Playlist sonore et pas trébuchante
C’est une playlist assez sonore, presque tonitruante par moments, que j’ai choisie pour accompagner cette soirée !
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C’est une playlist assez sonore, presque tonitruante par moments, que j’ai choisie pour accompagner cette soirée !
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C’est dimanche, et entre diverses occupations plus ou moins intéressantes, quelques lectures et deux sorties sous la pluie et dans le froid –bientôt la neige, qui est annoncée, à peine sortis de la fin de l’été ?-, cette petite playlist, variée et plutôt pêchue, permettra de finir agréablement la journée !
–Cliquer sur l’image, au format toujours aussi pratique dans le contexte d’un blog, pour la voir en plus grand-.
En guise de bonne nouvelle cependant : le Marché de Noël est malgré tout maintenu cette année, avec quelques restrictions « de sécurité », ce qui devrait me valoir quelques jolis week-ends dans les prochaines semaines 🙂 Dès samedi prochain, il sera inauguré officiellement… Et, d’ores et déjà, la ville rutile de guirlandes et autres décorations de Noël 🙂
A moi le vin chaud, la cervoise tiède, les odeurs de pain d’épice et les jolies photos !
J’ai ressorti ce matin une vieille chose que je n’avais plus écoutée depuis des lustres –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– : à dire vrai, les concerti pour violon de Paganini ne sont ni indignes, ni géniaux, mais proposent à la fois une écoute agréable à l’oreille et des difficultés techniques pour les doigts et l’archet absolument gigantesques.
L’orchestre se contente, le plus souvent, d’accompagner et de soutenir sans originalité remarquable –mais avec talent– le discours du violon.
Quant à ce disque, il est tout simplement magnifique et dépasse de très loin toute la concurrence personnellement connue dans ce répertoire –pas très fréquenté, il est vrai-. Comment avais-je pu l’oublier ?
Nicolo Paganini, dit « Le violon du Diable », était un virtuose exceptionnel, qui révolutionna la technique du violon au début du 19ème siècle, et s’amusait à épater la galerie avec ses compositions injouables par tout autre que lui, sachant soutenir l’attention du public par des trucs habiles : présentation de profil vêtu tout de moir -il était longiligne, d’une maigreur à faire peur et laissa pousser ses cheveux filasses assez longs-, cordes volontairement abimées pour se casser au milieu d’une oeuvre, l’obligeant à terminer sur trois, deux, voire une seule corde-s…
Il amassa ainsi une fortune considérable –la légende prétend qu’il gagna plusieurs fois son poids en or-, dilapidée en grande partie dans les casinos, sut vivre du mécénat grâce à une habile publicité et à son charisme, fréquenta quelques geôles pour des banqueroutes frauduleuses, et, de temps à autre, livra des compositions qui sont restées au répertoire : ses six concerti pour violon et surtout le deuxième, des caprices pour violon solo, mais également quelques pièces pour violon et guitare ou mandoline.
Il fut adulé de tous les compositeurs romantiques, et Liszt sut le prendre pour modèle pour développer la technique pianistique à partir de 1830.
En extrait, une pièce archi-célèbre, provenant de l’album mentionné, et où le triangle tient une place presqu’aussi importante que le violon ! ENJOY !
Petit à petit, le quotidien se réinstalle et reprend ses droits même pour mes oreilles, et malgré un emploi du temps chargé, et quelque peu chamboulé par les événements récents –voyage à Paris annulé en cette fin de semaine, par exemple, le salon du numérique auquel je devais participer étant reporté-.
Ce soir, une playlist qui crachote mais case de réelles beautés ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
11 novembre : commémorons comme il se doit ce jour, marquant, en 1918, la fin de l’immense boucherie qui ensanglanta l’Europe, beaucoup, et le reste du monde dans une moindre mesure. Si la période m’a toujours beaucoup intéressé, j’ai souvent eu du mal, pendant longtemps, à trouver des ouvrages vraiment remarquables et complets sur la période. C’est pourquoi, d’ailleurs, je ne retins pas ce sujet, en définitive, lors de la rédaction de mon mémoire pendant mes études d’histoire –ça, c’était il y a longtemps…– !
Ça a beaucoup changé désormais, et depuis quelques années, centenaire et préparation d’icelui obligent, de très beaux livres sont désormais sortis sur ce sujet.
En ce jour de commémoration, donc, c’est une playlist d’oeuvres composées pendant la guerre qui a occupé mes oreilles ce début de matinée, la confection d’un boeuf bourguignon aux épices de Noël –cannelle, anis étoilée, gingembre : un essai…– occupant mes mains par ailleurs 🙂 ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Novembre et se premiers frimas et ses brouillards un peu denses au petit matin… Ça méritait bien une playlist un peu colorée ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand, ou dans le nouveau slide de la barre des menus, nouveau mois obligé…-.
