C’est comme les périodes de soldes : tout doit disparaître ! Avant la fermeture d’été de l’atelier, je vous rappelle qu’il reste deux devinettes en rade !
J’ai fait mon deuil de la plus ancienne, ayant bien compris que la nouvelle géographie, c’est comme les mathématiques modernes –c’est comme ça que j’ai appris les maths, tout petit, et j’en garde un souvenir attendri…– ou l’orthographe rénovée : ce n’est pas vraiment du goût des lecteurs réguliers et occasionnels de ce blog !
En revanche, la seconde reste relativement accessible avec un peu d’attention… Sa résolution vaudra un joli cadeau à son auteur !
La température caniculaire qui règne ici n’est pas propice aux longues écoutes concentrées… Il fait excessivement chaud depuis hier, et cela ne devrait pas s’arrêter avant, au mieux, ce week-end ! Du coup, entre limonade glacée et citronnade on the rocks –même pas envie de bière, ça n’étanche pas assez la soif…-, chacun essaie de survivre tant bien que mal, sachant que chaque geste équivaut à un litre perdu en sueur, à peu près… En ville, la température atteignait 38° à certains endroits, ce qui fait beaucoup ! Vivement les vacances au frais –c’est pour bientôt, mais j’aurai l’occasion d’en reparler d’ici là-.
Le port de la cravate, un peu obligatoire aujourd’hui –alors que je n’en mets plus que très rarement désormais– était juste pénible ! Idem pour les déplacements en voiture, d’autant que la climatisation de la mienne vient de rendre l’âme très inopinément et que je n’ai pas encore eu le temps de la recharger… Un voyage en four, en quelques sortes !
Du coup, en rentrant, c’est une playlist ne demandant pas trop d’efforts que j’ai rapidement élaborée –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-et dont je profite durant la rédaction de cette brève notule.
Ce qui n’empêche pas qu’elle comporte au moins une vraie rareté, longtemps quasi-inaccessible en France : je vous laisse deviner de quel titre il s’agit ! Ça vous permettra de gagner une jolie récompense, le cas échéant ! Pour le reste, c’est plutôt bien diversifié, alternance entre du très connu, du très vivifiant et de nombreux extraits de concerts.
Inutile de détailler cet ensemble, composé de nombreux petits bijoux –la longue version de « Every breath you take » est quand même excellente, portée par la batterie claire et dynamique de Stewart Copeland-.
De son vivant, il était l’un des héros d’une série TV dont je ne suis pas sûr qu’elle ait jamais été diffusée en France.
Depuis son décès, en 2011, deux films relatant sa personnalité charismatique mais assez peu amène ont connu un succès très relatif, en France ou à l’étranger. Il a également eu droit à une immense statuette en bronze en exposition permanente au parc des sciences de Budapest.
Et voici désormais qu’à Santa Fe, un opéra du compositeur américain Mason Bates, qui lui est consacré sur un livret de Mark Campbell, sera the prochainement créé.
De qui donc s’agit-il ? Comme toujours, le premier à apporter la bonne réponse gagnera une jolie récompense !
Pour ce mois des ponts qui s’annonce, les jours fériés laisseront du temps aux lecteurs pour réfléchir à cette petite devinette, qui n’est pas bien difficile de surcroît ! Alors voilà : je vous invite à lire la phrase suivante : « Dès Noël où un zéphyr haï me vêt de glaçons würmiens je dîne d’exquis rôtis de bœuf au kir à l’aÿ d’âge mûr & cætera ! »
Questions : • A quoi peut bien servir cette phrase, dont le sens, a priori, n’est pas d’une clarté limpide ? Pour ma part, je m’en sers très souvent… • Comment appelle-t-on ce type de phrase ?
Voilà, c’est tout ! Comme d’habitude, le vainqueur gagnera un joli trophée –qui ne sera pas, cependant, un bouquet de muguet !-.
