Devinette en noir et blanc !

Pour finir novembre en beauté, une petite devinette en noir et blanc –ici, il fait nuit tôt et un peu de neige est tombée aujourd’hui…– semble bien adaptée à ce jour historique, puisque l’un des deux jeux vidéos proposés sur l’image ci-dessous –cliquer dessus pour la voir en plus grand– fête ses quarante ans !

Les questions de cette devinette seront simples pour les lecteurs de ma génération, qui ont un peu grandi avec ces ancêtres ludiques, qui coûtaient un bras !
Quel est le nom de chacun des deux jeux que vous pouvez voir sur l’image ?
Des deux, lequel fête ses 40 ans ce jour ?
Question subsidiaire : y avez-vous joué un jour ?

iPhone : vive la géolocalisation

Il m’est arrivé une mésaventure fâcheuse, mais heureusement résolue, aujourd’hui.
M’étant rendu tranquillement sur mon lieu de réunion ce matin, j’ai garé ma voiture sur le parking –clos, cela a son importance…– et, après une matinée bien remplie, j’ai remballé mes affaires et mon téléphone, que j’ai glissé dans une petite poche sur le côté de mon sac à dos, pour rejoindre ma voiture et rentrer à la maison.

Là, stupeur et effroi : voulant téléphoner, je n’ai pas réussi à remettre la main sur mon téléphone… Youplatralala, je vais vérifier dans la voiture s’il n’y serait pas, à tout hasard, mais que nenni…
Je téléphone à l’accueil de mon lieu de réunion, en désespoir de cause, pour vérifier que je ne l’aurais pas oublié –sans trop d’illusion, j’étais sûr à 99,99% de l’avoir bien rangé dans mon sac à dos…-. On m’annonce qu’il n’est pas resté dans la salle et que personne n’a ramené de téléphone à l’accueil.

Du coup, en dernier recours, je lance sur mon zoliMac une géolocalisation : il semblerait qu’il soit en effet resté sur le parking d’où j’étais parti !

Et, pourtant, retourné là-bas, j’ai eu bien du mal à le retrouver dans un premier temps, tant il s’était bien bien caché en tombant de mon sac.
Cependant, il se trouvait exactement là où la géolocalisation me l’avait annoncé –j’ai revérifié une seconde fois sur l’ordinateur d’un collègue resté sur place-, quasiment au mètre près. Entier, propre, et même pas écrasé !

Abandon progressif d’Aperture

Aperture était le logiciel de traitement de photos que j’utilisais jusqu’à très récemment, mais il n’est plus mis à jour par Apple depuis maintenant plusieurs années et il commence, au fil des mises à jour système, à présenter quelques bugs récurrents… Du coup, je dois me résoudre à l’abandonner, sans doute définitivement ! A la place, l’éditeur à la pomme a développé un petit logiciel très utile pour cataloguer ses photos sur un téléphone, une tablette, voire un ordinateur : Photos.app

Sauf que ses fonctions de traitement d’image sont modestes et carrément basiques… Et pourtant, j’ai fini par l’adopter, après en avoir essayé beaucoup d’autres, dont aucun ne gérait avec autant d’aisance un catalogue d’images, parce que des éditeurs extérieurs ont développé des modules de traitement très performants, qui s’interfèrent simplement avec photos.app. –Cliquer sur les images pour les voir en plus grand-.

Du coup, je retrouve presque mes marques, et je peux développer mes fichiers .raw sans perdre trop de mes repères. Comme je vais rarement au-delà de ce traitement global de l’image, ça devrait me convenir pour les années à venir !

Ventilons un iMac…

En temps « normal », c’est à dire quand la température dans mon bureau est de l’ordre de 19 à 20°, lorsque je lance l’ordinateur, sa température interne est de l’ordre de 28-29°, puis s’élève progressivement pour se fixer autour de 40°, température rarement dépassée, sauf en cas de charge lourde sollicitant beaucoup le processeur.

Ces derniers jours, il fait si chaud dans toute la maison que l’ordinateur, dès son lancement, dépasse déjà les 30° puis voit sa température augmenter rapidement, franchir allègrement le mur des 45° et s’accroître encore… –Cliquer sur l’imagette pour la voir en plus grand-.

