Playlist, mises à jour et lectures…

Playlist02052015Petite playlist éclectique et assez dynamique, ce matin –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, pour entamer le week-end gentiment, tout en effectuant la mise à jour de mon nuage musical, qui ne l’était plus depuis quelques semaines : cela a donc pris quelques longues minutes, mais ça va désormais beaucoup plus vite qu’avant –je lançais ça le soir et ça prenait une partie de la nuit si j’attendais trop longtemps entre deux sessions d’export…-.

J’en ai profité, notamment, pour lire quelques articles éloignés de l’actualité quotidienne –Royal baby girl, qui n’a pas encore de prénom connu à cet instant, est née, ça fait la Une partout dans notre presse républicaine 😛 😛 😛-, mais néanmoins intéressants, dont celui-ci, vraiment bien –et tous les autres articles de ce blog sont au moins intéressants, avis aux amateurs !-.

Rose carréEn parlant de nuage, cette année, en mai, il faut se recouvrir d’un fil par rapport à avril : la météo, ici, est assez nulle ! Pas l’heure, encore, de ressortir l’appareil photos, mais cela ne saurait trop tarder désormais, d’autant que les roses du jardin rosissent à vue d’oeil… Et même si Pâques est passé, je profite de ce temps pour écouter cela –extrait ci-dessous-,, qui bénéficie d’une prise de son absolument magnifique !

Une surprise et une bonne surprise !

NouveauLogoSurprises_DROITELa surprise, elle est pour vous, puisqu’un nouveau mois –plein de ponts, vous aurez ainsi tout le loisir d’en profiter…– débute… Elle se trouve ici. Enjoy !

La bonne surprise, elle est pour moi –il n’y a pas de raison, hein 🙂 !-. Il y a deux disques de groupes français que je cherche en vain depuis longtemps : « On the right track now » des Vietnam Veterans –si si, ça existe…– et, donc, l’objet de la présente notule –cliquer sur l’image ci-dessous pour la voir en grand-. Hier, donc, j’ai trouvé une rareté devenue inaccessible à un prix non prohibitif depuis des années : les prix variaient entre 280 et 360 euros sur la célèbre boutique en ligne qui livre par drones… Bref, je me désespérais d’en trouver un exemplaire, jusqu’à ce qu’une recherche fortuite me conduise vers une nouvelle réédition, en « dématérialisé » seulement, mais à un tarif beaucoup plus raisonnable.

AlloLeMondeCe qui n’est pas très grave, l’important, pour moi, c’était de retrouver le contenu, le contenant, je peux le faire tout seul s’il le faut !

Si vous ne connaissez pas, c’est à découvrir de toute urgence :  c’est frais, c’est joyeux, ça vous met de bonne humeur pour le reste du mois au moins et c’est même, maintenant, accessible à une écoute en ligne… Précipitez-vous, en privilégiant les titres 1, 3, 6 et 7 si vous n’avez que peu de temps ! Moi je vous le dis :  ce sont les B52’s français, musique entraînante et bien jouée, paroles décalées ou déjantées, voix mutine et pétillante… La pochette de la présente notule est celle de l’album original –1982-, celle de la radio en ligne présente le nouveau visuel –moche– de la nouvelle réédition.

Ce disque ne reçut, à l’époque, que de très bonnes critiques, mais le plus bel hommage est plus tardif, et vient de Didier Wampas, qui, en 2012, en disait :
«Ici Paris, c’est l’un des meilleurs groupes français qu’il y ait eu et qui aurait dû marcher. Le 33 tours “Allô le monde… Ici Paris” (1982), c’est l’un des meilleurs disques de rock français de tous les temps. C’est vraiment tout ce qu’il y a de bien dans le rock’n’roll. Et en France, on préfère toujours les trucs noirs, un peu dark. Noir Désir, Bérurier Noir, Mano Negra… Faut toujours qu’il y ait “noir” quelque part. Et Ici Paris, c’est pas noir du tout. C’est le rock’n’roll, le vrai rock’n’roll.»

Playlist « Raretés »

Mon plaisir de ce matin –Cliquer sur l’image pour la voir en grand-. Quelques raretés, mais qu’on peut trouver encore avec patience et abnégation… Tout cela en confectionnant la surprise du mois de mai, qui arrivera en mai : étonnant, non !

PlaylistRaretés

Louie Louie est mort…

LouieLouiePochetteTrès belle chronique, dans le Libération de ce jour, sur la disparition de Jack Ely, interprète du mythique « Louie Louie » –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, chanson dont on apprend en outre qu’elle avait affolé le FBI –anecdote que vous découvrirez dans cet article, excellent-.

Le site du quotidien en propose par ailleurs quelques versions –dont une, assez décevante, d’Iggy Pop– :  la chanson, par sa simplicité ravageuse, a été reprise par un nombre incalculable de groupes, généralement au début de leurs carrières respectives –elle est très très très  simple à jouer, et comporte un riff efficace-.

Pour ma part, je vous en propose deux autres : • la première est celle des Flamin’Groovies, presque trop consistante -très longue introduction- eu égard au matériau de base;  • la seconde est celle de Johnny Thunders, à un stade de sa carrière où il tenait à peine debout, mais bourrée d’énergie malgré tout !

Images d’archive : palpitant !

