L’autre mise à jour…

Je me suis enfin décidé à mettre à jour ma base de donnée « Discothèque », à laquelle je n’avais plus touché depuis un temps certain, pensant que je pouvais désormais me contenter d’une mise à jour annuelle ! En fait, non :  l’ensemble s’est révélé fastidieux, et même si  j’ai assez considérablement réduit mes achats de disques en 2025, cela m’a pris plus d’une heure : en réalité, j’en ai acheté un peu plus –en réalité : le double…– que ce que j’imaginais !
L’état des lieux s’établit ainsi : 5378 disques, dont 4346 dans la catégorie « Classique » et 1032 dans la catégorie « Pop-Rock », dont 52 LP –qui occupent autant de place que le plus grand coffret de l’histoire du disque dont je vous ai déjà entretenu…-.
Beethoven est très largement en tête dans la première catégorie citée et les Rolling Stones dominent de la tête et des épaules la seconde. Je suis sûr que cela n’étonnera personne ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Première mise en boîte à la guitare

Je me suis remis à la guitare depuis quelques temps, après l’avoir récupérée chez Nain Junior, où elle était en prêt à long terme. Ciel, que les cordes sont tranchantes et rapprochées –et pourtant j’ai de petites mains…– par rapport à mes basses !
Après quelques heures de lutte acharnée, j’ai réussi à mettre en boîte ce petit morceau pas trop difficile –car très répétitif, quant à sa ligne mélodique, malgré un tempo rapide-. Quant aux accords en seconde partie, ils sont bizarrement écrits mais pas difficiles : un genre de power chords qui n’en seraient pas tout-à-fait, la quarte remplaçant la traditionnelle quinte ! Il faudrait maintenant que je peaufine les sonorités pour me rapprocher plus du son typique du groupe, mais les réglages de mon petit ampli sont très sommaires et je ne dispose pas de pédales d’effets.
Je jouais déjà ce morceau à la basse, il faisait partie de ceux que j’avais sélectionnés pour m’entraîner au jeu avec mediator il y a quelques temps déjà. En effet, s’il n’est pas injouable aux doigts, il ne sonne absolument pas de manière adéquate. A la basse, ce morceau est encore plus répétitif qu’à la guitare –sauf à la toute fin-.

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C’est parti, et bien parti !

L’année dernière, d’un avis quasi-unanimement partagé, la décoration du grand sapin de Noël qui devait rappeler le jumelage entre « Strasbourg Capitale de Noël » et « Strasbourg Capitale mondiale du livre » fut un immense gâchis et le sujet d’une intense polémique ! Parmi les commentaires, on pouvait lire : « On dirait qu’ils ont accroché les déchets de la rue », « On dirait qu’ils ont jeté la poubelle de tri dans le sapin » et autres joyeusetés… Cette année, en revanche, le décor est consacré à la thématique de l’Avent, forcément plus consensuelle en cette période, et semble recueillir une bien plus large approbation.

Mercredi, pour l’ouverture officielle du Marché de Noël, une foule déjà nombreuse –beaucoup de touristes asiatiques et d’anglophones- se pressait au centre-ville, bouclé pour raisons de sécurité : comme il faisait froid, le vin chaud a coulé à flot ! TheCookingCat, qui ne comprend rien à la magie de Noël, est, comme chaque année, dubitative par rapport à cet engouement…

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Devinette « Marché de Noël »

Il faisait grand froid mais très beau hier après-midi, et une foule déjà très nombreuse était massée devant le grand sapin, dont la décoration est désormais achevée, tandis que les commerçants continuaient à apprêter les chalets du Marché de Noël ou à mettre une touche finale à leur vitrine éphémère. Bref : l’ambiance est clairement à Noël et ne manquent plus que l’odeur des épices et du vin chaud pour s’y croire complètement !

Sur la place du marché de Noël historique, tout est également prêt, sauf le grand portique à l’entrée, tel qu’il se présente sur la photo.

L’objet de la devinette de ce jour est de savoir à quoi peut bien servir ce portique, assez laid en l’état ?

Zone de lancement des drones de sécurité, installation d’un compteur géant pour connaître le nombre de visiteurs, partie d’une plateforme pour installer la crèche de Noël ? Allez savoir ! Mon petit doigt me dit que la réponse se trouve sans doute quelque part dans ces pages : oui, mais où ?

A vos claviers !

