Playlist « Cette année-là – 2004 »
• Nouvelle Vague – Nouvelle vague
• Brahms – Symphonie n°1 – OS Londres, Bernard Haitink
• The Cramps – How To Make A Monster Disc
• The Cure – The Cure
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• Nouvelle Vague – Nouvelle vague
• Brahms – Symphonie n°1 – OS Londres, Bernard Haitink
• The Cramps – How To Make A Monster Disc
• The Cure – The Cure
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• Moussorgsky – Tableaux d’une exposition – Pogorelich
• Rammstein – Sehnsucht
• Hindemith – Nobilissima Vision ; Der Schwanendreher ; Konzertmusik – OS San Francisco, Blomstedt
• The Cramps – Big Beat From Badsville
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Changeons de décennie avec le décalage horaire !
• The Cure – Glastonbury Live – Enregistrement non officiel, excellent et assez facilement dénichable sur plusieurs labels plus ou. Moins obscurs obscurs, et avec des visuels différents.
• The Cramps – Stay Sick
• The Allman Brothers Band – Seven Turns
• Kurt Weill – L ‘opéra de quat’sous – RIAS Berlin, Mauceri
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Pour bien commencer la journée, une assez courte playlist pleine de bonne humeur, comprenant notamment l’un des tout meilleurs albums –trop méconnu malheureusement– de rock français et deux autres albums remplis d’allégresse. Jubilatoire ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
👿Les ligues féministes de vertu vont me tomber sur le paletot pour avoir osé montrer la pochette de « Smell Of Female » … Quand on sait qu’en plus l’album contient un excellent titre intitulé « Faster Pussycat » !!!
Suite à la lecture de cette notule de Sardequin, allez savoir pourquoi –il faudra aller dans les commentaires pitre comprendre ma logique…-, je me suis fabriqué une playlist « année collège », constituée d’albums que j’écoutais soit à la fin de ma période de collégien, soit au début de mes années de lycéen. Ce qui, évidemment, ne me rajeunit pas.
A l’époque, ces disques faisaient vaguement partie d’une culture « underground » et échappaient assez largement au « grand répertoire » de nombreux collégiens ou lycéens de l’époque, mais, avec quelques acolytes, ils faisaient parfaitement notre bonheur ! –Cliquer sur l »image pour la voir en plus grand-.
Belle brochette de mines patibulaires, de guitares au son saturé et d’artistes alors maudits, mais devenus « cultes » avec le temps –les trois-quarts sont morts aujourd’hui…-.
Généralement, le son va du médiocre –LAMF de Johnny Thunders & The Heartbreakers, malheureusement. En 33T, c’était abominable, le remix tardif paru pour le CD est meilleur, mais reste à peine passable– au convenable, parce que, quand même, pour la plupart, se payer un producteur, c’était un peu trop cher… Cela n’empêche en rien d’y trouver un plaisir jubilatoire et revigorant !
Au terme d’une journée longue, plutôt pluvieuse et laborieuse, une petite playlist réalisée selon le principe d’une exploration aléatoire de l’alphabet est de rigueur. Aujourd’hui, j’attaque la lettre F –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Cela va de la pop jubilatoire de B-52’s – « Funplex », leur dernier album studio, selon mes informations, datant de 2008, soit presque dix ans quand même !– à la musique au style varié et indéfinissable de Tom Waits –son excellent « Frank’Wild Years », sorti en 1987-, en passant par le rockabilly psychédélique –c’est eux qui le disent– des Cramps dans un de leurs derniers disques, paru en 2003, « Fiends Of Dope Island » : 46 minutes d’éclate totale et de musique totalement déjantée –même si le groupe formé autour de Lux Interior et Poison Ivy s’était quelque peu assagi en vieillissant, comme on peut le voir dans la vidéo proposée à la fin de la notule, extraite d’un concert à Oslo en 2006, où Lux Interior est vraiment sobre dans ses épanchements– !
