En octobre, tel un arrosoir, mes bras ont été percé de toutes parts et selon diverses modalités –intramusculaire, intraveineuse, sous-cutanée– entre prises de sang et poursuite de mes injections traditionnelles, vaccin contre Frankenstein, vaccin contre la grippe, et enfin, pour faire bonne mesure, vaccin anti-tétanos/coqueluche/poliomyélite/diphtérie pour remise à jour… Même pas mal : normal, j’ai une infirmière de luxe rien que pour moi !
Adolescent aux cheveux longs, j’écoutais en bougeant la tête et en tapant du pied au rythme de la musique ces disques restituant quelques-uns des grands concerts de hard-rock, genre musical spécialement conçu pour les ados chevelus ! La playlist de ce jour, écoutée « un peu fort » –il faut au moins ça pour lutter contre le bruit induit par la fin des travaux rénovation/raccordement au réseau de chauffage urbain : ils sont notamment en train de reboucher tous les trous et de refaire la route à grands renforts de plaques vibrantes…– en donne un excellent aperçu, et j’en profite malgré mes cheveux raccourcis et sans bouger la tête, mais en tapant parfois du pied ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
• Deep Purple – In Concert – 1980 ****
L’album date est sorti tardivement en 1980 seulement, mais propose deux concerts radiophoniques enregistrés à Londres en février 1970 dans les studios de la BBC pour l’émission « The Sunday Show » et en mars 1972 au Paris Théâtre In London pour l’émission de la BBC « Sounds Of The Seventies ». Les disques donnent à entendre le groupe dans sa version MkII, qui est sa meilleure formation, et contiennent la majorité des meilleures chansons du groupe à cette époque, qui sont aussi, plus simplement, les meilleures chansons du groupe, au moins à mes oreilles !
• AC/DC – If You Want Blood (You’ve Got It) – 1978 *****
Tout simplement le meilleure album live du groupe, avec son chanteur mythique Bon Scott, et enregistré à une époque où Angus Young ne donnait pas encore dans le solo verbeux de guitar-hero qu’il ne sera jamais, au moins d’un point de vue technique. En revanche, on entend dans ce disque de très bon titres boogies ou blues joués un peu vite et très fort, avec cette saturation si particulière qui était alors la marque d’AC/DC. Les enregistrements furent réalisés pendant la tournée mondiale de 1978, moment où le groupe accédait au succès au-delà de l’Australie mais ne bénéficiait pas encore de la grande reconnaissance que lui apportera l »album « Highway To Hell ». La pochette, spectaculaire, est tout-à-fait en rapport avec le titre de l’album !
• Scorpions – Tokyo Tapes – 1978 *****
Au même moment, les 24 et 27 avril 1978, Scorpions, dont le succès commençait à dépasser les frontières de l’Allemagne vers l’Europe et, curieusement, vers le Japon, enregistrait à Tokyo un double-album au Sun-Plaza Hall. Grâce à Uli Jon Roth, guitariste absolument flamboyant –qui quitta le groupe à la fin de cette tournée nippone– et malgré une rythmique parfois un peu lourdingue, l’entreprise connut un succès certain : le meilleur disque du groupe à mes oreilles, qui constitue une très bonne porte d’entrée pour découvrir ce groupe !
A titre anecdotique, les deux derniers albums de cette playlist furent mes premiers disques non seulement de hard rock, mais également enregistrés en live : avant même ceux des Rolling Stones donc ! Étonnant, non ?
• Au quatrième top, il sera moins une heure, mais on aura quand même dormi –ou pas…– une heure de plus, peut-être même pour la dernière fois –ou pas…– ! • C’est aussi l’heure d’installer le grand sapin, qui sera ensuite retaillé et décoré juste à temps pour l’ouverture du Marché de Noël ! L’histoire est un éternel recommencement… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
De la mise en page créative, je n’en fais plus beaucoup actuellement, et je n’ai donc constaté qu’il y a quelques jours que ma version de Quark XPress, pourtant pas si ancienne que ça, ne fonctionnait plus avec la récente mise à jour du système d’exploitation –confirmation sur le site de l’éditeur-. La politique tarifaire de l’éditeur étant ce qu’elle est -et même si son prix de 629€ s’est effondré depuis que la concurrence s’est largement développée avec InDesign, que je n’ai personnellement jamais trop apprécié, malgré ses qualités-, je ne me voyais pas acheter une licence pour le peu d’usage que j’en aurais désormais.
