Le passé éclaire le présent !

Qu’avec une publicité parodique ces choses-là sont bien dites ! Celle-ci, très drôle au demeurant, fut célèbre en son temps, et sa chute finale est tout-à-fait d’actualité. Les hommes changent, les préoccupations ne varient guère…
La vidéo est en Anglais, facile à comprendre. Une version très bien sous-titrée en Français –avec les double-sens bien traduits– est disponible ici.

Dans la boîte, encore…

Après avoir passé en revue certains titres du dernier album de Cure, l’excellent « Songs Of A Lost World », je m’attache en ce moment à essayer de mettre en boîte certains titres du dernier album des Rolling Stones, « Hackney Diamonds », non moins excellent. C’est, globalement, plus difficile, les rythmes sont moins monolithiques et la basse y est traitée complètement différemment. Evidemment, on est, ici, loin des lignes de blues des débuts du groupe, mais assez proche par moment de la ligne de basse de « Miss You » !
Voilà donc un titre qui m’aura donné du fil à retordre et que j’ai travaillé assez longuement, et par séquences à vitesse d’abord réduite, pour parvenir à mes fins ! Au bout du compte, il me semble que c’est désormais suffisamment au point pour être présenté !

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Grandeur et décadence du patriarcat…

La vérité sort de la bouche des enfants, c’est bien connu ! A la même époque, les mamans étaient encore « gentilles, aimantes, douces et tendres »… C’était le bon temps ! 😈 –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand

Je serais curieux de savoir ce qu’il en serait 50 ans plus tard. Pas sûr que les choses aient radicalement changé, si je me base sur les cadeaux et poésies rapportés de l’école par Nain, Nain-Junior, Mini-Nain et Trésor de Janvier, pour cette dernière il n’y a pas si longtemps ! Précisons, afin de lever toute ambiguïté, que tous leurs enseignants étaient des enseignantes !

L’IA : la meilleure et la pire des choses…

A tort ou à raison, l’intelligence artificielle, fait parfois peur, notamment lorsqu’elle montre quelques velléités à « désobéir » ou à vouloir s’autonomiser –c’est à lire ici-. Elle sait aussi, et de mieux en mieux, dessiner, créer des affiches, des romans ou des musiques « à la manière de… » à la demande –jamais essayé– : à ce titre, elle constitue un réel danger pour les artistes et les créateurs/créatifs.
Mais l’IA peut aussi constituer une aide très rapide et très efficace pour mettre en oeuvre certains projets : ainsi, hier, j’ai voulu vérifier que l’IA était éventuellement capable de générer un thème pour WordPress –en réalité, je me suis rendu compte après coup qu’il existait déjà des dizaines de tutos à cet effet-, formulant un prompt basique : « Générer un thème simple avec une colonne à droite pour WordPress ». En deux coups de cuillère à pot, l’IA a formulé une réponse et généré ce que je lui demandais, me proposant même une étape supplémentaire sans que je lui demande quoi que ce soit. Et en plus, j’ai vérifié : ça marche et le code généré est archi-propre ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Carnet de naissances !

Au gré de mes déambulations quotidiennes –quasiment 20 kilomètres par jour au mois de mai et à peine moins au mois d’avril…– et de mes flâneries de belle saison, je vous propose aujourd’hui ce petit carnet de naissance !

C’est en effet le printemps, et, sporadiquement, de nombreux cigogneaux sont désormais visibles dans leurs nids, avec un peu de patience et beaucoup d’abnégation : il en faut, parce qu’on ne voit guère que leurs petites têtes qui, parfois, dépassent du nid… En revanche, les cigognes adultes sont beaucoup plus actives que d’habitude et très nombreuses à voler dans le ciel. Si l’on estime à 4 ou 5 cigogneaux par nid, il doit bien y avoir eu pas loin d’une grosse centaine de naissances cette année.