Pour compléter cette belle série, l’album plus ancien « From The Beginning » des Small Faces -1967- s’inscrit dans une veine Mod très British !
8 albums pour découvrir mes années 70 !
La liste proposée pour découvrir les années 80 était arbitraire et partielle, celle-ci, consacrée à ma vision des années 70, l’est encore plus, du fait d’une sélection encore plus sélective : limiter les années 70 à 10 albums s’avère en fait extrêmement compliqué et, en définitive, nettement trop limité. Je pourrais facilement l’abonder d’une seconde liste tout aussi essentielle… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
J’aime beaucoup chacun des albums présentés ici, qui ont tous contribué, à leur manière, à forger mes goûts et mon éducation musicale depuis leur découverte, qui date d’il y a très longtemps. On y retrouve d’éminents classiques, comme « Led Zeppelin IV » ou « Who’s Next« , « Never Mind The Bollocks » ou « Breakfast In America« , qui marquèrent chacun l’époque de leur empreinte, et des choses plus rares, comme le premier EP des Cramps et l’album de Starshooter, groupe lyonnais concurrent de Téléphone à la fin des 70’s. « Berlin » a rejoint la liste des albums mythiques alors qu’il fut vilipendé à sa sortie, et « Van Halen I » fit entendre, à sa parution, de tout nouveaux sons de guitare.
Que du bonheur dans cette liste, à mes oreilles au moins !
Une playlist variée et néanmoins thématique pour accompagner cette grise matinée : de l’effet des addictions diverses sur la production musicale de quelques artistes ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Les plus anciens lecteurs de ce blog connaissent déjà mon affection pour Johnny Thunders, qui s’est patiemment livré à une entreprise d’autodestruction à grands renforts d’héroïne. Evidemment, cette consommation immodérée a gravement nuit à ses talents au fur et à mesure que le temps passait, et, des débuts prometteurs de « So Alone » à tout ce qui suivit, les témoignages de cette lente descente ne manquent pas. L’album de ce jour est une compilation de trois concerts -dont un acoustique-, plutôt bien réalisée, qui l’inscrit plutôt vers les sommets d’une discographie à la fois complexe et décevante.
Le live de Led Zeppelin est peut-être le meilleur du groupe -aux addictions poudreuses et éthyliques prononcées-, mais s’avère, lui aussi, d’une écoute parfois un peu pénible : groupe de scène au talent incontestable, Led Zeppelin improvisait beaucoup sur scène, et ce qui prenait sans doute tout son sens dans le cadre d’un événement vivant perd beaucoup d’intérêt dans le cadre d’une écoute au disque. Et une version de « Whole Lotta Love », chanson d’une belle urgence s’il en est, diluée sur près de 25 minutes, c’est franchement assez insupportable –sans même parler de la batterie pachydermique de John Bonham, qui tient difficilement dans un salon…-.
Serge Gainsbourg racontait à l’époque de la sortie de « Love on the beat » qu’il «s’était mis a wagon » le temps de l’enregistrement du disque, à savoir qu’il avait arrêté de boire –ce qu’il fit semble-t’il effectivement pendant les 8 jours qui précédèrent la séance de prise de photos pour la pochette de l’album. En revanche, il était trop accro aux Gitanes pour les laissé de côté…-. Pour le reste, on est face à du pur Gainsbarre, accompagné par de redoutables session men des meilleurs studios new-yorkais, en rupture avec les fulgurances reggae ou afro-antillaises, mais aussi des orchestrations et arrangements plus complexes, des années antérieures.
Finalement, l’addiction aux petits films d’horreur de série Z de Lux Interior et Poison ivy, les seuls deux membres réguliers des Cramps, a produit l’album le plus drôle et original de cette playlist –cliquer sur l’extrait ci-dessous et faites semblant d’avoir peur : ils auraient aimé ça !-.