Construis une playlist monstrueuse !

Suite à la lecture de cet article, très intéressant et bien plus nuancé, à la lecture, que ce que son titre laissait présager, je vous propose de construire une playlist monstrueuse, qui sera constituée ainsi –cliquer sur l’image pour la voir en grand-.
Pour coller au mieux à l’article, il peut être intéressant d’écouter ces albums dans l’ordre de leur parution, sachant que ceux retenus ici sont à connotation autobiographique assez marquée. Par principe, je n’ai retenu aucun album live, alors que le chanteur y donne souvent son meilleur –avec un penchant personnel et coupable pour « Take no prisoners »-.

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Après cette écoute, à vous de vous faire votre propre idée sur le sujet… Evidemment, si vous commencez par écouter « Berlin », et en particulier « Caroline says (part one) » ou « The kids », je ne vous garantis pas que vous trouverez la réponse la plus objective…

Playlist d’opportunité -en puzzle-

Ces derniers jours, n’ayant que peu de temps, j’ai découvert par petits bouts le dernier très joli coffret déposé par la poste à mon bureau –je me fais régulièrement livré là-bas, où il y a toujours au moins ma secrétaire pour réceptionner 😉 -, et dont je vous avais parlé un peu ici.

En images, –outre celles ajoutées au slideshow mensuel– ça donne cette video, bien réalisée :

Aux oreilles, c’est excellent ! De très bonnes version, généralement assez acérées, très en avance sur leur temps d’une certaine manière -l’ensemble couvre grosso modo toue la décennie des années 50 et le tout début des années 60- dans le concept interprétatif proposé : clair, vivant, très lisible, raisonnablement engagé mais sans idiosyncrasie : bref, pour des écoutes répétées au disque, c’est quasiment idéal, et les prises de son, bien que relativement anciennes, sont de qualité ! Je me suis délecté, notamment, de larges extraits de Carmen absolument somptueux, bien que chantés en allemand 😉 !

 

Aux yeux, c’est un bel objet également : les pochettes reprennent presque à l’identique le format album original du 33T, avec des coffrets qui s’ouvrent « comme dans le temps ». Evidemment, l’ensemble mérite une écoute plus attentive, mais, pour cela, il me faudra encore un peu attendre !

Playlist jour de brume

Novembre et se premiers frimas et ses brouillards un peu denses au petit matin… Ça méritait bien une playlist un peu colorée ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand, ou dans le nouveau slide de la barre des menus, nouveau mois obligé…-.

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Edit. Ce matin, j’ai essayé de configurer une tablette Android à partir d’un iMac : c’est juste pénible… Rajouter ne serait-ce que quelques livres passe par une longue série de problèmes à contourner ! Du coup, j’ai laissé tomber, pour le moment. Et puis, je vous parlais du match de rugby d’hier soir, et, incidemment, je suis tombé sur cet article ! Non contents de fournir à la planète les deux plus belles équipes à l’heure actuelle, les deux pays adoptent également des choix peut-être visionnaires, en tout cas audacieux !

Playlist du jour

Playlist variée en ce brouillardeux jour d’automne ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Je profite par ailleurs d’un peu de temps libre pour mettre à jour ma wishlist de Noël sur Amazon Italie : très bonnes affaires à faire là-bas en ce moment, entre 30 et 50% moins chers que les prix affichés dans les autres boutiques de l’enseigne… Avis aux amateurs !

Original et copie, une fois de plus

Hier, en cherchant tout autre chose, je suis tombé sur cette petite vidéo : je ne savais pas que le plus connu des groupes allemands avait commis des reprises de chansons célèbres… Ils auraient aussi bien pu s’abstenir, sur ce coup-là : c’est lourd, monolithique et sans le début de commencement d’un minimum de finesse nécessaire au traitement de cette très jolie chanson –arrgghhh ! la batterie qui souligne les paroles à la fin du refrain, c’est d’un convenu !!!-.

Voici donc la copie :


Et, à présent, la version originale, bien préférable à mes oreilles, avec de beaux arrangements de Brian Jones –flûte, violoncelle– :

Playlist rouge

Heure d'hiverAujourd’hui, n’ayant aucune envie très particulière autre que d’écouter de jolies choses, je me suis donné comme thème «Pochettes rouges». Ainsi, cela m’a conduit à la constitution de cette playlist, des plus avenante finalement, pour accompagner une partie de la matinée, qui va durer longtemps, passage –mortel– à l’heure d’hiver oblige…

Après tout, un certain joue le jeu du classement alphabétique pour entretenir ou raviver sa curiosité, pendant qu’un autre passe en revue, chaque dimanche, le Top 50, pour égayer ses matinées de quelques séquences léguées à la postérité –ou pas !?!-, alors, pourquoi ne pas arrêter une démarche ludique ? –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Petit jeu amusant, donc, qui m’a ramené –tout-à-fait fortuitement, bien sûr– vers mes deux groupes favoris pour deux albums que j’ai toujours bien aimés. D’abord et surtout « Tattoo You », qui jouit d’une réputation plutôt flatteusesi tard dans leur carrière : 1981, pensez-vous !– et, à mes oreilles au moins, pas usurpée ! La construction sur deux faces –33T oblige : le CD n’était encore qu’au stade de brouillon-, à l’époque, opposait une face A rapide à une face B -la meilleure à mon avis- plus lente. La tournée associée à cet album reste mon premier souvenir d’un concert des Rolling Stones –exactement : le dimanche 13 juin 1982, à Paris, déplacement à 4 dans une vieille R5…-.

