Copie et original, dans cet ordre
 Aujourd’hui, on va parler de foot –un peu– et de poésie –un peu aussi, parce que le sujet s’y prête assez peu en définitive
Aujourd’hui, on va parler de foot –un peu– et de poésie –un peu aussi, parce que le sujet s’y prête assez peu en définitive   -. Hier soir, donc, « Barça : más que un club » a remporté un joli trophée, assez logiquement si l’on considère le match et l’ensemble de la saison, qu’il a éclaboussé de sa classe et d’un état d’esprit qu’on aimerait voir plus souvent : solidarité, joie de jouer, bel esprit collectif…
 -. Hier soir, donc, « Barça : más que un club » a remporté un joli trophée, assez logiquement si l’on considère le match et l’ensemble de la saison, qu’il a éclaboussé de sa classe et d’un état d’esprit qu’on aimerait voir plus souvent : solidarité, joie de jouer, bel esprit collectif…
A cette occasion, on peut entendre l’hymne de l’UEFA –la branche européenne de la Fifa qui est l’objet de tant de remous et d’enquêtes actuellement-, et dont les paroles, qui s’affichent dans la petite vidéo, sont assez : ¤ risibles, ¤ nulles, ¤ ridicules, ¤ de haut niveau poétique –je vous laisse le soin de cocher ce qui vous conviendra le mieux, selon votre humeur et votre sensibilité-.
Cette musique, cependant, n’a pas été écrite pour la circonstance : on ne peut pas demander à des footeux d’être en plus des musiciens, ils ont déjà assez de mal avec la poésie   ! En fait, il s’agit d’une adaptation de l’un des hymnes pour le couronnement du roi –ou de la reine, ça peut arriver chez eux– d’Angleterre et du Royaume-Uni, écrit par George-Frideric Handel –oui, celui du Messie et de son Alleluia si célèbre, ou de la non moins célèbre Water Music-, que Beethoven considérait comme le plus grand musicien ayant jamais vécu –avant lui, s’entend-.
 ! En fait, il s’agit d’une adaptation de l’un des hymnes pour le couronnement du roi –ou de la reine, ça peut arriver chez eux– d’Angleterre et du Royaume-Uni, écrit par George-Frideric Handel –oui, celui du Messie et de son Alleluia si célèbre, ou de la non moins célèbre Water Music-, que Beethoven considérait comme le plus grand musicien ayant jamais vécu –avant lui, s’entend-.
Les paroles de cet hymne, tirées du Livre des Roi dans la bible, sont les suivantes :
Zadok the Priest and Nathan the Prophet anointed Solomon King.
And all the people rejoic’d, and said:
God save the King, long live the King, may the King live for ever!
Amen Hallelujah!
Mis en musique, cela donne ça :











