Logiciel de mise en page, (re)test

De la mise en page créative, je n’en fais plus beaucoup actuellement, et je n’ai donc constaté qu’il y a quelques jours que ma version de Quark XPress, pourtant pas si ancienne que ça, ne fonctionnait plus avec la récente mise à jour du système d’exploitation –confirmation sur le site de l’éditeur-. La politique tarifaire de l’éditeur étant ce qu’elle est -et même si son prix de 629€ s’est effondré depuis que la concurrence s’est largement développée avec InDesign, que je n’ai personnellement jamais trop apprécié, malgré ses qualités-, je ne me voyais pas acheter une licence pour le peu d’usage que j’en aurais désormais.

En revanche, j’avais encore en réserve le logiciel Affinity Publisher dans une version récente, maintenue à jour et compatible, elle, avec macOS 26, mais que je n’utilisais pas après l’avoir rapidement testé il y a quelques années, étant beaucoup plus rapidement productif avec XPress ! Je m’y suis donc remis très rapidement hier matin pendant une petite dizaine de minutes pour me familiariser avec le logiciel : l’occasion de prendre de nouvelles habitudes et de se plier à de nouveaux repères ou un lexique différent de celui que je maîtrise ! Au demeurant, l’outil semble très puissant lui aussi, même si certaines fonctionnalités sont déroutantes après plus de 30 ans passés avec Quark XPress ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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C’est tout cassé !

Ma bonne vieille carte vitale, délivrée en août 1998 et qui ne m’avait quasiment jamais servi jusqu’en mars 2022 –mais qui me fait grand usage depuis…-, s’est brisée net en deux parties ! Le plastique, ça vieillit mal, et me voilà obligé d’en commander une nouvelle, sur laquelle il y aura même ma photo !

Aujourd’hui, tuyauterie et triple vitrage !

Notre immeuble est en vaste –et, au bout du compte, coûteux– chantier depuis plusieurs semaines, avec ravalement de façade –et divers travaux annexes-, pour lequel nous n’avons même pas eu le choix de la couleur, imposée par les architectes des bâtiments de France (ABF) –lesquels architectes ont par ailleurs interdit toute mesure d’isolation par l’extérieur…-, d’une part, et, d’autre part et beaucoup, vraiment beaucoup plus bruyants, les travaux de raccordement au réseau de chauffage urbain, qui nécessitent de creuser de profondes tranchées sur la route, puis à travers les fondations de l’immeuble : pourvu qu’il ne s’écroule pas !
On profite de tout cela pour, tant qu’à faire, installer du triple-vitrage sur certaines fenêtres : celles qui ne donnent pas sur la rue, et donc ne nécessitent pas de demande auprès des ABF. Livraison et installation aujourd’hui !

En géographie, l’IA est médiocre…

… mais l’IA américaine est assez nettement supérieure à l’IA française !

Sur une idée de Sardequin, qui vous présente le rigolo –et néanmoins désolant– résultat obtenu par Mistral AI, l’intelligence artificielle française, à sa demande de dessiner une carte de France, j’ai demandé la même chose à ChatGPT –« Peux-tu dessiner une carte de France avec les principales villes ? »-. J’ai volontairement limité le prompt au maximum, afin de ne pas induire de surcharge cognitive pour l’IA…
Le résultat, s’il est un peu moins affligeant, n’est pas pour autant très fameux, d’autant que le process a nécessité un temps relativement long ! J’aurais vraisemblablement pu faire mieux –sans le « coloriage » somme toute assez moche et manquant d’éclat de l’IA– à main levée en moins de temps… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Reste qu’il est tout de même très étonnant que des choses parfois très simples a priori peuvent sembler complexes à réaliser pour une IA : je ne vois pas trop où peut se situer la difficulté dans ce prompt –serait-ce la demande de dessiner ?-, d’autant que n’importe quel outil de recherche propose des résultats autrement plus pertinents depuis fort longtemps !

Désormais, il passe partout !

Avant-hier soir, à l’occasion d’une enquête de satisfaction de mon fournisseur d’accès à internet, j’ai demandé si, éventuellement, il était possible de procéder à une échange de mon modem multifonctions –box internet en français courant-, l’ancien étant très robuste mais d’une portée WiFi –TheCookingCat se sert de son iPad partout dans la maison– ne permettant pas une couverture idéale de tout le domicile : la conseillère m’a annoncé une amélioration des performances WiFi.

