Easter eggs : la notule de Pâques

Les « Easter Eggs » sont des « petits programmes dans le programme », cachés et accessibles, généralement, par le biais d’une combinaison de touches, réalisés avec plus ou moins de facéties par les développeurs d’une application. Certains sont très simples, d’autres beaucoup plus élaborés, et leur recherche s’apparente à une véritable cueillette de Pâques, d’où, d’ailleurs, leur nom.

Le « widget » Météo du « Dashboard » de Mac OS X, par exemple, en comporte un relativement simple, qui vous permet de voir, très rapidement, l’ensemble des pictogrammes météorologiques à votre disposition. Il suffit de saisir la combinaison de touches [cmd] + [alt] en cliquant sur le symbole météo de votre widget pour faire apparaître le lieu « Nowhere », autrement dit « Nulle part », puis de poursuivre cette opération pour faire défiler les différents pictogrammes. C’est bête, mais ça vous détendra une minute ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

D’autres Easter Eggs sont nettement mieux cachés et plus facétieux. Les créateurs d’Adobe Photoshop cachent une image dans les informations d’accueil, renouvelée à chaque version. Pendant longtemps, elle mettait en scène le « chat électrique ». Désormais, les choses sont plus variées : lutins, lapins et autres créatures… Pour y accéder, il suffit d’appeler l’aide tout en appuyant sur la combinaison de touches [cmd] + [alt].
L’Easter Egg le plus drôle, selon moi, et celui qui m’a le plus amusé lorsque je prenais quelques minutes de pauses entre deux alignements de blocs au millième de centimètres, c’est celui qui est contenu dans Quark XPress. La suppression d’un bloc d’image en activant une combinaison de touches faisait apparaître un « alien » qui détruisait le bloc dans une explosion de couleurs.
La guerre InDesign – XPress vit apparaître également une guerre des programmeurs en matière de gimmicks : chez Adobe, ils firent apparaître un « gentil alien » caché dans l’interface de gestion d’impression, et chez XPress, en guise de réplique, un deuxième alien encore plus méchant fait désormais exploser le premier alien originel… –Cliquer sur l’image pour voir ces fonctions cachées en plus grand-.

Joyeuses Pâques et bonne cueillette !

Aujourd’hui : maintenance et sauvegardes…

Début de matinée assez intense ce matin pour mon ordinateur, qui, tout seul comme un grand, a effectué sa maintenance périodique –les opérations réalisées sont détaillées sur l’image ci-dessous, c’est plutôt long, mais efficace, et ça fait pas mal chauffer le bestiau, du fait du travail assez intense du disque dur : ce matin, la température de l’ordinateur a atteint 46°, alors qu’elle dépose rarement les 40° : du coup, j’ai lancé les ventilateurs internes, ce qui arrive très rarement !-, puis les traditionnelles sauvegardes mensuelles sur trois disques durs différents et rangés à divers endroits de la maison –la logique voudrait également que je dispose au moins d’une sauvegarde hors de la maison, mais bon…-.

Le voilà désormais tout prêt pour attendre le prochain nettoyage de printemps !

Du coup, j’ai effectué toutes les dernières mises à jour et j’ai dû le redémarrer, ce qui n’était pas encore arrivé en 2017… Cela ne relève bien évidemment plus d’un exploit, de nos jours, mais il me souvient d’un certain Système 7.5.3 –les plus anciens comprendront…– qui nécessitaient quasiment un redémarrage par jour, avec ses conflits d’extension et autres petits et grands tracas !

IA : l’homme est de moins en moins de chose…

Souvenez vous : j’évoquais hier l’intelligence artificielle consultable par télépathie sur un ton badin et, l’an dernier, vers la fin de l’hiver, je vous proposais de suivre en plusieurs épisodes et en direct la chute de l’un des grands champions de go face à AlphaGo, intelligence artificielle conçue par l’homme, mais s’entraînant désormais face à elle-même pour approfondir son savoir !

