Playlist populaire et festive

En attendant les fêtes, quelques albums de musique « légère et populaire », d’accès très facile mais qui n’en demeure pas moins plaisante ! On retrouve, dans ces trois albums datant des années 50, des compositeurs aussi variés que : Rossini, Respighi, Offenbach, Chabrier, Léhar, Nikolai, Gounod… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Tous ces albums font partie de ce coffret, qui n’est plus disponible à la vente –selon l’éditeur, les ventes ont très rapidement dépassé toutes ses espérances– et ne se trouve qu’en seconde main à des prix relativement prohibitifs désormais, alors qu’il était initialement très abordable, de l’ordre de 1,50 € le CD.

Les surprises de l’Avent. 2024-2

En ce deuxième dimanche de l’Avent, voici donc la deuxième surprise, que vous trouverez ici. Comme celle de la semaine précédente, elle est en lien avec une notule relativement récente. Ce n’est pas toujours le cas 😈 ! En attendant dimanche prochain et dans la perspective du Réveillon, je file dans ma cuisine réaliser quelques expériences culinaires…

ENJOY !

Devinette « Easter Egg de Noël »

Les « Easter Eggs » sont des « petits programmes dans le programme », cachés et accessibles, généralement, par le biais d’une combinaison de touches, réalisés avec plus ou moins de facéties par les développeurs d’une application. Je vous en avais déjà parlé un peu il y a quelques temps, avec quelques exemples notables, ici. Par extension, ce sont aussi des clins d’oeil insérés au sein d’une oeuvre artistique.
Ainsi, dans l’ arietta la sonate pour piano n°32 de Beethoven –le fameux opus 111– se cache un thème très populaire qu’il utilisa dans une autre oeuvre très célèbre –et même, antérieurement, dans une autre beaucoup moins populaire-. Les esquisses que l’on connaît de ce thème, très simple au demeurant, montre qu’il y travailla tout au long de sa vie créatrice.
La devinette du jour consiste à identifier ce thème dans l’extrait ci-dessous. Selon les versions de l’oeuvre, dont vous savez qu’elle me tient particulièrement à coeur –c’est à lire ici-, il est plus ou moins mis en valeur, mais dans l’extrait proposé, on l’entend très bien avec un peu d’attention : pour vous simplifier la tâche, je n’ai mis qu’un court extrait de l’arietta.

A vos claviers, ce n’est pas si difficile : vous pouvez soit donner le nom de l’oeuvre célèbre qui a popularisé ce thème, soit donné le minutage où vous l’avez repéré !

Défi des dix ans – Hors série…

Quand y’en a plus, y’en a encore : pour être complet et pour achever ce défi définitivement et dans le délai imparti, quatre albums ou compléments d’albums d’intérêt très variable –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.


Metamorphosis est un fourre-tout disparate paru chez Decca, composé de titres inédits datant parfois de l’époque leur tout premier SP –45 tours-, de vezrsions alternatives, de chutes de studios contemporaines de Beggars banquet ou Let It Bleed –deux excellents titres avec Mick Taylor, alors embauché « à l’essai » par le groupe-, ou même d’un titre d’Aftermath chanté par le seul Mick Jagger accompagné par un orchestre ! Au final, on oscille entre l’anecdotique et le très bon.
Les trois autres albums constituent des « bonus » attachés aux albums originaux qu’ils accompagnent. Ils sont tous intéressants et offrent parfois d’excellentes surprises, qui n’auraient en aucun cas démérité en figurant sur ledit album.
En définitive, cette année, et au-delà de ce hors-série, le pari a été tenu et j’ai donc pu écouter en 2024, dans l’ordre, tous ces albums :

Playlist élégante, intimiste et raffinée

La playlist, aujourd’hui, est consacrée à Gabriel Fauré, dont on commémorait, cette année, le centenaire de son décès, en 1924 : il était donc temps de découvrir plus avant, pour moi, ce compositeur que je connais très mal à l’exception de son très populaire « Requiem ». –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.


Ce fameux Requiem, dans sa version de concert pour orchestre, ouvre d’ailleurs la playlist du jour, dans une version qui connut un immense succès à sa sortie, et qui explique sans doute le peu d’attrait que j’ai pour le compositeur, puisque ce fut longtemps le seul disque de ma discothèque consacré à Fauré. Malgré de fort belles sonorités, c’est lentissime et sans tension, assez soporifique et très ennuyeux à mes oreilles. –**-.
Les deux autres albums, bien que je n’ai guère de points de comparaison, me semblent bien plus avenants –*** et ***-, même si, en définitive, cette musique élégante, assez intimiste et raffinée, reste d’une écriture finalement bien moins hardie que celle de Debussy ou Ravel, qui lui furent à peu près contemporains.

Playlist « Cette année-là – 2018 »

Sibelius – Symphonies n°6 & 7 – Orchestre symphonique de la radio de Berlin – Jukka Pekka Saraste
The Cure – Mixed Up Remastered 2018
Rachmaninov – Concertos pour piano 2 & 4 – Daniil Trifonov ; Orchestre de Philadelphie, Yannick Nézet-Séguin
Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

La retraite en marchant…

Nombre de kilomètres effectués en marchant durant le mois de novembre. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. J’ai la chance d’habiter à quelques centaines de mètres de deux grands parcs, et à peu de kilomètres de l’hypercentre, ça aide à varier les promenades quotidiennes : généralement, une très tôt le matin et une plus longue dans le courant de l’après-midi ou en début de soirée !

Playlist « Texas Blues »

Le « Texas Blues » est une forme de blues qui a suivi a suivi sa propre évolution, parallèlement à l’émergence du Delta Blues –blues traditionnel issu du monde rural dans le delta du Mississippi à l’orée du vingtième siècle– puis du Chicago Blues à partir des années 40 –blues lié à l’essor industriel urbain dans le nord des États-Unis et à la migration de populations noires vers ces régions-. Comme son nom l’indique, il a longtemps été cantonné au Texas, et se caractérise par ses emprunts harmoniques au jazz tout en adoptant un rythme généralement plus rapide. A partir de la fin des années 60, il a évolué vers ce que l’on appelle couramment le rock sudiste, dont des groupes comme Lynyrd Skynyrd ou ZZ Top, par exemple, sont de bons représentants.
Les trois albums de ce jour, outre qu’ils sont tout-à-fait caractéristiques de ce courant, présentent par ailleurs de brillants guitaristes solistes : Dickey Betts et Warren Haynes au sein du Allman Brothers Band, Johnny Winter et Stevie Ray Vaughan. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Johnny Winter And – Live, 1975 –***
The Allman Brothers Band – An Evening With, Part 2, 1995, mais enregistrée en 1992 –****
Stevie Ray Vaughan And Double Trouble – Live In Montreal, 1985 –****

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