En revanche, j’avais encore en réserve le logiciel Affinity Publisher dans une version récente, maintenue à jour et compatible, elle, avec macOS 26, mais que je n’utilisais pas après l’avoir rapidement testé il y a quelques années, étant beaucoup plus rapidement productif avec XPress ! Je m’y suis donc remis très rapidement hier matin pendant une petite dizaine de minutes pour me familiariser avec le logiciel : l’occasion de prendre de nouvelles habitudes et de se plier à de nouveaux repères ou un lexique différent de celui que je maîtrise ! Au demeurant, l’outil semble très puissant lui aussi, même si certaines fonctionnalités sont déroutantes après plus de 30 ans passés avec Quark XPress ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Ma bonne vieille carte vitale, délivrée en août 1998 et qui ne m’avait quasiment jamais servi jusqu’en mars 2022 –mais qui me fait grand usage depuis…-, s’est brisée net en deux parties ! Le plastique, ça vieillit mal, et me voilà obligé d’en commander une nouvelle, sur laquelle il y aura même ma photo !
Notre immeuble est en vaste –et, au bout du compte, coûteux– chantier depuis plusieurs semaines, avec ravalement de façade –et divers travaux annexes-, pour lequel nous n’avons même pas eu le choix de la couleur, imposée par les architectes des bâtiments de France (ABF) –lesquels architectes ont par ailleurs interdit toute mesure d’isolation par l’extérieur…-, d’une part, et, d’autre part et beaucoup, vraiment beaucoup plus bruyants, les travaux de raccordement au réseau de chauffage urbain, qui nécessitent de creuser de profondes tranchées sur la route, puis à travers les fondations de l’immeuble : pourvu qu’il ne s’écroule pas !
On profite de tout cela pour, tant qu’à faire, installer du triple-vitrage sur certaines fenêtres : celles qui ne donnent pas sur la rue, et donc ne nécessitent pas de demande auprès des ABF. Livraison et installation aujourd’hui !
… mais l’IA américaine est assez nettement supérieure à l’IA française !
Sur une idée de Sardequin, qui vous présente le rigolo –et néanmoins désolant– résultat obtenu par Mistral AI, l’intelligence artificielle française, à sa demande de dessiner une carte de France, j’ai demandé la même chose à ChatGPT –« Peux-tu dessiner une carte de France avec les principales villes ? »-. J’ai volontairement limité le prompt au maximum, afin de ne pas induire de surcharge cognitive pour l’IA…
Le résultat, s’il est un peu moins affligeant, n’est pas pour autant très fameux, d’autant que le process a nécessité un temps relativement long ! J’aurais vraisemblablement pu faire mieux –sans le « coloriage » somme toute assez moche et manquant d’éclat de l’IA– à main levée en moins de temps… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Reste qu’il est tout de même très étonnant que des choses parfois très simples a priori peuvent sembler complexes à réaliser pour une IA : je ne vois pas trop où peut se situer la difficulté dans ce prompt –serait-ce la demande de dessiner ?-, d’autant que n’importe quel outil de recherche propose des résultats autrement plus pertinents depuis fort longtemps !
Avant-hier soir, à l’occasion d’une enquête de satisfaction de mon fournisseur d’accès à internet, j’ai demandé si, éventuellement, il était possible de procéder à une échange de mon modem multifonctions –box internet en français courant-, l’ancien étant très robuste mais d’une portée WiFi –TheCookingCat se sert de son iPad partout dans la maison– ne permettant pas une couverture idéale de tout le domicile : la conseillère m’a annoncé une amélioration des performances WiFi.
Aussitôt dit, aussitôt fait : en moins de 14 heures chrono –la nouvelle échelle de temps en France en ce moment…-, j’ai vu arriver hier matin une nouvelle box, déballé le carton pour remballer l’ancienne box et la renvoyer, puis branché ladite box au sein de mon réseau en deux temps-trois mouvements. Comme annoncé la veille, le WiFi est en effet nettement plus performant, tant en débit, quasiment doublé, qu’en portée, puisque le WiFi passe désormais partout ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.