Du coup, je travaillé un peu moins silencieusement que d’habitude, puisque j’ai préféré mettre les ventilateurs en fonctionnement plus rapide et que, donc, je les entends –un peu, et quoi qu’il en soit beaucoup moins que n’importe quel PC que je connais– tourner en permanence.

Easter eggs : la notule de Pâques

Les « Easter Eggs » sont des « petits programmes dans le programme », cachés et accessibles, généralement, par le biais d’une combinaison de touches, réalisés avec plus ou moins de facéties par les développeurs d’une application. Certains sont très simples, d’autres beaucoup plus élaborés, et leur recherche s’apparente à une véritable cueillette de Pâques, d’où, d’ailleurs, leur nom.

Le « widget » Météo du « Dashboard » de Mac OS X, par exemple, en comporte un relativement simple, qui vous permet de voir, très rapidement, l’ensemble des pictogrammes météorologiques à votre disposition. Il suffit de saisir la combinaison de touches [cmd] + [alt] en cliquant sur le symbole météo de votre widget pour faire apparaître le lieu « Nowhere », autrement dit « Nulle part », puis de poursuivre cette opération pour faire défiler les différents pictogrammes. C’est bête, mais ça vous détendra une minute ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

D’autres Easter Eggs sont nettement mieux cachés et plus facétieux. Les créateurs d’Adobe Photoshop cachent une image dans les informations d’accueil, renouvelée à chaque version. Pendant longtemps, elle mettait en scène le « chat électrique ». Désormais, les choses sont plus variées : lutins, lapins et autres créatures… Pour y accéder, il suffit d’appeler l’aide tout en appuyant sur la combinaison de touches [cmd] + [alt].
L’Easter Egg le plus drôle, selon moi, et celui qui m’a le plus amusé lorsque je prenais quelques minutes de pauses entre deux alignements de blocs au millième de centimètres, c’est celui qui est contenu dans Quark XPress. La suppression d’un bloc d’image en activant une combinaison de touches faisait apparaître un « alien » qui détruisait le bloc dans une explosion de couleurs.
La guerre InDesign – XPress vit apparaître également une guerre des programmeurs en matière de gimmicks : chez Adobe, ils firent apparaître un « gentil alien » caché dans l’interface de gestion d’impression, et chez XPress, en guise de réplique, un deuxième alien encore plus méchant fait désormais exploser le premier alien originel… –Cliquer sur l’image pour voir ces fonctions cachées en plus grand-.

Joyeuses Pâques et bonne cueillette !

Playlist valeurs sûres

Après mon périple poitevin express –façon de parler…-, mes oreilles étaient avides d’un peu de musique, mais ayant assez à faire par ailleurs, il me fallait une playlist composée de musiques suffisamment connues pour que je puis les écouter « presqu’en passant ». D’où ce repli vers des valeurs sûres. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

J’ai été content de retrouver la chanson proposée en extrait ci-dessous, ça faisait bien longtemps que je ne l’avais plus écoutée et je l’ai toujours appréciée –et c’est elle qui, en France, installa définitivement la popularité du groupe, à la toute fin des années 70 !

Pendant ce temps, j’ai procédé à de multiples mises à jour, demandées par mon ordinateur, ce qui a pris un peu de temps. Il me souvient d’une époque où les mises à jour étaient mensuellement fournies sur les CD Rom des revues que l’on achetait. Désormais, tout passe par internet, et je me félicite d’avoir opté pour la fibre, parce que plus de 2Go à télécharger pour ces mises à jour, ça pèse, mais ça arrive en moins de cinq minutes…

Et maintenant, il est temps de s’attaquer au premier barbecue de l’année : le printemps semble vouloir s’installer durablement !

Playlist brève et une mise à jour…

Quasiment deux jours sans rien à me mettre entre les oreilles, du fait de journées très remplies, et qui se prolongeront par une longue demi-journée laborieuse encore, qui s’achèvera tard ce soir avant un peu de répit !

