Playlist « Souvenirs mémorables »

A l’ordre du jour de cette journée pluvieuse et maussade, redonnons des couleurs au gris du ciel avec une petite playlist d’albums enregistrés en concert, peu ou prou à l’époque où, durant la fin de mes années collèges et durant mes années lycées, j’ai assisté aux concerts de ces groupes –pour AC/DC, l’album date de la tournée précédente, encore avec Bon Scott-.

Supertramp – Strasbourg, 21 novembre 1979
AC/DC – Strasbourg, 13 décembre 1980
The Rolling Stones – Paris, 13 juin 1982
The Real Kids – Paris, 02 février 1983
Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Bilan 2023 – Les coups de coeur de cette année !

Comme la quantité de CD que j’achète a une très nette tendance à se réduire depuis deux ans –faute de place, d’une part, et faute de nouvelles sorties réellement palpitantes à mes oreilles– la liste de mes coups de coeur sera relativement réduite pour 2023.

En corollaire, je n’ai qu’une seule déception à signaler, et qui confirme en réalité l’idée que je m’étais fait de cette chose il y a très longtemps, et qui ne vaut pas le coup de s’y étendre sur une notule : la déception de 2023 est le live des Kinks « One For The Road », que j’ai racheté cette année parce que d’autres albums du groupe ont largement égayé mes oreilles ces derniers mois. Je l’avais déjà acheté au début des années 80 en double LP, je n’avais pas trop aimé, et cette appréciation est confirmée cette année : ça ne vaut pas mieux en CD !

Pour le reste, donc, que des coups de coeur, et vous ne serez pas trop surpris d’y retrouver le beau et volumineux coffret -99 CD- consacré à Trevor Pinnock et à l’English Concert, et, évidemment, le nouvel album des Rolling Stones « Hackney Diamonds », où, sur un titre, c’est le groupe au grand complet qu’on retrouve, avec Charlie Watts et Bill Wyman : peu ou prou 400 ans à eux cinq ! –Cliquer sur l’image our la voir en plus grand-.

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Rien que ça ? Ah oui, quand même !

Critique du Daily Telegraph du nouvel album des Rolling Stones. Sa conclusion est sans appel : « Le meilleur disque de Rock’n’Roll de ces quarante dernières années ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Vous m’en direz tant ! Il y a de très bonnes choses sur cet album, et, notamment, le retour de Bill Wyman accompagnant Charlie Watts pour un titre –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– : la rythmique historique et légendaire du groupe fonctionne alors à plein, et l’on se rend compte immédiatement de la perte incommensurable que constitua le retrait du bassiste, quels qu’aient été les mérites de son successeur, confirmant ainsi l’avis de Bob Dylan, pour qui Les Rolling Stones sans Bill Wyman ne sont plus exactement les Rolling Stones.
Le disque se conclut sur un hommage en duo Jagger – Richards consacré à Muddy Waters : Rollin’Stone Blues ». La boucle est bouclée ?

Et finalement ! Sur ma platine !

Délivré le jour même de sa sortie alors qu’il était prévu qu’il arrive dimanche, voici le diamant du jour, constitué de douze éclats que je vais enchaîner durant la prochaine heure !

1. Angry
 – 2. Get close
 – 3. Depending on You
 – 4. Bite My Head Off – 
5. Whole Wide World 
- 6. Dreamy Skies – 
7. Mess It Up
 – 8. Live by the Sword – -
9. Driving Me Too Hard
 – 10. Tell Me Straight – 
11. Sweet Sound of Heaven – 
12. Rolling Stone Blues –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist pour passer le pont !

Le pont envisagé, c’est celui de l’Ascension, évidemment, qui m’offre un peu de temps pour égayer mes oreilles. Du coup, le mot du jour est « Bridge », sachant que je ne connais pas assez la chanson française pour y identifier des histoires de pont ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

On trouvera donc, dans cette playlist :
un live de Status Quo -le groupe préféré du nouveau roi d’Angleterre, selon une légende bien établie ! -, pas génial, mais qui comporte le remuant « Burning Bridges » ;
la jolie chanson « Like A Bridge Over Troubled Water » du duo vocal Simon And Garfunkel, qui connut son heure de gloire durant les seventies en proposant d’aimables bleuettes très harmonieuses ;
une version live de « Seven bridges Road » d’Eagles, sur un double-album compilation très inégal, dont l’écoute intégrale d’une seule traite ne m’est personnellement pas possible…
Un album assez anecdotique des Rolling Stonesc’est moi qui le dis-, « Bridges To Babylon », que je n’ai pas dû écouter plus de cinq fois intégralement ! A vrai dire, je le connais très mal…

Une playlist certes adaptée au pont de cette fin de semaine,
mais qui n’est pas très fameuse à vrai dire !

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Devinette hivernale : la solution !

Vous avez été trop brillants et avez répondu rapidement et sans coup férir à la devinette proposée au début du mois. En effet, la photo proposée date du début 1967, époque de la sortie de « Between The Buttons » –sorti le 20 janvier 1967, n°3 dans les Charts UK, n°2 dans les Charts US et disponible en deux versions différentes : l’une pour l’Europe, l’autre pour les USA. La version parue en Europe est bien plus cohérente-. C’est l’album sur lequel Brian Jones –cliquer sur son portrait, à peine plus tardif,  pour le voir en plus grand– joue le plus d’instruments différents : guitare, piano, vibraphone, marimba, flûte, trompette et harmonica.

Mick Jagger n’aime pas, en définitive, cet album et l’a déclaré plus tard dans l’une des rares interviews qu’il a accordée. Pourtant, au moment de sa sortie, il le pensait supérieur à Aftermath et le présentait comme « l’album le plus varié du groupe ». De même, Bill Wyman considère que la production d’Andrew Loog Oldham, passablement noyée dans la réverbération, manque de subtilité.

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