Il se trouve que presqu’en catimini, c’est le numéro 1 mondial de ce jeu qui a été battu, récemment, trois fois en trois parties par ce même AlphaGo. Comme cela s’est passé très discrètement et que ce jeu intéresse peu en nos contrées, la presse n’en a guère parlé. Mais, visiblement, la machine a encore fortement progressé à force de s’entraîner contre elle-même !

Pour comprendre le concept de réseaux journaux et de « deep learning » qui prévaut à son fonctionnement, je vous propose de regarder cette petite vidéo, très bien réalisée et fort explicite.

Un autre article montre tout aussi intéressant montre que, désormais, ce sont aussi d’autres travers fort humains qui émergent avec l’apparition d’une intelligence artificielle performante !

Une base de données en état de marche !

discobddÇa y est, j’ai enfin fini de peaufiner la base de données qui me sert à recenser et classer ma discothèque. A dire vrai, il existe un tas d’outils plus ou moins bien faits qui permettent de réaliser cette opération plus ou moins aisément, avec une jolie interface et avec des options plus ou moins nombreuses, mais ils se révèlent, à l’usage, plus ou moins fonctionnels dès lors qu’on veut y entrer des informations complexes dans le cas d’une discothèque classique. Et donc, aucun ne me convenait réellement. Je me suis donc lancé dans l’utilisation de File Maker, que je n’avais plus côtoyé depuis des lustres… Mais, assez rapidement, de vieux réflexes se sont rappelés à mon souvenir !

discobdd_2Je me suis donc lancé il y a quelques temps, et j’ai importé les données issues de mon fichier Excel, à  jour, mais difficilement utilisable inutilisable pour lancer des requêtes croisées, et servant donc plus de catalogue que de vraie base de données complexe. J’ai opté pour une interface aussi sobre et lisible que possible –les couleurs bariolées façon Windows 3.1 piquent vite les yeux !!!-, tant pour l’affichage à l’écran –cliquer sur l’imagette de gauche pour voir comment cela s’affiche– que pour les éventuelles impressions –ça peut toujours servir pour envoyer à l’un ou l’autre qui me demande ce que contient tel ou tel album : cliquer sur l’imagette de droite pour en avoir une idée. Il faudra simplement que je supprime de ce modèle les boutons de requêtes, qui ne servent à rien sur du papier…-.

Evidemment, le plus gros du travail a consisté à saisir l’ensemble des données, mais je m’étais déjà adonné à cet exercice fastidieux il y a fort longtemps.

Désormais, je cherche un moyen simple d’incorporer une image de chaque pochette à chaque fiche, ce qui n’est pas si évident que ça en a l’air, et il semble qu’il faille que je m’oriente vers un croisement de deux bases de données, dont l’une en contiendrait que les illustrations… Pour le reste, les boutons de script appelant des requêtes fonctionnent parfaitement bien !

Murphy, sors de ce corps !

reseaumaisonAprès la mésaventure connue par mon pare-brise, c’est, hier soir, une sérieuse panne du réseau domestique, assez tarabiscoté ici –cliquer sur l’image pour voir en plus grand comment il est bizarrement fichu…– qui a frappé ! En même temps, chacun voulant bénéficier d’un internet confortable et rapide, difficile de faire autrement !

testresauL’après-midi, donc, une coupure de courant a sévi dans la maison, voire dans la rue –les travaux de voirie sont importants ici, actuellement  suite à un incendie récent qui a frappé un immeuble voisin : ceci explique peut-être cela ?-. Suite à cette panne de secteur, avérée puisque mon fournisseur d’accès me l’a confirmée lorsque je lui ai téléphoné, le réseau se traînait à la vitesse d’un escargot anémique –cliquer sur l’imagette de droite pour vérifier que c’est vrai-, mais de manière assez aléatoire en plus.

