute de CD possible, ou alors, il faut passer par le biais du Mac dans le bureau, connectĂ© Ă  une borne Airport Express qui permet de contrĂŽler le volume de l’amplificateur, ce qui n’est pas aussi pratique !

qedpanne

Visite chez le rĂ©parateur de rigueur –si possible dĂšs demain, mais rien n’est moins sĂ»r…-, en espĂ©rant qu’il puisse le sauver ! Comme rien n’a brĂ»lĂ©, que les fusibles sont intacts et qu’il s’allume, je soupçonne un vieux condensateur qui aura sĂ©chĂ© ou une soudure dĂ©faillante d’en ĂȘtre la cause… Du 30 ans d’Ăąge, certes, et qui a beaucoup fonctionnĂ©, mais j’y tiens comme Ă  la prunelle de mes yeux !

Blog en habits de Noël

beaujno2016Jeudi, tragique erreur, j’avais ratĂ© le Beaujolais nouveau, aimable piquette dont la presse, pour une fois occupĂ©e par d’autres sujets d’actualitĂ©, a dĂ» oublier de parler –ou alors, cela m’a complĂštement Ă©chappĂ© !-.
Hier soir, j’en ai quand mĂȘme achetĂ© une bouteille, qui sent la banane, les fruits rouges et le bon bois de tonneau, tout cela Ă  la fois 😀 !

Il n’Ă©tait donc pas question, en plus, de rater la pĂ©riode de NoĂ«l qui va officiellement s’ouvrir d’ici peu de temps… Ici, le MarchĂ© de NoĂ«l –qui reste selon l’apprĂ©ciation dĂ©mocratique, le plus beau d’Europe, et, selon l’apprĂ©ciation subjective locale, le plus beau du monde-, ouvrira ses portes dĂšs vendredi, avec inauguration officielle du PĂšre NoĂ«l maire de Strasbourg.

Pour un petit moment, le blog sera donc parĂ© des attraits festifs propres Ă  ces fĂȘtes de fin d’annĂ©e, qui vont arriver bien vite ! Evidemment, point de crĂšche ici, qui pourrait heurter la sensibilitĂ© des lecteurs les plus laĂŻcs  :mrgreen: ! En corollaire, il est temps que je pense Ă  m’occuper des traditionnelles « Surprises de l’Avent » : cela devrait dĂ©buter, si mon compte est bon, le week-end prochain !

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Playlist strong addicts !

Une playlist variĂ©e et nĂ©anmoins thĂ©matique pour accompagner cette grise matinĂ©e : de l’effet des addictions diverses sur la production musicale de quelques artistes ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Les plus anciens lecteurs de ce blog connaissent dĂ©jĂ  mon affection pour Johnny Thunders, qui s’est patiemment livrĂ© Ă  une entreprise d’autodestruction Ă  grands renforts d’hĂ©roĂŻne. Evidemment, cette consommation immodĂ©rĂ©e a gravement nuit Ă  ses talents au fur et Ă  mesure que le temps passait, et, des dĂ©buts prometteurs de « So Alone » Ă  tout ce qui suivit, les tĂ©moignages de cette lente descente ne manquent pas. L’album de ce jour est une compilation de trois concerts -dont un acoustique-, plutĂŽt bien rĂ©alisĂ©e, qui l’inscrit plutĂŽt vers les sommets d’une discographie Ă  la fois complexe et dĂ©cevante.

Le live de Led Zeppelin est peut-ĂȘtre le meilleur du groupe -aux addictions poudreuses et Ă©thyliques prononcĂ©es-, mais s’avĂšre, lui aussi, d’une Ă©coute parfois un peu pĂ©nible : groupe de scĂšne au talent incontestable, Led Zeppelin improvisait beaucoup sur scĂšne, et ce qui prenait sans doute tout son sens dans le cadre d’un Ă©vĂ©nement vivant perd beaucoup d’intĂ©rĂȘt dans le cadre d’une Ă©coute au disque. Et une version de « Whole Lotta Love », chanson d’une belle urgence s’il en est,  diluĂ©e sur prĂšs de 25 minutes, c’est franchement assez insupportable –sans mĂȘme parler de la batterie pachydermique de John Bonham, qui tient difficilement dans un salon
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lux_ivy_crampsSerge Gainsbourg racontait Ă  l’époque de la sortie de « Love on the beat » qu’il «s’était mis a wagon » le temps de l’enregistrement du disque, Ă  savoir qu’il avait arrĂȘtĂ© de boire –ce qu’il fit semble-t’il effectivement pendant les 8 jours qui prĂ©cĂ©dĂšrent la sĂ©ance de prise de photos pour la pochette de l’album. En revanche, il Ă©tait trop accro aux Gitanes pour les laissĂ© de cĂŽtĂ©…-. Pour le reste, on est face Ă  du pur Gainsbarre, accompagnĂ© par de redoutables session men des meilleurs studios new-yorkais, en rupture avec les fulgurances reggae ou afro-antillaises, mais aussi des orchestrations et arrangements plus complexes, des annĂ©es antĂ©rieures.

Finalement, l’addiction aux petits films d’horreur de sĂ©rie Z de Lux Interior et Poison ivy, les seuls deux membres rĂ©guliers des Cramps, a produit l’album le plus drĂŽle et original de cette playlist –cliquer sur l’extrait ci-dessous et faites semblant d’avoir peur : ils auraient aimĂ© ça !-.

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Playlist de l’aube au petit matin

Comme je suis tombĂ© du lit Ă  une heure indĂ©cente alors que le petit jour ne pointait mĂȘme pas encore –et pourtant, ici, Ă  l’est de l’hexagone, le soleil se lĂšve tĂŽt
-, c’est une playlist toute en douceur et en sourdine qui accompagne depuis plusieurs heures ce dĂ©but de ce qui s’annonce comme une trĂšs longue journĂ©e ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et sur l’extrait pour en profiter un peu, vous aussi-.

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ArrivĂ© au travail, ma premiĂšre occupation de la matinĂ©e sera de complĂ©ter le rĂ©cĂ©pissĂ© de retard remis hier par la SNCF : le train est arrivĂ© 1h10 aprĂšs l’horaire initialement prĂ©vu
 Du coup, j’ai dĂ» sacrifier mon dĂ©jeuner
 Mais on devrait me rembourser une partie du prix du billet en Ă©change de ce retard…  A voir !

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Transition parisienne

educaticeAprĂšs une journĂ©e passĂ©e au Conseil de l’Europe, je m’en vais pour une journĂ©e vers le temple du numĂ©rique… Manifestation annulĂ©e l’an dernier, pour les raisons que vous connaissez, forcĂ©ment.

On y voit des choses parfois intĂ©ressantes, mĂȘme si les Ă©volutions en la matiĂšre sont dĂ©sormais moins prononcĂ©es qu’il y a quelques annĂ©es, oĂč, chaque annĂ©e, les avancĂ©es constatĂ©es Ă©taient notoires !

GrĂące Ă  l’achĂšvement de la ligne TGV, chaque voyage durera dĂ©sormais moins de deux heures, et ça, c’est un vrai un vrai progrĂšs : il fut un temps au dĂ©but du 21Ăšme siĂšcle oĂč, travaillant Ă  Paris, le voyage durait 4h50, et je passais donc chaque semaine une dizaine d’heures dans le train… O tempora, o mores 🙂 !

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