Aussitôt dit, aussitôt fait : en moins de 14 heures chronola nouvelle échelle de temps en France en ce moment…-, j’ai vu arriver hier matin une nouvelle box, déballé le carton pour remballer l’ancienne box et la renvoyer, puis branché ladite box au sein de mon réseau en deux temps-trois mouvements. Comme annoncé la veille, le WiFi est en effet nettement plus performant, tant en débit, quasiment doublé, qu’en portée, puisque le WiFi passe désormais partout ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Playlist « retour en enfance »

Certaines oeuvres me font invariablement retomber en enfance : c’est le cas avec « Les quatre saisons », d’Antonio Vivaldi, ensemble de quatre concertos pour violon –un par saison : étonnant, non ?– découverts très tôt sur la chaîne HiFi paternelle, et que nous écoutions également, avec explications érudites de « la maîtresse », à l’école élémentaire : elle décortiquait les poèmes supports de ces oeuvres et les faisait coller à la musique, c’était magique pour nos jeunes oreilles !
Un enregistrement faisait fureur à l’époque, c’était celui de Felix Ayo et I Musici, qui entame la playlist de ce jour. J’ai usé ce disque jusqu’à la corde ; il possédait en outre un  livre explicatif du plus haut intérêt. La playlist est par ailleurs constituée de quatre albums parmi la centaine d’enregistrements réalisés, et qui, au rythme d’une saison chacun et au fur et à mesure de l’évolution de l’histoire de l’interprétation, remonte petit à petit le temps. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

• Antonio Vivaldi – Les quatre saisons, op. 8 n°1-4
L’automne – Felix Ayo ; I Musici – 1959 ****
L’hiver – Konstanty Kulka ; orch. de chambre de Stuttgart, Karl Münchinger – 1974 ***
Le printemps – Simon Standage ; The English Concert, Trevor Pinnock – 1981 *****
L’été – Enrico Onofri ; Il Giardino Armonico, Giovanni Antonini – 1994 *****

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Tous aux abris !

A vos masques, prêts, rentrez dans vos chaumières et préparez-vous à vous confiner ! Le Covid est de retour, et prend désormais la forme et le nom de Frankenstein, même s’il n’engendre pas, à ce jour, d’épidémie de grande ampleur ! Pendant ce temps, l’inénarrable Donald nous signale que les vaccins tuent…

Dyslexie du clavier !

Un lecteur de ce blog m’a récemment fait remarquer, à juste titre, les nombreuses et parfois cocasses coquilles qui parsèment les notules. Ma pratique du « tapuscrit » est pourtant ancienne et mes doigts sont relativement véloces sur le clavier, mais tapent assez souvent à côté, du fait d’un apprentissage en autodidacte imparfait et dans l’urgence.

Remontons un peu le temps ! J’ai été confronté pour la première fois à un clavier lors de la finalisation de la rédaction de mon mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine –plus de 220 pages tapuscrites et une trentaine de pages d’annexes dans sa version définitive-, il y a plus de 35 ans. En ce temps-là, où un ordinateur coûtait encore un bras, voire les deux, certains étudiants n’hésitaient pas à confier ce travail fastidieux à des professionnels spécialisés, moyennant finance évidemment. Pour ma part, j’avais d’abord acheté une machine à écrire portative, mais, après avoir terminé la première page qui avait tout de même nécessité une vingtaine de feuilles qui ont fini à la corbeille, j’ai rapidement compris que tous les arbres de la création seraient insuffisants pour accomplir ce travail. Machine à écrire remisée et début de mon passage au Macintosh –un Mac SE 4/40-: méthode qui avait le mérite de permettre de se tromper sans grande conséquence, sous réserve d’une lecture un peu attentive.

Par la suite, mes autres travaux de rédaction –études, écrits professionnels…– ont presque toujours « zappé » le manuscrit pour un passage direct au clavier de l’ordinateur, ce qui offre une souplesse et une méthodologie de travail sans égales, à mon avis au moins. Petit à petit, j’ai réussi à saisir relativement rapidement, en utilisant tous mes doigts ou presque, mais au prix des coquilles évoquées plus haut –et je ne me relis pas très attentivement, les enjeux n’étant pas les mêmes que pour un travail universitaire ou un rapport professionnel…– !

Sauf erreur de ma part, cette notule est garantie sans coquille !

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