Dans le cadre des playlists constituées chronologiquement –et arbitrairement de 1964 à 2020– , j’avais malencontreusement oublié 4 années : 1969, 1974, 1975 et 2004. Erreur qui est définitivement et totalement réparée en terminant par l’année 2004. La boucle est désormais bouclée : avec cette notule s’achève la série des playlists chronologiques ! Vous pouvez remonter le temps en musique et la retrouver intégralement en cliquant ici ou sur le menu déroulant idoine de la colonne de droite, rubrique des « Catégories ».
• Nouvelle Vague – Nouvelle vague • Brian Wilson – Brian Wilson Presents SMILE
La réalisation de cet album mythique par son compositeur, aidé par un tout nouveau groupe de jeunes musiciens, à une date aussi tardive qu’en 2004, alors qu’il aurait initialement dû sortir en 1967, est l’objet d’une chronique simplifiée à lire ici, ou plus exhaustive et détaillée en Anglais ici.
• Brahms – Symphonie n°1 – OS Londres, Bernard Haitink • The Cure – The Cure
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Dans le cadre des playlists constituées chronologiquement –et arbitrairement de 1964 à 2020– , j’avais malencontreusement oublié 4 années : 1969, 1974, 1975 et 2004. Erreur que je continue à progressivement réparer en poursuivant par l’année 1975 !
• Bach – Sonates et partitas pour violon – Nathan Milstein • Doctor Feelgood – Down By The Jetty • Verdi – Ouvertures et préludes – OP Berlin, Herbert Von Karajan • Pink Floyd – Wish You Were Here
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Dans le cadre des playlists constituées chronologiquement –et arbitrairement de 1964 à 2020– , j’avais malencontreusement oublié 4 années : 1969, 1974, 1975 et 2004. Erreur que je continue à progressivement réparer en poursuivant par l’année 1974 !
• Hector Berlioz – Symphonie fantastique – RCO Amsterdam, Colin Davis • Sparks – Kimono My House • Edvard Grieg – Pièces lyriques – Emil Gilels • Rory Gallagher – Irish Tour
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• Lou Reed – Live – 1974 **** • Bob Marley And The Wailers – Babylon By Bus – 1978 **** • Beethoven – Sonate pour piano n°31 & 32 – Bagatelles op.126 – Yevgeni Sudbin – 2019 ***** La prise de son du disque consacré à Beethoven est somptueuse : l’une des meilleures prises de son de piano que je connaisse. • The Cure – Faith, Deluxe Edition – 1981 *****
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• The Kinks – Lola Versus Powerman And The Moneygoround – 1970 **** • Joy Division – Atmosphere EP – 1979 ***** • Beethoven – Symphonie n°5 – MusicAeterna, Theodor Currentzis – 2020 *** • Deep Purple – = 1 – 2024 ***
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Je ne sais plus du tout d’où proviennent ces deux albums, retrouvés presque par hasard sur mes étagères alors que je cherchais tout-à-fait autre chose ! Il s’agit de deux compilations issues des années 80, sorties en 200 et 2001, à tendance plutôt « new wave » et présentant quelques-uns des titres les plus connus de cette décennie, dont beaucoup sont tombés dans un oubli relatif ou n’ont guère résisté à l’épreuve du temps… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Quelques titres de cette playlist, composée de 67 chansons, méritent cependant d’être sauvés ou s’écoutent sans déplaisir : XTC, Simple Minds, Blondie, TalkTalk ou encore The Stranglers, Kate Bush ou Chris Rea. Certains autres m’étaient totalement inconnus –je n’écoutais que très peu la radio à cette époque– ou complètement sortis de l’oreille : boîtes à rythme et synthétiseurs à profusion, production qui met invariablement en avant une batterie clinquante et une grosse ligne de basse –très efficace en boîte de nuit…-, telles étaient les principales caractéristiques de ces années-là, on a connu plus chatoyant !
On verra dans une vingtaine d’années ce qu’il en restera !
