Playlist « Cette année-là » – 2019

Beethoven – Sonates pour piano n°22 & 24 • Rachmaninov – Sonate pour piano n°2 – Ivo Pogorelich
The Cure – Curaetion 25TH Anniversary
John Mayall – Nobody Told Me
Holst – The Planets • Elgar – Enigma Variations – OP Bergen, Andrew Litton
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Playlist « Cette année-là – 2006 »

Charlie Chaplin – B.O.F Modern Times – Norddeutscher Rundfunk Philharmonie Hannover, Timothy Brock
Steely Dan – The definitive Collection
John Mayall & The Bluesbreakers & Friends – 70th Birthday Concert
Edvard Grieg – Peer Gynt, Suites – OP Bergen, Ole Kristian Ruud
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Playlist « Cette année-là – 2002 ».

Handel – Water Music ; Royal Fireworks Music – Le Concert Spirituel, Hervé Niquet
John Mayall And The Bluesbreakers – Stories
Blondie – Greatest Hits
Mahler – Symphonie n°2 « Résurrection » – OP Vienne, Gilbert Kaplan
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Albums en série, Part 16

3 grands albums autour des Rolling Stones

Rejeton –Mick Taylor-, parrain –Alexis Korner  ou quasi-acolyte –John Mayall– : ces artistes ont, chacun à leur manière, jalonné la vie des Rolling Stones –outre les artistes américains dont ils ont assimilé ou interprété la musique à leurs débuts– et produit quelques albums formidables et essentiels à toute discothèque blues qui se respecte ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist matinale « Blue Saturday »

Après une dure semaine de labeur, nous sommes samedi, la journée et le week-end ont commencé fort tôt, entre deux orages nocturnes qui ont permis d’alléger l’atmosphère un peu étouffante d’hier ! Donc, vers 03:40, je me suis mis au blues, pour occuper ce tout début de matinée, et comme il était malgré tout encore tôt, c’est vers les prémices du blues revival en Angleterre que je me suis orienté ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

A cette époque, soit au tout début des années 60 à Londres, l’Angleterre découvrait le blues, et un très petit nombre de musiciens commençaient à s’y consacrer. Un cercle si restreint, d’ailleurs, qu’ils se rencontraient très régulièrement et jouaient ensemble au sein de formations mouvantes, qui virent passer toutes les futures gloires de la Rock-Music anglaises, de manière sporadique, jusqu’à l’émergence des formations mondialement connues que sont les Rolling Stones, les Yardbirds, Cream, Fleetwood Mac ou Led Zeppelin, issus de deux filières seulement.
D’un côté, donc, on trouve la filière Korner-Davies-BaldryThe Blues Incorporated-, les plus anciens bluesmen anglais, avec qui jouèrent les futurs Rolling Stones –d’abord Mick Jagger connu alors sous le nom de « Little Boy Blue », seul son propre groupe d’amateurs où évoluait Keith Richards; c’est la qu’il rencontrèrent Brian Jones, connu alors sous le nom d’Elmo Lewis, mais également Charlie Watts, qui se produisait certains soirs dans le groupe d’Alexis Korner-; Ginger Baker, futur Cream; Jimmy Page, guitariste de studio, futur Yarbirds puis fondateur de Led Zeppelin.

Quelques mois à peine plus tard émergea John Mayall, qui proposait un blues moins festif et plus virtuose, aux côtés duquel se produisirent Eric Clapton et Jack Bruce, futurs Cream, le juvénile Mick Taylor, futur Rolling Stones, mais également Peter Green, John McVie et Mike Fleetwood, futurs Fleetwood Mac.

Bon, après une journée si bien et si tôt entamée il est l’heure de se recoucher !

Bain de jouvence pour vieux bluesman blanc

John Mayall aura 86 ans en novembre et il est toujours vaillant lorsqu’il prodigue, avec des compagnons sans cesse renouvelés et sans cesse talentueux, ses albums de blues, avec ou sans son groupe fétiche, les Bluesbreakers. 

Son nouvel opus, sorti il y a un petit trimestre, et qui a rejoint ma discothèque aujourd’hui, apporte d’énormes satisfactions à l’écoute ! Entouré de pas moins de six guitaristes tous aussi remarquables les uns –et une : Carolyn Wonderland– que les autres, il propose sur « Nobody Told Me« , 10 chansons et 50 minutes de blues-rock entraînant, superbement construit et toujours admirablement interprété –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.. Le vieux « parrain » du blues anglais s’y connaît, pour faire briller les musiciens qu’il invite, et les six guitaristes viennent rallonger la déjà longue liste de leurs illustres prédécesseurs !

Un très bel album, encore mieux que l’excellent « Talk About That » qui le précédait, et dont je vous parlais ici.

« Blues & Kind Of Blues » playlist

Entamer la journée par une playlist consacrée à des albums de blues ou de pièces dérivées du blues, c’est vivifiant, d’autant que tous les artistes du jour sont bourrés de talent ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

J’ai commencé par un album pas très connu d’un « Power trio » à peine plus connu, West, Bruce & Laing, qui suivit une éphémère et erratique carrière –comme souvent avec les super groupes auxquels participa le remarquable bassiste Jack Bruce, instable de caractère et ego surdimmensionné oblige, sans doute…-. Le meilleur y côtoie le plus banal, mais, dans l’ensemble, l’album est très convenable et s’écoute avec plaisir. –Cliquer sur l’extrait pour en découvrir la belle énergie et le jeu de basse très nourri de Jack Bruce-.