Ils étaient jeunes, ils étaient beaux, ils sentaient bon le sable chaud l’amateurisme et l’énergie des débutants ! Hier soir, en cherchant tout autre chose, j’ai été scotché par ce court concert…

 

On est très loin, encore, des futurs shows à venir –et notamment de la gigantesque tournée de 2008– : ici, c’est parfois timide, la voix n’est pas encore bien en place, l’énergie et la gestuelle sont presque punk par instant –mouvance dont le groupe est issu, avant d’assimiler les rythmes reggae-, mais on sent bien le potentiel du groupe, qui a la chance d’avoir deux musiciens d’exception –un guitariste discret mais exceptionnel, Andy Summers, et un batteur flamboyant et nerveux, Stewart Copeland– et un compositeur de grand talent –Sting-.

A titre de comparaison, voici un extrait de leur dernière tournée, suite à leur éphémère reformation, qui s’était soldée par de nombreuses tensions internes hors scène, mais aussi sur scène…

Playlist autour de la note bleue !

Beaucoup de blues, aujourd’hui, dont, notamment, les quatre albums ci-dessous, tous excellents ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
PlaylistBlues
Ce matin, nous avons poursuivi notre étude comparative in situ des prix ici et Outre-Rhin, comme lors de chaque période de congé –et réalisé, à nouveau de substantielles économies sur des articles de la vie courante : sur les produits cosmétiques, les différences sont simplement effarantes…-.

Matinée musicale et théâtre

Ce matin, voilà de quoi contenter mes oreilles, sous une petite pluie et un ciel plutôt gris… –Cliquer sur l’image pour la voir en grand-.

Playlist27042015

Hier soir, à la TV, ils passaient « Troie », une vision jeune et moderne de la guerre deTroie, très éloignée de l’Iliade à dire vrai –mais, sur cet événement supposé, on ne saura jamais où se situe la vérité, alors, pourquoi pas ?-… Du coup, tant qu’à en avoir une vision contemporaine, j’ai relu « La guerre de Troie n’aura pas lieu », de Giraudoux, une de mes pièces de théâtre de chevet, avec le « Caligula » de Camus. J’en ai même retrouvé une version audio avec Louis Jouvet –Hector, le très humaniste prince troyen-, l’un des créateurs de la pièce. Pacifiste convaincu, Giraudoux essaie de décrypter les événements déclencheurs d’une potentielle nouvelle guerre mondiale, à travers les machinations politiques des uns et des autres. Evidemment, la déclamation telle qu’on l’entend est passée de mode, mais c’est un autre petit morceau d’histoire malgré tout –et le texte est très beau– !

Mutique derrière ses fûts…

Cet homme est une énigme : une modestie qui touche à l’humilité, un mutisme savamment entretenu et l’impression d’être totalement égaré dans le monde dans lequel il évolue, et dont il dit depuis plus de 50 ans qu’il ne l’aime pas. Charlie WATTS, batteur du « greatest rock’n’roll band in the world« , se refuse à être le plus démonstratif technicien technicien de son instrument, mais c’est assurément le plus atypique, et le seul qui swingue avec cette légèreté de touche –avec, peut-être, Stewart Copeland, dans un tout autre registre-dans un monde de cogneurs !

WattsParkerVenu du monde des arts graphiques, amateur de jazz –il a d’ailleurs écrit et joliment illustré, à la façon d’un livre pour enfant, un ouvrage à la mémoire de Charlie Parker : « Ode to a flying bird »-, Charlie WATTS a commencé sa carrière de batteur dans le groupe d’Alexis Korner « Blues Incorporated« , au tournant des années 60 : il y fut remplacé, à son départ, par Ginger Baker –ce qui indique que la barre était élevée-. Les Stones insistèrent longtemps pour s’attacher ses services, et ce ne fut que lorsque leur carrière commença à prendre forme qu’il accepta de rejoindre le groupe. Plus de cinquante ans après, il n’a toujours pas réalisé le moindre solo au sein du groupe, se refusant à donner l’impression d’être un vulgaire bateleur de foire !

Sa carrière solo est tournée vers le jazz –il a constitué de nombreuses formations autour de lui pendant son temps libre et produit quelques bons albums-, le boogie ou des projets plus personnels et étranges -« The Carlie Watts and Jim Keltner Project »

Viles préoccupations…

… purement matérialistes, mais néanmoins frappées du sceau de l’urgence ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand.-
CartonRetour
Il ne me reste plus qu’à trouver un carton adapté et à emballer comme il faut… Ils ont de ces exigences, en plus ! Entre les deux engins, les télécommandes et les kilomètres de câble que je vais leur renvoyer, ce n’est pas simple !

Petit canard…

Palmes_AcademiquesHier, on m’a remis ça ! C’est joli –et ça fait aussi de jolis petits trous dans la veste où on l’épingle ...-. Un masque et un tuba en plus, et je serai un vrai petit canard !

J’ai eu droit à un gentil discours plein d’éloges par le grand chef herself –heureusement, j’avais mis de grandes chaussures  🙂 -. J’avais fait le pari de glisser, dans mon discours de remerciements, les noms de Michel Rocard et Edmond Maire, notamment, ce que j’ai réussi à faire 🙂 –au grand dam des conventions et de ceux qui pensaient que je n’en serais pas capable : me voilà riche…-.
Mini-Nain, qui était présent, m’a dit : « Les gens ont beaucoup aimé ce que tu as dit, mais c’était long, tu avais dit que ce serait un petit discours« . Il faut bien que jeunesse se passe ! Puis, la soirée s’est gentiment prolongée ensuite, mais pas très longtemps pour moi, pour cause de crève monumentale : privé de fromage, de dessert et de café ! Mais j’ai emmené un peu de pain pour nourrir le canard !

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