Amis géographes, je vous rappelle qu’une devinette, dont je ne pensais pas qu’elle serait si longtemps irrésolue, reste en attente de solution. Est-ce le signe que cette réforme qui a fait couler tant d’encre n’est pas rentrée dans les moeurs, ou que c’est votre mémoire qui flanche ?
C’est d’ailleurs la seule devinette qui reste à résoudre à ce jour, toutes les autres ont trouvé une réponse –parfois fournie par moi…-.
Faites marcher vos cellules grises pour emporter un joli cadeau 😉 !
La devinette du jour me semble vraiment difficile : il s’agit d’identifier le groupe qui interprète l’extrait que vous pouvez écouter à la fin de la notule. On trouve, au sein du blog, un indice et un seul qui permet d’y répondre mais je ne vous dirai pas où, ce serait trop facile pour le coup !
En revanche, je vous livre quelques autres pistes pour vous aider :
• il s’agit d’un groupe français qui n’existe plus;
• le groupe publia 5 albums entre 1983 et 1988;
• l’extrait proposé provient de leur premier album, qui est aussi leur plus connu –et leur meilleur selon mes oreilles-. Il n’a jamais été réédité en CD et l’extrait proposé est un repiquage de 33T.
On ne trouve trace du groupe ni sur Deezer, ni sur Apple Music. Je n’ai pas testé les autres plateformes de musique en ligne, où l’on ne peut effectuer de recherche sans être abonné…
Voilà ! parés de ces indices, à vous de jouer ! Bonne chance!
La loi NOTRe ayant redessiné la France, l’Institut national de géographie propose désormais de nouvelles jolies cartes muettes pour que je puisse vous proposer à mon tour des devinettes ! Afin de vous faciliter un peu la tâche, c’est une carte en couleurs que j’ai retenu pour titiller votre sagacité…
Cette devinette est cependant moins facile qu’il n’y paraît, si vous n’avez pas suivi a minima les aléas de ce redécoupage qui défraya largement la chronique en son temps et imposa un nouveau découpage administratif de la France –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
A défaut de réponse aisée, la question est simple : il s’agit de donner de mémoire : • le nom de chacune des 13 nouvelles régions, • mais également de citer son chef-lieu –il ne faut surtout pas dire « capitale », au risque de heurter les consciences froisser les susceptibilités des habitants des villes non retenues abriter les préfectures de région…-.
Une chose est sûre : ce redécoupage n’a pas encore eu de conséquences sur les us et coutumes culturels locaux : ici, aujourd’hui, c’est jour férié, « Vendredi Saint » oblige, et tous les magasins sont fermés –par extension, parce que seules les communes abritant un temple protestant ou une église interconfessionnelle sont légalement concernées par cette disposition-.
En cette belle journée printanière, profitant d’être un peu seul à la maison depuis midi –mais cela ne va pas durer longtemps-, j’écoute un peu fort quelques-uns des « guitar heroes » qui ont marqué ma jeunesse –et pour une fois, il n’y a pas trop de blues, mais plutôt des pyrotechnies sonores qui vont bien à petites doses-. Ça dépote dans la maison ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
On retrouve donc :
• Jimmy Page, au sein de Led Zeppelin, dans cet album live paru assez tardivement, mais qui comporte leurs titres majeurs dans de bonnes versions, brutes et énergiques;
• Uli Jon Roth et Scorpions, dans ce qui constitue pour moi l’un des tout meilleurs live de rock. L’album fut enregistré au Japon en 1978 et m’accompagne quasiment depuis sa sortie, en 33T ou en CD;
• « 1984 » de Van Halen, dont le guitariste, Eddie Van Halen, est l’un des tout grands de la guitare électrique, avec effets à la pelle et une « maestria furia » assez plaisante de temps à autre –cf. extrait en fin de notule-;
• et, enfin, Stevie Ray Vaughan, qui gâcha malheureusement une partie de son très grand talent du fait de ses addictions, assez traditionnelles dans ce monde… En studio, c’est constamment excellent, en live, certaines soirées sont à oublier totalement !
