Une autre collection annuelle !

J’ai mangé d’excellentes galettes en cé début d’année, et les meilleures sont celles du boulanger juste à côté de chez nous, qui vient de reprendre la boutique : elles sont juste exceptionnelles !

L’autre chose exceptionnelle que j’ai pu constater, c’est l’augmentation du prix de ces succulentes galettes… Mais bon : parfois, quand on aime, on ne compte pas !

Essai culinaire non traditionnel

Aujourd’hui, dans la perspective des fêtes de fin d’année à venir –elles approchent en réalité à grands pas : le grand sapin de Noël local est déjà en place ! -, je commence à penser aux futures agapes et je vais me lancer dans la confection d’une choucroute non traditionnelle mais, je l’espère, suffisamment goûteuse pour être proposée en auguste société : une choucroute aux volailles et au Monbazillac. Ce qui changera quelque peu de la traditionnelle –et incomparable– choucroute impériale aux onze viandes, mais également à la choucroute de la mer proposée il y a quelques années.
Pour cela, j’ai été chez mon volailler préféré afin qu’il me prépare :
– des saucisses de canard ;
– des saucisses de volailles ;
– des suprêmes de pintade ;
A Noël, pour faire bonne mesure, il n’est pas exclu que je rajoute des filets de poulet ou de dinde, mais aujourd’hui, loin trop n’en faut.
J’ai pas ailleurs acheté du chou à choucroute en quantité suffisante pour deux ou trois personnes –que je vais cuisiner à la graisse de canard et non pas à la graisse d’oie-, quelques rattes du Touquet et une bouteille de Monbazillac. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Les agapes du jour !

J’ai adapté quelque peu la recette qui suit, tout cela mitonne au four –la terrine est si lourde que la grille du four ploie sous son poids ! -depuis huit heures ce matin… Je me suis donc levé à sept heures pour éplucher et couper tous les légumes, et il y en avait beaucoup –la viande marinait depuis hier matin-, au grand dam de TheCookingCat, qui m’a regardé d’un drôle d’air avant de se recoucher !
Servi avec un excellent Pinot Noir, ça devrait être parfaitement goûteux –et ça va me changer de la maigre pitance d’hier soir, entourés que nous étions d’une végétarienne et d’une végane.. –  !

Agapes de Noël…

Une petite foule se pressait déjà, ce matin dès l’ouverture, à l’entrée du magasin où je me suis rendu pour faire les achats nécessaires aux deux menus de Noël. Ces dernières courses ont été relativement rondement mènes, et je n’ai même rien oublié –sauf de quoi remplir le frigo pour les deux jours qui vont précéder les festivités…– !

J’ai  donc prévu, pour ces deux menus :

• le 24 au soir : un apéro léger, suivi de filets de chapons accommodés d’une sauce aux marron, aux figues et au foie gras et accompagnés de légumes confits. Nous nous abstiendrons de fromage pour passer directement au dessert. Simple et léger, d’autant que nous ne serons que quatre, dont une végétarienne et une végane, qui cuisineront elles-même leur triste pitance 😉 !

• le 25 à midi, les vraies réjouissances culinaires m’occuperont toute la matinée. L’apéritif, toujours léger, sera suivi d’une plantureuse choucroute de la mer, cuisinée à la crème, au Chablis et aux salicornes, avec lotte, turbot, sandre, saumon et fruits de mer –j’ai prévu même des tagliatelles fraîches pour les malheureux qui n’aiment pas le chou à choucroute, mais que je ne dénoncerai pas ici…-. Suivront un vrai plateau de fromages et une vraie bûche de Noël avec lutins et autres gimmicks décoratifs !

Le pied du sapin est déjà bien achalandé, il ne reste plus qu’à attendre…

En cuisine !

Hier, j’ai passé une partie de la journée en cuisine : ça détend et ça change les idées après une semaine de dur labeur! Tout cela pour concocter une choucroute de la mercliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, à ne pas confondre avec l’antique recette locale de choucroute aux poissons !

Je m’explique : cette choucroute de la mer a été réalisée avec du chou à choucroute, des salicornes et un peu d’aneth, ingrédients auxquels s’ajoutent des filets de cabillaud, du saumon et des fruits de mer.
En revanche, en Alsace, la « vraie choucroute aux poissons », dont la recette remonte au milieu du Moyen-Äge, était initialement cuisinée avec des poissons et des écrevisses de rivière. Ce n’est qu’à partir de la Renaissance qu’on trouve une trace locale d’une recette aux poissons de mer : hareng et morue essentiellement, arrivant en salaison par bateau, en provenance de la Baltique ou de la Mer du Nord.