Suit, dans un très bon son, l’un des innombrables live « non-officiels » de Mick Taylor, très inspiré et assuré ici en concert à Genève, avec Snowy White, ce dernier plutôt discret tout au long du set, assez court mais brillant –le groupe qui entoure Mick Taylor est de premier plan-. Un très beau disque –l’album existe aussi en DVD, difficile à trouver– ! L’expérience fut renouvelée en 1992, à Londres, avec quasiment le même combo et la même setlist !

De même, l’album d’Albert Kingl’un des trois « King » de la guitare blues en Amérique avec B.B et Freddy-, qui fut l’un des héros de tous les guitaristes anglais ayant émergé au début des années 60, est tout-à-fait excellent, et le son de sa Gibson Flying V –cf. extrait ci-dessous– est superbe !

Pour finir, l’album anniversaire des 70 ans de John Mayall & The Bluesbreakers –en 2003 : il est beaucoup plus vieux et toujours actif aujourd’hui-, où le parrain du blues anglais avait réuni autour de lui, pour l’occasion, quelques-uns des musiciens qui l’avaient accompagné tout au long de sa longue carrière : absolument brillant !

Playlist « Filiation naturelle »

Un grand-père presqu’oublié, un parrain qui a traversé le temps, des rejetons turbulents et désormais assagis, des cousins au premier degré sonores et bruyants…
A vous d’associer ces qualificatifs, selon votre appréciations, avec les différents artistes de la playlist de ce jour, destinée à lutter contre la canicule annoncée. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

En prime, deux chouettes extraits pour vous aider à entamer cette chaude journée agréablement !

Pour compléter cette courte notule, une petite devinette estivale : il manque sans doute au moins un groupe incontournable, selon moi, pour compléter la famille –non, il ne s’agit pas des Bluesbreakers, ce serait trop facile ! – : je vous laisse le soin de le retrouver !
A priori, ce n’est pas si difficile que ça…

Devinette pour finir l’année…

Avant de vous livrer la devinette de décembre, je tiens à rappeler qu’une devinette proposée en novembre n’a pas trouvé de réponse à ce jour : elle se trouve ici. Voilà qui est dit !

Pour finir l’année, je vous propose de me dire quel est le seul morceau de blues qui a jamais occupé la première place des charts anglais depuis leur création, aussi étonnant que cela puisse paraître !
J’ai un peu vérifié ici ou là avant de vous soumettre cette devinette, mais il semble que ce soit effectivement une réalité !

Allez, je vous laisse chercher parmi cette liste, et que le meilleur gagne !
[spoiler]• The Rolling StonesDown In The Hole
• Fleetwood MacMy Baby’s Good To Me
• Led ZeppelinYou Shook Me
• John Mayall And The BluesbreakersDouble Crossing’ Time
• The YardbirdsSteeled Blues
• The BeatlesYer Blues
• The Rolling Stones Little Red Rooster
• Led ZeppelinSince I’ve been Loving You
• Them Featuring Van MorrisonGo On Home Baby
• John MayallLaurel Canyon Home[/spoiler]

Une discothèque. Bilan 2017. TOP 5 « Autres »

Ici, mon classement personnel est beaucoup plus facile à établir qu’en ce qui concerne la musique classique. Déjà parce que désormais, des disques pop-rock, j’en achète finalement assez peu, ensuite parce que parmi ces achats, il y en a beaucoup qui s’appuient sur des souvenirs ou des envies précises à un moment donné qui peut ne pas s’éterniser, et que donc, les vraies découvertes sont assez peu nombreuses. Enfin, parce je ne cherche plus spontanément en dehors de « mon répertoire de base », qui est quand même assez large, d’autant moins que, le plus souvent, les albums Pop-Rock coûtent bien plus chers qu’en classique, sauf opération « remise éditeur »… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Ainsi ma discothèque Pop-Rock ne progresse-t-elle plus énormément, et, en tout cas, pas dans la même mesure que ma discothèque classique : c’est d’autant plus vrai que, comme je préfère généralement les disques « live », je suis souvent obligé de chercher des bootlegs, ce qui n’est pas toujours facile non plus si on n’y consacre pas un peu de temps –sauf pour les Rolling Stones, dont la base des albums en concert est remarquablement documentée-.

Au sommet de ce TOP 5, pour cette année 2017 en voie d’achèvement, je placerai l’album « Talk About That » de John Mayall : le parrain du blues anglais n’a rien perdu de son talent, il sait toujours s’entourer de jeunes musiciens en devenir ou de vieilles pointures très talentueuses pour proposer un très chouette disque, qui s’écoute très agréablement : belles guitares, tempi moyens, maîtrise absolue de tous les codes du blues… Bref, que du bonheur !

Je vous ai par ailleurs entretenus de tous les autres albums de ce TOP 5 à un moment donné sur le blog et leur présence n’est donc pas tout-à-fait surprenante dans cette liste !

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