Il est beaucoup plus facile de remarquer les canetons, qui, sous l’oeil vigilant de leurs parents, paissent picorent en grand nombre sur le gazon bordant le grand étang du parc voisin de notre appartement, avant d’y piquer une tête !

Enfin, de nombreux cygneaux ont également vu le jour mais un couple de cygnes que nous croisions tous les jours a disparu de son habitat habituel, du jour au lendemain, délaissant le grand nid qu’ils avaient bâti : il y a deux ans, plusieurs de leurs cygneaux avaient été attaqués par des corneilles, assez agressives ici, et n’y avaient pas survécu.

Cela étant, il faudrait vraiment que j’y retourne avec mon appareil photo et un bon zoom optique : celles rapidement prises avec l’iPhone sont d’assez médiocre qualité, malheureusement…

Playlist «Mes nuits sans dormir – Handel»

Le sommeil ayant décidé de me fuir totalement cette nuit, j’en ai profité pour écouter l’ensemble des 12 Concerti Grossi opus 6 de Georg Frideric Handel, que de nombreux musicographes n’hésitent pas à placer sur les mêmes sommets que les Concerti Brandebourgeois de J.S. Bach et que, personnellement, je préfère assez largement à ces derniers ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.


Il s’agit d’oeuvres qui m’accompagnent depuis très longtemps : Handel  faisant partie de longue date du quinté de mes compositeurs préférés, ces disques furent parmi les premiers que j’achetais en CD, et je les ai donnés récemment, lors de l’achat du superbe coffret consacré à Trevor Pinnock et à son orchestre, The English Concert.

Les 12 Concerti Grossi opus 6 ont été écrits par Handel en moins d’un mois en 1739 –Handel a toujours eu la capacité de composer à très grande vitesse-, sur le modèle des concerti grossi de Corelli, en cinq mouvements : un trio concertino de deux violons et d’un violoncelle dialogue avec l’orchestre à cordes ripieno en quatre parties avec clavecin continuo. Le terme « écrit » est partiellement impropre : « rassembler » conviendrait mieux pour certains concerti, dans la mesure où Handel réutilise du matériau qu’il avait déjà employé dans d’autres oeuvres ; c’est le cas pour les n°1, 5, 8, 9 et 11. Les autres sont nouvellement composés ou ne réutilisent que très partiellement des fragments d’oeuvres déjà composées., ce qui constituait une pratique fréquente à l’époque.

L’interprétation de Trevor Pinnock est magnifique : c’est frais et joyeux, tonique et vivifiant, sans outrance mais avec une touche d’élégance qu’on ne trouve dans aucune des autres versions que je connais –au bas mots : une dizaine…-, somptueusement enregistré -les enregistrements d’Archiv Musik du début de l’ère digitale, ici 1982, sont tous excellents et, de plus, offrent généralement de jolies pochettes – dans une ambiance très légèrement réverbérée qui apporte une belle aération sans nuire à la lisibilité des lignes, essentielle dans ces oeuvres. Ces disques restent accessibles à relativement peu de frais en occasion ici : vous pouvez vous précipiter, l’ensemble de ce coffret, qui dispose de surcroît d’un très bon et exhaustif livret traduit en Français, est du plus haut niveau !

Parfois, les insomnies ont du bon !

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Sur un air de coupe du monde (98) !

La semaine dernière, je me suis amusé à accompagner « Hotel California », des Eagles, à la basse : c’est assez simple en réalité.

Les jours suivants, en cherchant à jouer d’autres morceaux se fondant sur le même modèle de Power Chords –fondamentale/quinte/octave– j’ai travaillé ce petit morceau, qui propose une chouette progression harmonique qui se répète à l’infini, un joli rythme syncopé et qui devrait rappeler quelques souvenirs aux plus de 40 ans !

Ce fut un tube, cet été-là, dans une version un peu différente… Souvenirs souvenirs !

Dans les prochains jours, petit retour aux sources avec quelques blues : Parachute Woman –The Rolling Stones– et Yer Blues –version Dirty Mac– !

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