Quoi qu’il en soit, c’était rudement bon, et dévoré en beaucoup moins de temps qu’il n’en faut pour cuisiner ce plat ! Quant à une « vraie » choucroute impériale aux onze garnitures, on va garder cela pour les frimas à venir !

Confinement gastronomique, suite…

Comme nous sommes « en guerre contre un ennemi invisible », je redécouvre d’antiques recettes tout-à-fait adaptées à la période, et économiques de surcroît, puisqu’il paraît que la vie est devenue chère : rien ne se perd… En attendant le cessez-le-feu annoncé, qui devrait survenir trois jours après l’armistice de 1945 ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Je me confine, donc je mange…

Bilan au terme de ces deux premiers jours de confinement :
je télétravaille, ce qui, en cette période, est épuisant : appels téléphoniques incessants, échanges de mails frénétiques -plusieurs centaines hier- et vidéo-conférence lorsque cela veut bien fonctionner, c’est-à-dire pas si souvent que cela, puisque c’est aussi tributaire de la robustesse des connexions des uns ou des autres, d’une part, et d’un engorgement certain de la tuyauterie mondiale, d’autre part : on dépasse désormais assez largement les 10 térabits de données par seconde sur le réseau mondial !

• je fais le tour du parc de la résidence chaque jour (2 ou 3 fois quinze minutes), c’est un espace privé sans maréchaussée, mais ça atteint vite ses limites !

• je cuisine : ça détend, ça occupe les mains et l’esprit pendant une petite heure et le résultat est plutôt goûteux ! -Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Et, sinon, je lis et j’écoute de la musique, comme chaque jour « normal ».

Préparation des agapes de Noël

Tombé du lit avant l’aube, je suis parti faire les courses très tôt ce matin –j’étais de retour, paniers remplis, à 9h00-, en vue de notre repas de Noël : des noix de joue de porc au Pinot noir et au miel façon Bäckehoffe.

J’ai donc acheté :
• 1,2 kilo de noix de joue de porc
• 2 kilos de carotte
• 1 kilo d’oignons grelots
• 2 kilos de pomme de terre « Rattes du Touquet » –pas besoin de les éplucher, elles cuisent gentiment dans leur peau…
• 3 bouteilles de Pinot noir –dont deux pour la marinade et la cuisson et une pour accompagner le repas-.
• j’avais déjà du miel de forêt étiqueté « Bio » et toutes les épices nécessaires.
La viande va mariner à partir de lundi matin, et je lancerai la cuisson, pour 3 – 4 heures, mardi matin. Comme j’ai prévu large, on en remangera quelques fois la semaine prochaine !

Playlist « Cuisine au beurre du Tour de France »

Sous ce titre étrange se cache une playlist où la cuisine au beurre et la pédalecelle su piano, pas celle du vélo, mais enfin, on est en juillet et le Tour de France commence demain– tiennent un rôle important.

Pourquoi, me direz-vous ? Poulenc est plutôt réputé pour une certaine forme de finesse que pour son embonpoint musical ! Oui, sans doute, mais Poulenc était également un amoureux de la pédale et souhaitait qu’on en mette abondamment dans sa musique !

Dans son langage clair et précis, volontiers gouailleur, il affirmait : « Parfois, lorsque j’entends certains pianistes m’interpréter, j’ai envie de leur crier : Mettez du beurre dans la sauce ! Qu’est-ce que c’est que ce jeu de régime » !

Tuerie d’automne !

Avec le retour de l’automne, l’un de mes desserts favoris –en général, je mange peu de sucre, mais, de temps à autre, je ne refuse pas un dessert, même si, en la matière, j’ai des goûts peu variés : tiramisu, café liégeois et, donc, cette chose légère et savoureuse, connue sous d’autres contrées sous le nom de Mont-Blanc et, localement enrichi, dégusté sous le vocable de torche aux marrons-.

Depuis quelques jours, on en retrouve, enfin, en pâtisserie et, ce matin, j’ai craqué et en ai achetés de quoi en manger tout le week-end –je ne cuisine quasiment aucun dessert moi-même, hors quelques tartes de saison– ! Accompagné d’une composée de mandarines, c’est absolument goûteux !

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