Playlist « 180 grammes et doigts sales »

180 grammes, ça semble désormais être la norme des disques vinyles bien pressés de nos jours. La surface est en effet silencieuse, et les pressages des deux albums écoutés ce jour sont de belle qualité.
Croyez-le ou non, c’est la première fois que j’ai dans ma discothèque un LP de Chuck Berry –leur maître à tous-, alors qu’il s’agit de l’un des plus anciens artistes que j’écoute ! Je l’ai eu en cassettes ou en CD, mais jamais en LP. Cet album, consacré à ses meilleurs titres enregistrés chez Chess Records, est tout-à-fait excellent. Quant à l’album de Queen, il inclut ce qui pour moi est une des plus belles chansons, si ce n’est la plus belle, des années 90.-Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

J’ai, par ailleurs, été sidéré par la façon dont trésor-De-Janvier « traite » les disques vinyles qu’elle a –elle en a récupéré une petite collection de sa tante– : il semble que les adolescents redécouvrent ce support mais ne savent pas s’en servir ! Nonobstant qu’elle écoute cela, chez elle, sur un genre d’éléctrophone à peine amélioré, elle ne les nettoie jamais et, pire, n’hésite pas à poser ses doigts sur la surface, à pleine main.
Lorsque je lui ai montré comment manipuler avec soin et prudence un LP,  cela ne l’a guère intéressée : 1. Elle n’a pas les doigts sales –alors que je lui ai montré la fine pellicule de graisse déposée par les doigts, même propres– ; 2. Tant que le disque n’est pas rayé, ça ne s’entend pas !

Playlist « In Memoriam : Jeff Beck »

Jeff Beck : grand guitariste issue de la vague du British Blues au début des années 60 en Angleterre et disparu mardi soir.
Plus intéressant et créatif qu’Eric Clapton auquel il succéda au sein des Yardbirds ;
aussi novateur mais moins ennuyeux/ostentatoire que Jimmy Page, qu’il précéda au sein du même groupe ;
quasi-inventeur du hard-rock avec le Jeff Beck Group à la fin des années 60 ;
pionnier du jazz-rock avec ses notamment ses deux albums « Blow By Blow » et « Wired » dans le courant des années 70…

Une belle carte de visite pour ce merveilleux guitariste à la Stratocaster blanche, toujours resté un peu dans l’ombre, du fait notamment de son caractère ombrageux ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist pour nuit blanche…

La playlist de cette nuit m’a permis de la traverser assez agréablement, malgré une insomnie qui m’a frappé dès 2:00 du matin –généralement, mes insomnies débutent à plutôt vers 4:00…-. J’ai donc été en bonne compagnie, jusqu’à l’heure du lever, vers 7:00 ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Je vous avais déjà parlé ici ou d’Erik Satie pour vous dire le plus grand cas que je faisais de ce musicien étrange et passablement loufoque, à l’invariable costume vert-olive, mort dans le plus grand dénuement et pourtant ne s’étant jamais plaint et ayant toute sa vie assumé –et revendiqué– son image dandy excentrique.

Musique facile d’accès, aux titres ésotériques parfois et régulièrement comiques, mais le plus souvent paisible et très agréable pour une écoute nocturne. La playlist de cette nuit me permet, en outre, d’en écouter les meilleures interprétations à mes oreilles, par un pianiste que j’apprécie beaucoup –les enregistrements ont été réalisés sur une période de presque 20 ans ; le dernier disque écouté fut d’ailleurs l’un de mes tout premiers CD achetés, aussi tôt qu’en janvier 1985-.

Devinette statistique

En ce début d’année où chacun, depuis hier, se met à recompter le nombre de trimestres qu’il lui faudra pour partir en retraite -assez bon simulateur en ligne gratuit que vous pouvez trouver ici, et qui prend en compte les nouvelles modalités de calcul, y compris pour les cas particuliers et les régimes spéciaux-, je vous propose la devinette suivante –ça faisait bien longtemps qu’il n’y avait plus eu de devinette sur cet espace– :

A votre avis, à quoi correspond le graphique ci-dessous ?

Playlist « Conquête laborieuse »

Curieusement; j’ai toujours entretenu avec Franz SCHUBERT un rapport assez lointain, qui m’éloigne de la majorité des oeuvres inscrites à son abondant catalogue. Evidemment, la « Symphonie Inachevée », numérotée, 5, puis 7 puis finalement 8 a toujours fait partie des oeuvres populaires et faciles d’approche, et je l’ai donc découverte et appréciée très tôt, dès l’enfance. Mais, plus tardivement, j’ai été peu sensible à la majorité de sa production : outre cette symphonie, seuls les deux séries d’Impromptus pour piano, le cycle de lieder « die Winterreise » et le quintette pour deux violoncelles ont trouvé grâce à mes oreilles.

