Les surprise de l’Avent – 2023.3

Plus qu’une semaine avant de découvrir ce qui aura été déposé au pied du sapin –le nôtre n’est même pas encore installé à cette heure…-.
Hier au Marché de Noël, foule des grands jours, ça va encore occasionner des galeries de la Préfète, mais c’est la rançon d’un succès qui ne se dément pas, bien au-delà de nos frontières ! Les achats de Noël se poursuivent, au gré des souhaits des uns et des autres –quatre enfants et parfois leurs conjoints, ça fait plein de paquets de toutes tailles ! -.

En attendant, c’est une nouvelle surprise, l’avant-dernière de l’Avent, déjà, qui vous attend ici ! ENJOY !

Un dimanche d’hiver à l’opéra, encore !

Il ne neige plus, il beaucoup plu et pourtant, le marché de Noël –Christkindelmärik pour les locaux– est toujours bondé chaque jour, rançon d’un succès chaque année renouvelé ! C’était encore la cas hier, bien plus que le week-end précédent, et pourtant, en début de semaine, la préfète avait dit à la maire: « Ça suffit, il y a trop de monde, faisons une réunion pour renforcer les mesures de sécurité !!! ».
En réalité, cela ne paraît pas très probant selon ce que nous avons expérimenté hier ! Je pense donc devoir revérifier cette après-midi, profitant au passage d’un gobelet de vin blanc chaud !

En attendant, n’ayant pas le temps nécessaire pour écouter l’opéra en entier ce matin, je suis néanmoins installé dans mon confortable fauteuil d’opéra, et j’écoute selon différentes versions –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– la marche funèbre dédiée à Siegfried et ce qui en suivit : Gutrune éplorée et, surtout, l’immolation de Brünnhilde qui clôt le Crépuscule des dieux, de Wagner.

Toutes ces versions sont fort cohérentes chacune dans leur genre, avec des partis-pris assumés, même si ce ne sont pas forcément mes préférées et que j’ai un « modèle » en tête –Varnay / Krauss– auquel je les compare toujours, même inconsciemment.

Si vous voulez trouver un Ring de qualité pour une bouchée de pain dans un son très décent, la version de Günther Neuhold devrait reste accessible à des prix décents, mais je n’ai pas vérifié : elle était proposée à prix vraiment fracassé –moins de 20€ le coffret de 14 CD !– à une époque –selon les éditeurs, l’iconographie du boîtier peut varier-. Elle vaut largement son prix, et même mieux que cela !

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Les surprises de l’Avent – 2023.2

Noël approche, les indigestions de foie gras d’oie –le meilleur, évidemment mousse de foie de canard, inflation oblige, également ! En attendant, voici de quoi se faire plaisir : à déguster de suite ou à glisser sous le sapin ! Il y a même une image dedans !

C’est ici, et c’est bien ! ENJOY !

Un dimanche d’hiver à l’opéra

Il a neigé hier et neigeouillé cette nuit et j’en profite de cette matinée et de la chaleur douillette de l’appartement pour écouter « un peu fort » l’un de mes opéras préférés, dans une version sonore et ivre de ses sonorités : Wagner – Die Walküre, version Solti, 1965. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Premier enregistrement en studio de cet opéra -et donc pensée et conçue par le producteur de l’époque comme une aventure destinée à être écoutée dans un cadre domestique, ce qui explique certains choix techniques, cette version fut particulièrement soignée par les équipes techniques de Decca, et jouit, depuis la période de sa première parution, d’une réputation de « version de référence » que les années n’ont pas totalement ternie : pensez-donc : on y retrouve notamment Hans Hotter, le Wotan du siècle –capté ici bien tard, mais dont les Adieux restent émouvants-, mais aussi Nilsson, qui fut une grande Brünnhilde –pas ma tasse de thé personnellement, mais grande voix qui convient très bien dans ce contexte– et un philharmonique de Vienne redevenu l’excellent orchestre qu’il avait été avant la guerre –il avait pâti, comme peu d’autres orchestres, de la seconde guerre mondiale, et les enregistrements de la fin des années 40 et jusqu’u milieu des années 50 sont parfois cruels quant à son niveau…-.

En réalité, tout cela est très plaisant, et vaut mieux que la réputation acquise auprès de certains cercles wagnériens de « version surcôtée juste parce que c’est la première parue ». Dans les faits, on y trouve de fort belles choses, et, surtout, le remastering de très grande qualité paru en 2012, rendant cette luxueuse version enfin accessible à un tarif décent -cliquer sur l’image ci-dessous pour la voir en plus grand- permet de rééquilibrer un peu des cuivres tonitruants dans les premières éditions, et vient considérablement atténuer le souffle de bande de la première édition en CD, disponible pendant très longtemps à prix très fort ! Manque évidemment l’urgence des meilleures versions live enregistrées à Bayreuth… Mais quel confort sonore cependant !

Bref, que du bonheur !

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Je fais un geste pour la planète…

… la boîte-container, d’assez grande contenance à dire vrai, est pleine, elle sera prochainement rapportée en pharmacie, pour subir un traitement dont j’ignore tout ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Quand je pense que toute cette quantité de produit circule dans mon organisme !!!

Playlist « Troisièmes en série »

Profitant d’une matinée de télétravail, j’ai opté pour l’écoute, dans l’ordre de leur composition, d’une série de troisièmes symphonies, ce qui n’a pas été si aisé que cela, sachant que je n’aime pas beaucoup la troisième symphonie de Brahms, ni, curieusement, celle de Sibelius –qui est celle du compositeur finlandais qui me résiste le plus avec la 1ère– ni celle de Tchaïkovsky et que je ne connais pas assez bien celles de S(c)hostakovich et de Prokofiev pour ne pas être perturbé dans mon travail –je serais obligé de lever l’oreille trop souvent…– !

Restaient, donc –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– celles de Beethoven (1803-1804), Mendelssohn (1829/1842), Bruckner (1873/1876-1877/1888-1889) et Mahler (1895-1896), cette dernière en Blu-Ray Audio de très belle qualité sonore. Pour ne pas gâcher le plaisir, chaque symphonie bénéficie d’une excellente version dans cette playlist.

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Folk-Grunge Canerican !

Neil Young se définit lui-même comme un Canerican, un Américain du Canada : il a lui-même formalisé ce concept dans une chanson figurant sur l’un de ces derniers –à ce jour– et excellent album « Barn »,  dont je pensais vous avoir parlé il y a quelques temps, mais en fait, non ! Mais je vous en avais présenté un extrait, formidable à mon avis, ici.
Sa discographie est pléthorique –45 albums– et inégale, les pépites –le plus souvent avec son groupe Crazy Horse– côtoient des albums que l’on a du mal à écouter en entier et qui ne laissent aucun souvenir une fois entendu.
Les quatre albums du jour, enregistrés sur une période de près de 50 ans –dans l’ordre de présentation : 1972 ;  1979 ; 1996 ; 2021-, sont, chacun à sa manière, excellents et inoubliables. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
En bonus, l’une de ses meilleures chansons à mes oreilles, qui ne figure pas sur l’un des quatre albums du jour, mais que je trouve exceptionnelle !
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