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Playlist « Concerts pirates mais officiels tardivement… »

Réchauffons quelque peu l’air ambiant subitement rafraîchi des deux derniers jours –et vaguement neigeux : le ciel est annonciateur ce matin !– avec quelques albums enregistrés en live, aptes à enflammer l’atmosphère, mais dont la parution « officielle » est très postérieure à l’événement.
Le contenu de ces albums fut plus ou moins disponible « sous le manteau » d’assez longue date et bien avant que des éditeurs un peu plus sérieux ne rendent ces disques plus facilement et plus officiellement accessibles –la disponibilité de l’album de Bob Dylan & Mick Taylor reste cependant assez aléatoire à ce jour-. Ces trois disques bénéficient désormais de conditions techniques acceptables –voire très convenables pour celui consacré à The Specials, qui provient de bandes enregistrées par la BBC pour des émissions télé/radiodiffusées– et s’avèrent, chacun dans son genre, très satisfaisants.
Vous aurez évidemment deviné que la première date mentionnée est celle des concerts enregistrés, la seconde indiquant la date de parution de l’album… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

 

• AC/DC – Live From Atlantic Studios, November 1977 – 1997 ****
• Bob Dylan ft. Mick Taylor – Live In Rome, June 1984 – 2017 ****
• The Specials – The BBC Sessions 1979/83 – 1998 *****

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Novembre, c’est le printemps, les oiseaux chantent !

(Mes nuits sans dormir, histoire sans fin…) Avec le radoucissement spectaculaire de ces derniers jours –on côtoie les 10° au petit matin et les 20° au courant de l’après-midi-, même les oiseaux sont totalement déphasés : comme tout est encore calme et que la ville n’est pas encore totalement réveillée, j’ entends des groupes de moineaux, dans les buissons du grand parc de la résidence : ils recommencent à chanter comme au début du printemps, dès 5h30 du matin : et que ça pépie à qui mieux-mieux, et que ça gazouille à tue-tête ! Manquerait plus que les femelles se mettent à pondre !

Ça se prépare…

Record à battre cette année : 3 400 000 visiteurs, venus de tous les pays du monde, record établi en 2024 ! En attendant l’ouverture du Marché de Noël, toute la ville se prépare, comme chaque année à la même époque… Les vitrines de nombreux magasins sont déjà majoritairement bien décorées et les guirlandes, en cours d’installation, seront illuminées à partir du 26 novembre exactement, de même que le grand sapin, déployé depuis quelques jours et actuellement en voie de décoration –31 mètres cette année-.
Vous pouvez retrouver l’histoire très simplifiée du multicentanaire Marché de Noël de Strasbourg –naissance en 1570-, puis de « Strasbourg Capitale de Noël », ici.

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Les futurs banquiers ne sont pas rassurants !

Petite notule –faussement– angoissée quant au futur de nos avoirs bancaire ! Je ne vous parlerai cependant pas du projet de transposition d’une norme européenne sur les possibilités de découvert, qui a déjà fait couler beaucoup d’encre ces derniers jours, mais plutôt des compétences de nos futurs banquiers en matière de maîtrise –ou pas-… de l’IA plutôt que des mathématiques appliquées !
Ordoncque, lors de mes pérégrinations quotidiennes, je passe très régulièrement devant le pôle européen de gestion et d’économie –PEGE-, qui abrite notamment la faculté de sciences économiques de l’université de Strasbourg, ainsi que l’école de management et de commerce.

Hier, quel ne fut pas mon étonnement en saisissant une conversation au vol :
–  J’ai lancé Chat GPT pour faire valider mon projet de financement, c’est super cool ! dit l’un.
–  Et tu as vérifié que le résultat est valide ou cohérent ? » a demandé le second.
Et le premier de lui répondre qu’il ne savait pas comment faire car il était nul en math et ne connaissait pas la formule de calcul à appliquer, sinon il n’aurait pas eu besoin d’interroger l’IA !

Logique, non ? Mais pas rassurant quand on sait que les étudiants du PEGE sont les futurs « maîtres du monde »  de la finance !

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Comme un arrosoir…

En octobre, tel un arrosoir, mes bras ont été percés de toutes parts et selon diverses modalités –intramusculaire, intraveineuse, sous-cutanée– entre prises de sang et poursuite de mes injections traditionnelles, vaccin contre Frankenstein, vaccin contre la grippe, et enfin, pour faire bonne mesure, vaccin anti-tétanos/coqueluche/poliomyélite/diphtérie pour remise à jour… Même pas mal : normal, j’ai une infirmière de luxe rien que pour moi !

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