Et hop ! Une autre mise en boîte !

Généralement, j’apprécie modérément Led Zeppelin, et toujours à dose réduite tant la batterie de John Bonham occupe l’espace et me tape sur le système !

Mais cette chanson : « The Rover », extraite du double LP « Physical Graffiti », paru en 1975, mais qui fait partie des sessions d’enregistrement de « Houses Of The Holy », je l’aime beaucoup et, de plus, elle reste très accessible à la basse –il suffit de planter des clous en rythme (essentiellement en croches sur le couplet), mais le refrain est plus intéressant… et de toutes manières, la batterie couvrirait d’éventuelles fausses notes si j’augmentais le volume de l’enregistrement !!!

Et hop ! C’est dans la boîte !

Le dernier album des Cure, « Songs Of A Lost World », outre qu’il est meilleur à chaque écoute, comporte quelques chansons dont les lignes de basse tombent vraiment très bien sous les doigts et sont simples à jouer, mais redoutablement efficaces !
Le plus difficile est de trouver le bon réglage de l’ampli –le mien est loin d’être exceptionnel et commence à dater quelque peu…– pour ajuster au mieux le son… Je vous en propose une à titre d’exemple !

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Cinq ans plus tôt… Drôle d’anniversaire !

… le monde a peur, un vent de panique venu de Chine prend de l’ampleur, la France entre en guerre contre un virus et les autorités décrètent un confinement général : tous aux abris, toutes affaires cessantes, et télétravaillera qui pourra ! Qui s’en souvient encore ?
C’était il y a cinq ans et un jour exactement, à retrouver ici.

C’était il y a trois ans exactement…

… jour pour jour ! Outre le fait que j’y ai été choyé et dorloté  –et percé comme un arrosoir à force de prises de sang pluri-quotidiennes… – pendant précisément vingt-trois jours, dont le week-en de Pâques, c’est de très loin le pire restaurant où j’ai mangé, malgré, la qualité indéniable du service ! Ce qui est marrant, c’est que c’est le principal souvenir qu’il m’en reste ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Création mondiale pour Diablotin insomniaque

Mes nuits sans sommeil, suite… Je n’aurais pas pu en rêver –pour cela, il faut dormir !-, mais ils l’ont fait ! Une création mondiale rien que pour moi !

Les variations Goldberg, de Bach, font partie des oeuvres de chevet que j’écoute régulièrement la nuit, dans une des innombrables versions qui garnissent ma discothèque. Le jour du retour du printemps, en création mondiale, donc, elles seront données dans une version mise en scène -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, dans une église du 13ème siècle sur les bords de l’Ill –un temple luthérien depuis le début du 16ème siècle, abritant notamment un orgue Silbermann-, à l’architecture sobre mais bizarre –un clocher trapézoïdal qui brise la perspective et l’alignement. 

Interpréter Bach dans cette église fait partie d’un patrimoine historique de longue date : son choeur, dont l’existence remonte au 19ème siècle, est très réputé et c’est, notamment, ici qu’est donnée chaque année une Passion du compositeur à Pâques, et les plus grands chefs –Wilhelm Furtwängler, John Eliott Gardiner ou Charles Munch…– y ont contribué.

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Playlist « Prononcez [baR] » !

Mes nuits sans sommeil, suite… Une playlist nocturne composée d’oeuvres célèbres de Johann Sebastian Bach –prononcez [baR] et non pas [bak], au risque de passer pour un pédant ridicule dans nos vertes contrées– et, pour deux albums, dans des versions qui sortent un peu de l’ordinaire ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

• Sonates pour violon et clavecin. Une superbe version, et l’un des plus beaux disques parus en 2016. Les oeuvres sont d’un accès beaucoup plus aisé que les sonates et partitas pour violon seul. *****
• L’Art de la fugue, dans une version joliment orchestrée et rondement menée, parue en 1984, est nettement moins austère que les propositions pour clavecin, orgue ou piano. Je connais au moins une autre transcription pour orchestre –celle un peu plus ancienne de Neville Marriner– mais, à mes oreilles, la proposition de Reinhard Goebel et de son Musica Antique Köln est nettement plus passionnante ! *****
• Les Variations Goldberg, écrites à l’origine pour un insomniaque –ça tombe bien !-, sont ici livrées dans une jolie version pour instruments à cordes –violon, alto, violoncelle– enregistrée en 2006, dans une transcription réalisée par le violoniste et chef d’orchestre Dmitry Sitkovetsky. C’est très joliment réalisé, mais, pour le coup, je préfère les versions pour piano. ****

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