Playlist « Loser flamboyant »

Johnny Thunders fut un loser flamboyant, dont je vous ai déjà parlé plusieurs fois sur ce blog… Capable du tout meilleur dans ses bons jours, et auteur, notamment d’un merveilleux album solo, « So Alone », qui est pour moi l’un des plus grands albums enregistrés dans les années 70, mais aussi coupable du pire : de nombreux albums live du début des années 80 sont d’une absolue médiocrité, tant l’artiste se révélait incapable de tenir son rôle, et son rang, du fait de ses addictions.

Les circonstances de sa mort restent mystérieuses, et, par paresse, la police conclut à une mort par overdose plutôt qu’à un éventuel meurtre, hypothèse pourtant la plus probable. Quoi qu’il en soit, l’autopsie montra que l’organisme de Johnny Thunders était très abimé et qu’il était vraisemblablement atteint d’une leucémie, et donc condamné à relativement court terme.

J’ai pu trouver, dernièrement, trois albums très convaincants du musicien : un live des New York Dolls enregistré assez convenablement à Paris et deux albums de studio où il sort de son rôle de loser pathétique pour proposer des chansons originales ou des reprises de très bonne qualité : il y apparaît en bonne voix, joue de très chouettes lignes de guitare, et, surtout, s’avère très bien accompagné ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

On est évidemment loin, dans ces deux albums, des attitudes punk de l’époque « Heartbreakers », mais tout cela s’écoute très agréablement ! Chouette playlist !

Le pire moment de l’année…

… est derrière moi depuis quelques heures ! Je suis en avance de deux jours cette année, et je ne peux même plus utiliser de Tippex comme antan !

Sinon, j’ai trouvé quelques CD un pu rares dont je vous parlerai plus tard : il faut que les écoute avant, mais ma future playlist est d’ores et déjà constituée !

Starlette

J’ai eu un certain nombre de chats, mais aucune qui posait si volontiers devant l’objectif ! Moneypenny est une vraie starlette et se laisse volontiers photographier sans trop bouger ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

A vrai dire, elle se montre assez intéressée par l’objectif, et c’est donc en sa compagnie que j’ai pu tester, hier, le nouvel objectif, complété d’un filtre UV neutre –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– à focale fixe –35mm/f1,8, équivalent 52 mm sur un APS-C-, très lumineux et d’un prix relativement abordable –le rapport qualité-prix, quant à lui, est excellent-, qui complète ma panoplie et bien m’offrir de nouvelles possibilités -cf. ici-.

J’en ai également profité pour acheter une carte SD de grande capacité, chaque photo « pesant » un peu plus de 30 Mo en RAW… Comme l’appareil a deux logements pour cartes SD, la capacité totale embarquée dans l’appareil s’élève désormais à 48 Go, ce qui me permet de « voir venir » en vacance ç.

A moi les jolis flous d’arr!ère-plan !

Loi des séries • Aléatoire

Hier soir, en longeant les quais des bassins de navigation aménagés qui marquent la frontière sud du centre-ville, TheCookingCat m’a fait remarquer cette surprenante série de voitures ne se rendant pas à un enterrement qui stationnaient. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Trouvez l’intrus dans cette collection !

Playlist avec des femmes qui chantent bien

Pour bien entamer le week-end et avant d’aller faire mon marché, une playlist avec des femmes qui chantent bien résonne dans la maison, et c’est très chouette ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Trois voix au demeurant fort différentes, et des ambiances sonores qui donnent à entendre des ambiances très diverses, des ballades musclées des Cranberriesla voix ductile et étrange de Dolores O’Riordan passe très bien l’épreuve du live– en concert à la soul d’Amy Winehouse, en passant par ce gigantesque succès que fur le « Skyfall » d’Adele.

Les deux premières sont mortes, jeunes encore, et dans des circonstances relativement similaires… Elles possédaient le même tempérament explosif, semble-t-il, moins exacerbé chez l’Irlandaise toutefois.

Playlist Royal Baby and Big Four European Football Cups

L’Angleterre était à l’honneur cette semaine, et l’on en a beaucoup parlé dans les medias, et pour autre chose que l’imbroglio autour du Brexit pour une fois –ça reviendra bientôt, et ça divise toujours autant, voire de plus en plus, les Britanniques-. !

Donc, un bébé royal est né, qui est huitième dans l’ordre de succession au trône et porte un prénom pas très royal ! Outre-Manche, ils font toujours tout un plat de ce genre d’événement, ce qui ne les a pas empêchés de raccourcir deux rois, quand, en France, nous nous sommes contentés d’un seul.

L’autre événement est sportif et, semble-t-il, unique dans les annales de ce sport : les deux finales de coupes européennes de clubs opposeront des clubs anglais exclusivement -mais très peu d’anglais en réalité : sur les 44 joueurs des quatre « équipes-types », seuls 8 sont anglais !-.

Tout cela valait une mise à l’honneur de ce pays dans la playlist de ce jour, ce qui tombe bien, puisque l’aime beaucoup la musique anglaise ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Cela nous vaut notamment un magnifique disque consacré à Edward Elgar, superbement enregistré et interprété : une des plus belles versions des « Variations Enigma » à mes oreilles, notamment. Autre enregistrement de démonstration : « The Planets » de Gustav Holst dans l’excellente version de Charles Dutoit. Je ne dirai pas grand-chose du disque de Henry Purcell, je connais mal ce compositeur, mais sa musique est très touchante. 

Enfin, Billy Bragg fait du folk punk –association a priori hasardeuse, mais qui fonctionne tout-à-fait bien-. Musique assez basique, paroles engagées, interprétations brutes de décoffrage. A petite dose, j’aime beaucoup.

Vivement l’été : j’irai constater de visu que le tunnel sous La Manche n’est pas encore fermé !

Playlist pour en faire baver l’un ou l’autre…

Alors voilà : j’ai trouvé et commandé ça, puisque la moitié de l’affiche –vous aurez deviné laquelle, de mon point due vue– au moins s’annonçait des plus alléchante ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Hop, c’est arrivé hier, mais comme je n’avais pas de temps à y consacrer, j’ai ouvert l’album ce matin seulement. En 1984, la voix de Bob Dylan est à la fois claire et éraillée, il joue de la guitare rythmique avec un son aigrelet qui manque cruellement de densité –le son n’aide pas, l’enregistrement « sous le manteau » n’est pas formidable, loin de là– et il est soutenu par un très petit nombre de musiciens : Ian McLagan au piano et à l’orgue –genre Bontempi-, un bon et discret bassiste, et soutenu par la moitié du Mick Taylor Group : Colin Allen à la batterie et Mick Taylor himself à la guitare –miniNain, qui a vu la pochette lors de l’arrivée de l’album, était très surpris : « Mais il était super mince quand il était jeune ! » : il faut dire que le guitariste s’est un peu empesé depuis…-.

Musicalement, le son n’aidant pas énormément, on a l’impression d’un public lointain et un peu atone, et d’un manque de densité harmonique : la basse est en retrait, la guitare rythmique de Dylan n’est pas fameuse et Mick Taylor ayant toujours rechigné à jouer de la rythmique, il place de merveilleux soli ou des contrechants mélodiques discrets, notamment sur les morceaux les plus blues.

Au final, c’est assez chouette, malgré un public un peu endormi donc, –c’est Mick taylor qui est obligé de les réveiller en les exhortant à coup de « Comme On » pour qu’ils applaudissent le chanteur !– et malgré, aussi, des conditions sonores assez précaires qui engendrent une certaine frustration…

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