Il y a trente ans…

… presque jour pour jour, le premier Mac voyait le jour. C'était le 24 janvier 1984. La publicité d'Apple, pour l'occasion, est restée très célèbre, puisqu'elle reprenait l'esprit du roman "1984", justement.

A l'époque, le Mac était le "libérateur dissident", luttant contre Big Brother.

 



 

En trente ans, l'image de rebelle a sans doute quelque peu changé. Mais le Mac reste pourtant minoritaire, et bénéficie d'une communauté de fidèles qui a contribué, au courant des années 90, à sauver la marque, la qualité du matériel, une souplesse de fonctionnement indéniable et une bonne fiabilité générale, n'en déplaise aux râleurs de service, faisant le reste.

On pourra également retrouver ici des photos des tout premiers employés de la firme à la pomme, avant même l'apparition du premier Mac (qui succédait aux Apple One, puis Apple II).

Quant à moi, je n'ai jamais regretté de m'être orienté vers ce choix, il y a très longtemps déjà !

 

Bain de jouvence…

B52SPour ceux qui ont connu les « boums » de la fin des années 70 et du début des années 80, un bien joli souvenir qui faisait danser même les platines les plus récalcitrantes !

Frais, ingénu, joyeux, un brin loufoque –Rock Lobster, carrément déjantée, avec une fin dantesque-, une ambiance de campus un jour d’été !

Pour les plus jeunes, une perle à découvrir : un bain de jouvence et de bonne humeur ! En ces temps de morosité affichée, voire revendiquée par certains, à mettre d’urgence dans toutes les oreilles…

Original et -pâle- copie…

D’une oeuvre que j’aime beaucoup, je vous présente d’abord la version « originale », telle que voulue et interprétée par le compositeur. L’enregistrement date un peu -1926-, le style aussi -les cordes-, mais c’est vraiment très bien…

Et puis, voici maintenant, une copie, image de tout ce qu’il ne faudrait sans doute pas faire, sous peine de dénaturer la pensée du compositeur. Il y en a, néanmoins, qui aiment bien.

Le chef -l’un des plus célèbres du 20ème siècle- qui fut invité en Angleterre à cette occasion, ne fut plus jamais invité par cet orchestre, ni dans ce répertoire, ni dans un autre… Il faut dire, qu’il eut un comportement pour le moins très, trop… à l’occasion de cet enregistrement. Une vidéo de la répétition existe, et montre l’ambiance glaciale qui y régna.

Pour entrer dignement…

… dans 2014 et, en guise de bonne résolution, je me suis mis à ça :

eCig

Ça marche, puisqu'à force de "vapoter", je ne fume quasiment plus ! En même temps, j'ai commencé il y a quelques jours seulement… On verra à l'usage ce qu'il en sera exactement. L'avantage, c'est que j'arrive à obtenir assez convenablement un assez bon mélange : le petit chimiste de l'e-cigarette, c'est moi  😆 !

Grande première !

ManSuetoHier, j’ai écouté un disque de jazz-rock en entier ! Au sein de ma discothèque, raisonnablement fournie, le genre doit se résumer à moins d’une dizaine de CD, dont l’écoute intégrale d’une seule traite va au-delà de mes capacités.

C’était souvent bien au début -et, en général, c’est toujours très bien pour tester la qualité d’une chaîne Hi-Fi-, mais décidément, c’est un monde où j’ai bien du mal à entrer. On entend généralement de très bons musiciens, des choses parfois intéressantes dans l’instant, mais également beaucoup de ce que j’appellerai du verbiage gratuit -appui sur une virtuosité ostentatoire qui n’est pas forcément au service de la musique-, sans repère de progression vraiment définissable à mes oreilles. Et encore, c’était un disque facile d’accès dans ce genre…

L’expérience ne sera donc pas renouvelée à cette échelle de si tôt !

… et ses grands lacs…

Une évocation de la Finlande, de ses innombrables lacs et de ses étendues sauvages. Qui mieux que Sibelius pouvait mettre cela en musique ? C’est à la fois épique et sombre, grand sans être grandiloquent…

Sibelius. Symphonie n°2 (1902), Finale.. Philharmonia Orchestra, H. Von Karajan. 29.03.1960

Longtemps mal-aimé en France, Sibelius bénéficie depuis une trentaine d’années d’une redécouverte, grâce au disque essentiellement, car il reste peu joué en concert dans notre pays.

Playlist d’après Noël

Kara_WeissenbergJe profite de mon joli cadeau…

En vrac et de mémoire, j’ai écouté : • avec le Philharmonia -enregistrement des années 50-  : la symphonie inachevée de Schubert, le concerto pour orchestre de Bartok, la première symphonie de Brahms, la quatrième symphonie de Tchaïkovsky; la Mer de Debussy; la rhapsodie espagnole de Ravel; la Water Music de Handel; • avec le philharmonique de Vienne -enregistrements des années 40- : la Pathéthique de Tchaïkovsky; des pièces de Mozart -que je n’aime toujours pas plus que ça…-; les Métamorphoses de Richard Strauss • avec l’orchestre de Paris -enregistrement du début des années 70, l’orchestre avait été récemment créé et Karajan en fut le « conseiller artistique » à la demande expresse de de Gaulle- : la symphonie de Franck; le concerto pour piano de Tchaïkovsky (pianiste : Alexis Weisssenberg), qui fut mon tout premier disque que l’on m’avait offert pour mes six ans… Bref, une jolie playlist d’après Noël !

Retour en haut