En attendant, j’ai déposé dans le lecteur de Cd cet extrait d’une déjà ancienne intégrale des symphonies de Beethoven, enregistrée entre 1976 et 1979, la troisième et dernière d’un chef inscrit dans la droite lignée des « Kapellmeister » : interprétation équilibrée et relativement sobre, pas très motorique mais aux timbres soignés. je ne m’en souvenais plus vraiment, et c’est tout-à-fait bien sans être réellement remarquable néanmoins. Le son, en revanche, est excellent dans cette édition, les 33 tours étaient nettement moins bons lors de leur parution.

J’ai profité de court intermède pour réaliser la petite mise à jour que mon ordinateur réclamait… Ça marche exactement comme avant, sauf que le réglage de volume est maintenant situé à l’extrême-gauche, alors qu’auparavant, il était à l’extrême-droite : évidemment, cela n’a rien à voir avec le « grand » long débat de l’autre soir !

Aujourd’hui : maintenance et sauvegardes…

Début de matinée assez intense ce matin pour mon ordinateur, qui, tout seul comme un grand, a effectué sa maintenance périodique –les opérations réalisées sont détaillées sur l’image ci-dessous, c’est plutôt long, mais efficace, et ça fait pas mal chauffer le bestiau, du fait du travail assez intense du disque dur : ce matin, la température de l’ordinateur a atteint 46°, alors qu’elle dépose rarement les 40° : du coup, j’ai lancé les ventilateurs internes, ce qui arrive très rarement !-, puis les traditionnelles sauvegardes mensuelles sur trois disques durs différents et rangés à divers endroits de la maison –la logique voudrait également que je dispose au moins d’une sauvegarde hors de la maison, mais bon…-.

Le voilà désormais tout prêt pour attendre le prochain nettoyage de printemps !

Du coup, j’ai effectué toutes les dernières mises à jour et j’ai dû le redémarrer, ce qui n’était pas encore arrivé en 2017… Cela ne relève bien évidemment plus d’un exploit, de nos jours, mais il me souvient d’un certain Système 7.5.3 –les plus anciens comprendront…– qui nécessitaient quasiment un redémarrage par jour, avec ses conflits d’extension et autres petits et grands tracas !

Gimmicks et autres considérations

Ce week-end, j’ai retrouvé les pointes à placer sous mes enceintes, que j’avais « perdues » au gré de mes nombreux déménagements ces dernières années –6 fois depuis fin 2003-. Je les ai donc remises, mais ce n’est que ce soir que j’ai pu me livrer à une vérification de leur efficacité, réelle sur le parquet du salon – la maison étant encore vide, j’en ai profité pour écouter « un peu fort »-.

Je ne suis pas trop friand, généralement, de ces sortes de gimmicks  coûteux, sensés améliorer l’écoute en dépit de toutes les lois connues de la physique : câbles genre tuyau d’arrosage –c’est du dernier gracieux dans un salon-, sens du câble pour les moins ambitieux et rodage du câble pour les plus téméraires –si si, je vous jure que certains rodent leurs câblesionostat et autres gadgets, mais, pour le coup, les pointes, selon le revêtement du sol, ont un effet mécanique, mesurable et audiblemême par mes vieilles oreilles : meilleure spécialisation et grave mieux défini-. Du coup, je redécouvre mes disques j’en ai profité pour écouter de belles musique dans de très belles prises de son –dont celle-ci, très bien pour vérifier la lisibilité d’une ligne de basse sans que le parquet n’entre en résonance– !

Hier, on fêtait les 10 ans de l’iPhone : la nouvelle a fait le tour du monde et c’est là que je me suis rendu compte que j’avais survécu près de 5 ans sans en avoir un ! Et je sais même comment j’ai fait !

Ce matin, je suis arrivé près d’une heure en retard plus tard que d’habitude au bureau, en compagnie d’un collègue arrivé pile-poil au même moment : nous suivions la même voiture qui a glissé sur la neige, suivie d’un camion qui s’est presque renversé, occasionnant un gigantesque bouchon ! Je n’ai toujours pas de pneus-neige sur ma voiture, mais j’y pense… Quand j’aurai fini d’y penser, l’hiver sera sûrement passé…

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