Ce qui vous vaudra la devinette de ce jour, dont la solution semble plutôt facile à trouver : parmi ces quatre guitaristes, un seul obtint le titre enviéenviable honorifique de « Jimi Hendrix blanc » : saurez-vous de qui il s’agit ?
Comme toujours, le vainqueur gagnera une magnifique Gibson Les Paul un joli cadeau !
Clémenceau affirmait que la musique militaire est à la musique ce que la justice militaire est à la justice… La justice militaire, j’ai connu pendant mon service national, en tant qu’appelé appelé très ponctuellement à défendre les droits des militaires engagés et emprisonnés dans la dernière prison militaire française, à Landau, en FFA –sur le territoire français, les prisons militaires ont été fermées en 1947, mais elles avaient sinistre réputation et la prison prévôtale de Landau était en-dessous des standards de nos prisons actuelles, ce qui n’est pas peu dire !-. Un combat à peu près perdu d’avance, il faut bien l’avouer…
Quant à la musique militaire, la playlist de ce jour en est pleine ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Je vous avais déjà parlé précédemment de l’oeuvre très colorée et très sonore de Tchaïkovsky, « Ouverture 1812 » pour orchestre, fusils et canons, qui décrit la défaite de Napoléon lors de sa conquête avortée de la Russie. La version de ce jour, que vous pourrez écouter ici, comprend, en outre, une assez longue introduction chorale, qui n’est pas du compositeur, mais ne dépare pas dans ce contexte.
Beethoven avait produit, cinquante ans auparavant, une oeuvre encore plus sonore et chaotique : « La victoire de Wellington ou La Bataille de Vittoria« , décrivant, là encore, une défaite des troupes napoléoniennes contre l’Angleterre, durant la guerre en Espagne. Le début est très bruyant, le milieu aussi, et la fin à peine moins ! Vous pouvez l’écouter ici, en suivant la trame narrative, très bien réalisée dans l’article à lire.
Tout cela m’ayant mis d’humeur belliqueuse, j’ai trouvé un dernier disque de marches prussiennes et autrichiennes. Les premières, immanquablement, évoquent les défilés militaires victorieux après la victoire prussienne de 1870 contre l’empire français.
J’ai quand même trouvé une marche fort curieuse d’un certain Gottfried Sonntag, qui reprend des thèmes très connus d’un compositeur très connu dans la marche que je vous propose d’écouter en extrait ci-dessous, et qui est l’objet de la devinette du jour : quel est le compositeur archi-célèbre cité régulièrement dans cette marche ?
La dernière devinette proposée sur ce blog a donné lieu à des réponses variées et surprenantes, attestant que l’intelligence artificielle parfois si performante a encore des progrès à réaliser dans certains domaines : Siri, utilisé par Sardequin, ne s’est pas distingué par sa pertinence sur ce coup là !
En fait, il s’agit d’une des très rares oeuvres pour orgue de Beethoven, tirée du très précieux coffret présenté sur l’imagette accompagnant cette notule. La fugue pour orgue en ré WoO 31 –Werke ohne Opuszahle, soit oeuvre n°31 dans le catalogue des productions non officiellement numérotées par le compositeur– est une composition d’extrême jeunesse, inspirée de Handel et de Bach, et vraisemblablement écrite pour son examen de recrutement au poste de second organiste à la cour du prince-électeur de Bonn, quand l’apprenti-compositeur, à 13 ans, dut subvenir aux besoins de sa famille du fait de l’alcoolisme paternel…
Les 20 coffrets de cette magnifique édition, publiée il y a déjà bien longtemps et désormais indisponible, contiennent un très grand nombre d’oeuvrettes de ce genre, puisqu’il s’agit d’une « édition intégrale » comportant par définition, toute la production du compositeur –officielle et officieuse, Beethoven ayant fait le choix de ne publier que ce qu’il considérait comme digne de lui-. dans ce volume 6, consacré aux oeuvres pour piano autres que les sonates, un petit morceau de CD est également dédié aux quelques rares pièces pour orgue du compositeur.