Edit. Ce matin, j’ai essayé de configurer une tablette Android à partir d’un iMac : c’est juste pénible… Rajouter ne serait-ce que quelques livres passe par une longue série de problèmes à contourner ! Du coup, j’ai laissé tomber, pour le moment. Et puis, je vous parlais du match de rugby d’hier soir, et, incidemment, je suis tombé sur cet article ! Non contents de fournir à la planète les deux plus belles équipes à l’heure actuelle, les deux pays adoptent également des choix peut-être visionnaires, en tout cas audacieux !
Playlist variée en ce brouillardeux jour d’automne ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Je profite par ailleurs d’un peu de temps libre pour mettre à jour ma wishlist de Noël sur Amazon Italie : très bonnes affaires à faire là-bas en ce moment, entre 30 et 50% moins chers que les prix affichés dans les autres boutiques de l’enseigne… Avis aux amateurs !
Aujourd’hui, n’ayant aucune envie très particulière autre que d’écouter de jolies choses, je me suis donné comme thème «Pochettes rouges». Ainsi, cela m’a conduit à la constitution de cette playlist, des plus avenante finalement, pour accompagner une partie de la matinée, qui va durer longtemps, passage –mortel– à l’heure d’hiver oblige…
Après tout, un certain joue le jeu du classement alphabétique pour entretenir ou raviver sa curiosité, pendant qu’un autre passe en revue, chaque dimanche, le Top 50, pour égayer ses matinées de quelques séquences léguées à la postérité –ou pas !?!-, alors, pourquoi ne pas arrêter une démarche ludique ? –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Petit jeu amusant, donc, qui m’a ramené –tout-à-fait fortuitement, bien sûr– vers mes deux groupes favoris pour deux albums que j’ai toujours bien aimés. D’abord et surtout « Tattoo You », qui jouit d’une réputation plutôt flatteuse –si tard dans leur carrière : 1981, pensez-vous !– et, à mes oreilles au moins, pas usurpée ! La construction sur deux faces –33T oblige : le CD n’était encore qu’au stade de brouillon-, à l’époque, opposait une face A rapide à une face B -la meilleure à mon avis- plus lente. La tournée associée à cet album reste mon premier souvenir d’un concert des Rolling Stones –exactement : le dimanche 13 juin 1982, à Paris, déplacement à 4 dans une vieille R5…-.
« Kiss me kiss me kiss me » reste l’un des albums les plus ambitieux de The Cure –parution sous la forme d’un double 33T– : c’est très varié, alternant les megatubes comme « Just like heaven » et des chansons non moins belles, mais un peu restées dans l’ombre comme « If only tonight we could sleep », cette dernière bénéficiant d’une longue introduction à la guitare, plaintive et torturée.
Quant à Heather Nova, elle jouit d’une certaine popularité au tourment du millénaire, possède une jolie voix, chante des textes inspirés sur de belles mélodies, bien arrangées –cf. l’extrait en écoute ci-dessous-, même si elle est un peu oubliée, semble-t-il, de nos jours.
Enfin, la symphonie « Pathétique » de Tchaikovsky par Guido Cantelli est tout simplement formidable, dans un son plus qu’honorable de 1953, et entretient le souvenir d’un immense chef disparu trop tôt –à 36 ans, dans un accident d’avion– et que Toscanini voyait comme son successeur.
Finalement, le rouge a du bon 😀 !
Après plusieurs heures passées en compagnie de Sibelius, j’ai quitté le froid du grand nord pour retrouver un peu de soleil, avec cette playlist exclusivement baroque, mais néanmoins agréable –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Archiv est la branche « musique ancienne » –grosso modo, tout ce qui vient avant Haydn et Mozart– de Deutsche Grammophon. Ils ont toujours eu le chic de proposer des prises de son de qualité –mais les petits ensembles sonnent généralement bien sur une chaîne hi-fi, et sont plus faciles à enregistrer que les gros orchestres : il s’agit surtout de savoir garder la couleur de l’ensemble– et de fort jolies pochettes, qui donnent à leurs productions une forte identité visuelle et beaucoup de cohérence. La firme contribua également à la « renaissance baroque » à la fin des années 70, avec quelques artistes très engagés dans ce mouvement, mais, dès les années 50, avait ouvert une petite brèche.
Les concerti pour clavecin de Bach sont assez italianisants, la musique de table de Telemann, comme la première série des concerti grossi de Handel, proposent de jolies couleurs instrumentales et les pièces pour clavecin ou clavicorde de Bach par Kirkpatrick sont de belle facture.Evidemment, au bout d’un moment, tout ça finit par se ressembler un peu, mais il y a de fort belles choses. Un tout petit extrait pris au hasard est proposé juste en-dessous.