Adolescent –et adolescent un peu attardé-, j’avais, entre autres, deux livres de chevet que je consultais très souvent lorsque je souhaitais faire de nouvelles découvertes pour abonder ma discothèque naissante : • le « Guide Akai du disque Jazz, Blues, Pop, Rock », d’une part, en édition de poche, et qui datait de la fin de mes années collège, d’une part ; • le « Dictionnaire des disques : guide pratique de la musique classique enregistrée », d’autre part, à partir de la fin de mes années lycée, dans la collection Bouquins de Laffont : de très gros pavés à petits prix. A force de les lire et de les relire, j’en connaissais de larges pans presque par coeur, et ces deux livres m’ont guidé –c’est leur objectif, me direz-vous avec raison !– vers de jolies découvertes ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
L’album du jour fait partie de ces belles trouvailles : qu’un adolescent des années 80 puisse acheter « Supersnazz » des Flamin’Groovies, groupe californien de San Fransisco qui m’était alors totalement inconnu, enregistré en 1969, était un pari improbable, mais la critique lue dans le petit guide rouge était suffisamment élogieuse et intéressante pour donner envie d’en écouter plus ! Je ne l’ai jamais regretté, et et album et sa pochette ludique fait toujours partie, à ce jour et plus de quarante ans après sa découverte, de mes disques pop-rock favori. Il ne faut pourtant rien y chercher de très original : c’est de la power-pop mâtinée de rock interprétée dans la bonne humeur et avec un enthousiasme communicatif et compétence, intemporelle parce que complètement hors du temps et des courants dès sa sortie : pensez donc, à l’époque, sur la côte ouest des États-Unis, le psychédélisme du Grateful Dead, de Jefferson Airplane ou de Country Joe McDonald And the Fish était en vogue.
Evidemment, le disque, qui avait coûté horriblement cher à produire, fit un four à sa sortie et les Flamin’Groovies furent aussitôt renvoyés de leur maison de disque, Epic, affiliée à CBS, la seule major avec laquelle ils eurent l’occasion signer durant leur longue et quelque peu erratique carrière : le groupe, dont la composition a été relativement mouvante durant deux décennies, et dont les deux leaders, Roy Loney et Cyril Jordan, étaient relativement antagonistes, ne réussit jamais totalement à trancher entre ses deux influences majeures : Beatles ET Rolling Stones !
Supersnazz –Super chic en Français dans le texte-, plus de cinquante ans après sa sortie, fait désormais partie des disques cultes qui ont bien résisté à la postérité. Il fait d’ailleurs partie des rares disques que j’emmènerai sur mon île déserte !
Cet album a été très bien réédité : • en CD, dans la collection « Vinyl Replica » : une excellente remasterisation en haute définition 96kHz/24 bits, qui est, en terme de confort et de qualité sonore, la meilleure proposition pour écouter le disque ; la première édition CD, en revanche, était d’assez piètre qualité ; • en LP 180 grammes dans la série « Music On Vinyl » : les visuels –la magnifique pochette « aux joyeux petits mickeys » et les étiquettes du disque- sont identiques aux originaux d’époque, le remastering est tiré d’un master numérique 96-24 et le pressage est très soigné et silencieux : c’est sous cette forme que j’écoute cet album aujourd’hui. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
• Iggy Pop – Nude And Rude : Best Of – 1996 **** • The Sex Pistols – Never Mind The Bollocks, Here’s The Sex Pistols – 1977 **** • Tchaïkovsky – Romeo et Juliette ; Casse-Noisette, suite – OP Berlin, Karajan – 1983 **** • Charlie Watts & Jim Keltner – Project – 2000 ****
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Ça faisait bien longtemps que je ne m’étais plus constitué, via ex-iTunes, de playlist sous forme d’extraits d’albums : celle de ce jour à la météo franchement maussade est plutôt courte –Six titres etune petite quarantaine de minutes à peine– mais plutôt « bruyante », puisqu’essentiellement composée de chansons relativement énergiques ou brutes de décoffrage.
On y retrouve, pêle-mêle : • une chanson de power-pop grandiloquente qui part dans tous les sens, au refrain entêtant ; • un titre bien énervé des Wampas ; • une version totalement déjantée de « Street Hassle » de Lou Reed, tirée d’un album live très inégal, où Lou Reed passe une partie de son temps à pourfendre tout ce/ceux qui lui passent par la tête… ; • une des rares bonne chanson de Scorpions période « métal FM », genre vers lequel ils ont malheureusement évolué au milieu des années 80 ; • une excellente chanson blues d’AC/DC extraite d’un album introuvable en France –version australienne de « Dirty Deeds Done Dirt Cheap », qui contient quelques titres inédits en Europe ou aux USA– ; • l’un des hymnes des métalleux issus de la mouvance « New Wave of British Heavy Metal ».
Ecoutée « un peu fort », ça dépote pas mal ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
• George Harrison – Live In Japan – 1991 *** • Giuseppe Verdi – Requiem – Tomowa-Sintow, Baltsa, Carreras, van Dam ;
Ch. & Orch. Philh. Vienne, Karajan – 1984 **** • Flamin’Groovies – Now – 1978 *** • Anton Webern – Complete Works – Boulez 2000 ****
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