Aujourd’hui, donc, je retourne tranquillement vers quelques sonates pour piano : j’avais, en 33 tours, un énorme coffret comprenant l’intégralité de l’oeuvre pour piano du compositeur, par un illustre inconnu, Wilhlelm Schüchter: c’était à prix fracassé en Allemagne, mais ce n’était pas fameux, et l’enregistrement et le pressage, de surcroît, étaient assez moyens. De ce fait, je me suis tenu éloigné de ces oeuvres assez longtemps, et les quelques sonates pour piano de Schubert que j’ai en CD sont, le plus souvent, des pièces données en complément d’oeuvres que je préfère : c’est le cas pour les disques de Gilels, par exemple. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Ce matin donc, je me suis dirigé vers l’intégrale de Wilhelm Kempff, qui a, paraît-il, statut de référence. On va dire simplement que ça ne me réconcilie pas beaucoup avec ces oeuvres, dont j’ai bien du mal à percevoir la logique interne : ça chante souvent merveilleusement, comme toujours Schubert, mais la soumission à une forme donnée semble l’entraver quelque peu : n’est pas Beethoven -avec son sens de l’architecture imparable- qui veut ! Et l’interprétation me semble manquer quelque peu d’abattage… 

Bref, j’y reviendrai plus tard, pour me refaire une opinion !

Surprise d’actualité !

Pour entamer l’année, une surprise d’actualité est disponible ici. Témoignages remarquables, anciens ou plus récents, d’un événement de portée européenne, voire mondiale !

Cette année, sous la baguette d’un chef de sinistre réputation, surnommé au début de sa carrière « Frankly Worst-Than-Most » –jeu de mots par analogie avec son patronyme-, c’était pourtant bien mieux que l’an dernier, sans atteindre toutefois à l’exceptionnel –mais le répertoire, assez renouvelé et original, était très chouette-.

Enjoy !

Dernière playlist de l’année

Ce matin, après ma 152ème prise de sang de l’année depuis le 15 mars –véridique-, je m’attache à ma dernière playlist avant que 2022 ne s’achève, avec ces deux albums que l’on m’a livrés hier.
J’avais quelques craintes concernant l’achat de vinyles par internet ; elles sont complètement levées, au moins pour ce qui concerne la boutique en ligne que je fréquente le plus régulièrement : non seulement la livraison est gratuite –ailleurs, j’ai vu des tarifs variant entre 4€ et 6,50€ par disque-, mais elle est invariablement rapide –généralement le lendemain-. De plus, les disques sont remarquablement protégés lors du transport. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

• Let It Bleed est l’un des meilleurs albums des Rolling Stones et comporte notamment « Gimme Shelter », à mon sens la plus belle introduction de l’histoire du Rock, mais cela n’engage que moi. Après Beggars Banquet et avant Sticky Fingers et Exile On Main Street, il fait partie du « quarté gagnant » que j’ai déjà évoqué ici.

• Quant à Substance, de Joy Division, aux pochettes remarquablement sobres, c’est un double-album constitué de chutes de studio, d’extraits de concerts et de deux superbes chansons qui n’étaient parues qu’en EP : « Love Will Tear Us Apart » et « Atmosphere », à la ligne de basse simple et envoûtante.

Loi de Murphy…

Les emmerd’s, ça vole en escadrille, c’est bien connu. Ce mois de décembre, donc, j’ai été confronté à une somme de petits malheurs qui m’ont fait dépenser plus d’argent que prévu, surtout en cette période de fêtes ! Voyons un peu…

début décembre : iPad, vitre fendue sur les 3/4 du pourtour je ne sais pas comment d’ailleurs. Comme il commençait à dater quelque peu, je l’ai changé ;
mi-décembre : panne complète de télé –écran tout noir, plus moyen d’avoir le moindre affichage-, que j’ai changée également ;
juste avant Noël : panne du démarreur de la voiture –je pensais au départ que c’était a batterie, mais en fait, non…-. L’assurance me fournit systématiquement un dépanneur, qui a conduit la voiture au garage pour une réparation un peu coûteuse.

Il est temps que l’année s’achève !

Bidouillage interne : stress et angoisse !

En voulant mettre à jour la version php du moteur de ce site, j’ai provoqué une belle pagaille pendant quelques longues minutes… Stress et angoisse, tout était cassé, les affichages étaient abscons et une grosse erreur de wp-config  m’était signalée. Plusieurs essais en variant les thèmes provoquaient les mêmes aberrations et un comportement passablement erratique.
Il apparaît, au final, que WordPress semble rencontrer quelques difficultés avec la version 8.1 de php : un retour à une version antérieure de php permet, a priori, de tout remettre à la normale. Du coup, je lance une sauvegarde illico, la précédent étant un peu ancienne…

Bref, plus de peur que de mal !

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