Finalement, après moults essais, il s’avère que c’est un port du switch Ethernet qui ne fonctionnait plus que très lentement, et que, de plus, il engendrait, forcément, des instabilités sur les autres ports…

Bref, j’ai dû le changer ce matin, et, désormais, tout semble rentrer dans l’ordre à nouveau ! Pourvu que ça dure !

switchethernet

Barre tactile et coup de massue

Hier soir, Apple proposait une présentation de ses nouveaux ordinateurs portables –les fameuses keynote, qui ont perdu un peu de leur saveur depuis la disparition du père fondateur…-. Outre le coup de massue attendu quant aux nouveaux tarifs –la baisse de l’euro n’a pas que du bon ! Il serait sage de faire un tour sur la boutique UK, dans ces conditions 😉 -, ces ordinateurs disposent désormais d’une astucieuse « Touch Bar », qui est en fait une petite barre tactile intégrée au clavier, dont les fonctions varient selon les applications utilisées. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

touchbar

Ça permet de travailler assez naturellement à l’horizontale –un écran tactile vertical disposé devant soi étant de toute manière inutilisable car trop fatiguant pour les bras-, depuis le clavier, et de ne pas massacrer l’écran de l’ordinateur avec des traces de doigts ! L’utilisation de la chose semble prometteuse, et certains logiciels sont déjà adaptés à cette nouvelle fonctionnalité.

Ah bon ? Ça existe encore ?

Oyez ! Oyez ! Oyez bonnes gens ! RagTime n’est pas mort ! Qui ça ? Quoi ça ?
Je m’explique : aujourd’hui, j’ai eu un mail « promotionnel » m‘informant que RagTime 6.6.1 était compatible avec macOS Sierra…

ragtime661

Pour les plus anciens utilisateurs de suites bureautiques, ce sera une bonne nouvelle : ils connaissent forcément cette Rolls qui renvoie toute la concurrence, d’où qu’elle provienne, dans les cordes : on n’a jamais fait mieux depuis la fin des années 80 –ah oui, quand même !-. L’intégration des différents modules de la suite est exemplaire, ils sont tous accessibles au sein de la même page très aisément et le tout fonctionne harmonieusement. Pour les anciens utilisateurs de Mac, c’est l’équivalent, en quelque sorte, du module vectoriel de feu Claris Works, en beaucoup plus puissant ! La page réceptionne des « objets » –textes, images vectorielles ou bitmap, tableaux et graphiques interactifs, extraits de bases de données…– que l’on déplace très simplement où l’on veut, et tout cela en wysiwyg ! Il ne manque finalement qu’une gestion experte de la typographie pour s’approcher des logiciels de PAO.

Une politique commerciale erratique au milieu des années 90 l’a malheureusement peu à peu condamné à l’oubli chez la particuliers, mais nombre d’entreprises doivent encore l’utiliser, puisque le logiciel est très régulièrement maintenu à jour !

Si vous voulez l’essayer gratuitement et voir ce que peut être une vraie et puissante suite bureautique, c’est tout-à-fait possible ! Si, ensuite, vous ne pouvez plus vous en passer, ce ne sera pas de ma faute !

Aujourd’hui, j’ai testé macOS Sierra

Hier soir vers 19h30 –heure française– OS X, qui succédait à MacOS X, est mort, et remplacé par macOS Sierra ! Le nom change, le reste change assez peu en définitive ! Après installation, tout reste à peu près comme avant en termes d’interface utilisateur –et heureusement, parce qu’il fallait changer à chaque fois ses habitudes, on n’en finirait plus…-. Grosso modo, on trouve donc toujours un bureau avec des dossiers contenant des fichiers ! Etonnant, non ?

siri_macLe truc nouveau et un peu rigolo de ce nouveau système d’exploitation, c’est Siri pour Mac, qui permet de commander, un peu, son ordinateur avec la voix, et tout cela de manière très polie. Parfois, ça marche vraiment bien, comme le montrent les deux copies d’écran –cliquer sur les images pour les voir en plus grand– : ainsi par exemple, j’ai demandé à écouter les Rolling Stones sur iTunes et l’ordinateur a obéi promptement, me proposant une liste assez habilement constituée.

itunes_siri

Parfois, cependant, les résultats obtenus vont du « Je n’ai pas compris votre demande » à des choses un peu absconses, parce que : soit je prononce mal, soit l’ordinateur est un peu dur de la feuille ! Pour le reste, pas de bug constaté pour le moment avec les logiciels de la vie courante. Même Aperture, que je n’ai pas encore réussi à remplacer, continue à fonctionner !

Retour en haut