Poèmes Rock

Deux belles choses trouvées ces derniers jours… En général, j’écoute peu de « chanson française », parce qu’on comprend les paroles trop facilement et qu’elles sont parfois un peu indigentes. Mais là, pour le coup, c’est magnifique, et magnifiquement interprété -dit et vécu-, qui plus est !

L’un est mort, l’autre tourne encore, les deux font partie des tôt grands ! Les deux ont d’excellents guitaristes, et une sacrée bande de musiciens en soutien !


Pendant le week-end pascal…

agneau.pascal… chaque matin, je mange un agneau entier au petit déjeuner ! Qui dit mieux ?

Il s’agit, là encore, d’une tradition locale : un petit biscuit excellent, moelleux et souple, cuit traditionnellement dans un moule en terre -on en trouve désormais des plus « modernes » anti-adhésifs-, saupoudré de sucre une fois refroidi. On y plante en général un petit drapeau de couleur (à l’origine : jaune et blanc aux couleurs du Vatican, ou rouge et blanc aux couleurs de l’Alsace; désormais : de toutes les couleurs) et on y attache autour du cou un joli ruban.

Un agneau mis en musique, ça donne cette pièce monumentale, un des très grands chefs-d’oeuvre de la musique occidentale…

 

Chargé comme un mulet !

Sac_PhotosSlingshot202_LeftLa photo devient désormais un sacré défi physique… Mon sac est plein, j'ai essayé d'en optimiser chaque centimètre-carré !

Il n'est pas encore passé par la balance, mais je ne dois pas être loin des 3 kg, sans le trépied, lequel est d'un poids conséquent, lui aussi, donc je ne l'emmène pas toujours avec moi… Sans compter les gigas -shooter en RAW, ça prend de la place !- de photos stockés sur disque dur -plus disques de sauvegarde-.

Quand on aime, on ne compte pas -et le prix de l'ensemble est des plus petits, soldes, remises et bonnes affaires aidant- !!!

Aujourd’hui, liquidation totale…

Capture d’écran 2014-04-12 à 14.27.57Aujourd'hui, pas loin du conservatoire où Trésor de Janvier fait ses premières armes de future cantatrice, l'un des magasins de la marque rouge et blanche au contrat auquel je ne souscris jamais liquidait tout, tout et encore tout, avant fermeture totale de ses portes.

J'ai profité de la leçon de chant pour y faire un saut, et voir ce qui restait… J'en suis revenu avec un bel objectif à tout petit prix, qui viendra tout-à-fait compléter le matériel déjà là.

Ce n'est pas le meilleur objectif du monde, mais à moins de 100 euros au lieu d'un peu plus de 300, je ne vais pas pleurer non plus, et puis j'avais besoin d'un télé un peu plus long que mon actuel (éq. 300 mm). Me voilà donc avec un éq. 450 mm qui n'est certes pas des plus lumineux, qui est relativement encombrant et lourd, mais qui, en journée, fera parfaitement l'affaire. Et moi je dis, à ce prix-là, c'est de toute manière une aubaine !!! Les premiers essais, effectués très rapidement, s'avèrent en effet probants, et je lui ai même bricolé un étui renforcé pour le ranger dans le sac photo.

Leçon de morale -antique-…

moraleNos parents et grands-parents -voire arrière grands-parents, tout cela semble quelque peu dater vu de nos yeux contemporains- apprenaient de sages et beaux conseils à l’école !!!

En voici un aperçu, aperçu justement dans un ESPE ce jour, sis dans les locaux d’une ancienne école normale d’instituteurs… Ceci explique sans doute cela !

Faut-il en rire ou en pleurer (cliquer sur l’image pour la voir en grand et lire son contenu !). Pour ma part, j’ai beaucoup ri !!! Ô tempora; ô mores…

Evidemment, si vous voulez savoir le pourquoi de ces interdits, vous pouvez consulter vos parents, grands-parents, voire arrières-grands-parents : peut-être ont-ils retenu des sages préceptes  😆 ! (le 4., à l’heure du goûter, rien que d’y penser, j’en ris encore…) 😆

Les bâtisseurs de cathédrale

DSC_0014Bien sûr, à Strasbourg, on est assez bien placé pour parler de cathédrale, la nôtre étant visible, de la plaine riante et verdoyante d’Alsace, d’une bonne vingtaine de kilomètres, bien avant donc d’avoir atteint son pied.

dyn007_original_717_262_pjpeg_2628658_f494d469b55f213ccc42d259c8117e43Celle de Cologne (Köln pour les intimes) est encore plus monumentale, mais dans le même style de gothique relativement tardif.

La musique connaît également ses bâtisseurs de cathédrales… En voici donc quatre exemples, et dans l’ordre de composition -et d’apparition-, on trouvera donc en courts extraits -ne lassons pas l’auditeur- du Bruckner, du Mahler, du Schoenberg et du Sibelius. Comment ne pas être admiratifs de ce traitement par strates successives, ou même, parfois, la voix est mise à contribution ? Autant de cathédrales sonores somptueusement cuivrées et patiemment construites, sur plusieurs années parfois…

 

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Expérience !

Drôle d’expérience, hier… J’ai écouté les mises en musique de la pièce de Maeterlinck, « Pélléas et Mélisande ». L’argument en est assez mince, les silences y sont nombreux et les mises en scène la déclinent souvent dans une atmosphère de pénombre intimiste.

Lors d’une partie de chasse, Golaud, prince du royaume d’Allemonde, se perd dans la forêtIl y rencontre Mélisande, en pleurs au bord d’une fontaine. Golaud la prend pour femme, et rentre dans son château sans connaître rien du passé de son épouse. Là, Mélisande rencontre Pelléas, le demi- frère de Golaud. Très vite ils tombent amoureux l’un de l’autre, d’un amour chaste et innocent, alors que le pays semble agoniser et s’obscurcir à mesure que la vie du père de Pelléas décline dans une chambre du château. Geneviève, mère des deux princes, et Arkel, souverain d’Allemonde pressentent le malheur qui plane, impuissants. Golaud prend conscience du sentiment qui unit les deux jeunes amants, et sombre peu à peu dans la folie. Son fils, Yniold, né d’un premier lit, devient le témoin et le complice forcé de la folie de son père. Rongé par le désespoir et la rage, Golaud tue son frère Pelléas, blesse à mort Mélisande, et lorsque cette dernière met au monde une fille, reste le seul vivant du tragique trio.

La pièce a été mise en musique par Debussy -son unique opéra, en 1903, avec la volonté affirmée d’échapper au wagnérisme-, Sibélius – une musique de scène, en 1905, qui s’appuie sur les éléments les plus féériques et la personnalité mystique de Mélisande- et Schoenberg -un long poème symphonique, en 1903, très sombre, et en très court extrait  en fin d’article – et chacun y traduit de bien belle manière l’atmosphère étrange de la pièce.

Pelleas

Occasion ratée !

rollingstones-tt-width-604-height-400J’avais eu, dernièrement, un message de l’agitateur culturel me signalant que les ventes pour le prochain concert des Rolling Stones en France débuteraient le 28 mars à 10:00, et avais inscrit cette date dans un petit coin de mon cerveau, pensant que le 28 était aujourd’hui.

Mais en fait, non, c’était hier, et, en rentrant chez moi, j’ai pu voir que je n’aurai vraisemblablement plus aucune chance de m’en procurer un, vu qu’elles sont toutes parties en 51 minutes (75 000 places, voilà de l’argent vite gagné…).

Damned !!! Damned !!! Damned !!!

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