« Kiss me kiss me kiss me » reste l’un des albums les plus ambitieux de The Cure –parution sous la forme d’un double 33T– : c’est très varié, alternant les megatubes comme « Just like heaven » et des chansons non moins belles, mais un peu restées dans l’ombre comme « If only tonight we could sleep », cette dernière bénéficiant d’une longue introduction à la guitare, plaintive et torturée.

Quant à Heather Nova, elle jouit d’une certaine popularité au tourment du millénaire, possède une jolie voix, chante des textes inspirés sur de belles mélodies, bien arrangées –cf. l’extrait en écoute ci-dessous-, même si elle est un peu oubliée, semble-t-il, de nos jours.

Enfin, la symphonie « Pathétique » de Tchaikovsky par Guido Cantelli est tout simplement formidable, dans un son plus qu’honorable de 1953, et entretient le souvenir d’un immense chef disparu trop tôt –à 36 ans, dans un accident d’avion– et que Toscanini voyait comme son successeur.

Finalement, le rouge a du bon 😀 !

Playlist baroque

Après plusieurs heures passées en compagnie de Sibelius, j’ai quitté le froid du grand nord pour retrouver un peu de soleil, avec cette playlist exclusivement baroque, mais néanmoins agréable –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

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Archiv est la branche « musique ancienne » –grosso modo, tout ce qui vient avant Haydn et Mozart– de Deutsche Grammophon. Ils ont toujours eu le chic de proposer des prises de son de qualité –mais les petits ensembles sonnent généralement bien sur une chaîne hi-fi, et sont plus faciles à enregistrer que les gros orchestres : il s’agit surtout de savoir garder la couleur de l’ensemble– et de fort jolies pochettes, qui donnent à leurs productions une forte identité visuelle et beaucoup de cohérence. La firme contribua également à la « renaissance baroque » à la fin des années 70, avec quelques artistes très engagés dans ce mouvement, mais, dès les années 50, avait ouvert une petite brèche.

Les concerti pour clavecin de Bach sont assez italianisants, la musique de table de Telemann, comme la première série des concerti grossi de Handel, proposent de jolies couleurs instrumentales et les pièces pour clavecin ou clavicorde de Bach par Kirkpatrick sont de belle facture.Evidemment, au bout d’un moment, tout ça finit par se ressembler un peu, mais il y a de fort belles choses. Un tout petit extrait pris au hasard est proposé juste en-dessous.

Playlist courte

Playlist23102015Une toute petite playlist à cette heure –cliquer sur l’image pour la voir en grand-, pour bien commencer la journée et se faire plaisir avec :

une jolie voix d’une artiste qui fut une chanteuse très talentueuse avant de tout gâcher par ses addictions, malheureusement;

un très souriant solo de piano au milieu d’une chanson joliment jazzy;

un titre inédit de Neil Young très difficile à trouver, et vraiment excellent –l’une des plus belle chanson de l’artiste à mes oreilles-;

un boogie-blues bien balancé, complété d’un rock endiablé et qui commence à la guitare acoustique très virtuose et d’un quatuor à cordes soutenant William Sheller;

le solo de guitare le plus prodigieusement construit qu’il m’ait été donné d’entendre, plus de trois minutes de pur plaisir auditif : ça va d’un bariolage coloré, au début, à une montée lente mais inexorable du climax sans aucun pain et avec la sonorité inimitable de la Gibson Les Paul –extrait ci-dessous : PLAY IT LOUD AND ENJOY !-.

Cadeau somptueux

Sibelius_EdtionC’est un cadeau somptueux que m’a offert Compagne-à-moi pour le dernier anniversaire de ma cinquième décennie –si si, c’est juste, vous pouvez vérifier sur vos doigts…-. Elle a dû se rendre compte que je lorgnais sur l’objet depuis plusieurs semaines, et que ça figurait dans ma wishlist.

 L’objet est donc beau –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, très joliment présenté avec quelque photos un peu inédites, pas trop épais –ce qui compte quand on a de moins en moins de place pour le rangement…– et plein de belle musique, dont certaine peu connue, bien que pas tout-à-fait rare. Nombreuses sont les interprétations qui furent primées en l’une ou l’autre occasion. Cerise sur le gâteau, les textes des lieder et autres musiques de scène sont présents, et traduits en anglais, ce qui aide à leur bonne compréhension.

Le seul regret, mineur, c’est l’absence des pochettes originelles, mais,  internet aidant, ça se retrouve assez facilement –cliquer sur l’image ci-dessous pour avoir un aperçu de quelques-une d’entre elles, très anciennes, en plus grand– !

CasqueAudioOn retrouve donc les 7 symphonies selon 3 chefs, de la musique de chambre, une très belle version du concerto pour violon –l’une des plus belles de cette oeuvre, qui en a connu de nombreuses-, des lieder par deux grandes figures du chant lyrique et de la musique de scène et des poèmes symphonique par un  chef que je n’avais encore jamais entendus –Jussi Jalas, qui fut par ailleurs gendre du compositeur-.

Bref, 14 CD pour de nombreuses heures de belle et bonne musique, pour voyager très agréablement au coeur de la Finlande, de ses lacs et de ses forêts !

Deux cerises sur un gâteau, c’est presque trop, mais j’ai également profité de l’occasion pour, enfin, m’acheter un casque audio de qualité, afin de profiter de cela en toute discrétion !

Sibelius_PochOrigine

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