Entamée assez tôt ce matin –7h30 quand même-, cette playlist va me faire des amis dans le voisinage ! J’ai cependant veillé à ne pas élever le volume sonore au-delà du raisonnable des limites tolérables pour une cohabitation apaisée –et ça dort encore à poings fermés dans la maison-.
En même temps, même si la chaleur accumulée ces derniers jours s’est un peu dissipée, impossible quand même de rester couché –qui plus est, entre mon agenda chargé, même si aujourd’hui, c’est relâche, et des déplacements nombreux et parfois un peu longs, je dois être tout décalé…-.
La météo prévoit une amélioration pour aujourd’hui, ce qui implique une baisse bienvenue des températures, qui me convient très bien !
–Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand : il y a de bien belles et bruyantes vivifiantes choses dans cette playlist !-.
Chaque dimanche matin, Gilsoub allume une petite touche de nostalgie dans ses chroniques consacrées aux élus du Top 50, véritable institution d’une époque que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître.
Ses notules nous renvoient ainsi vers des musiques et des images parfois oubliées depuis longtemps, plus rarement –à ce stade de ses chroniques, au moins– vers des choses qui sont passées dans une postérité de court terme, comme aujourd’hui –d’autres verront dans un siècle ce qu’il en restera : pas sûr d’y retrouver grand-chose…-.
Du coup, ce matin, je me suis concocté ma traditionnelle playlist dominicale et matinale : elle est consacrée aux 80’s, avec des trucs qui sont restés, au moins pour moi : pas forcément des morceaux qui ont marqué le Top 50 –quoi que : plusieurs de ces titres ont magnifiquement cartonné dans les charts à l’époque de leur sortie-, mais des mélodies faciles et entêtantes, qui font de ces chansons des petits moments de bonheur pour entamer la journée dans la bonne humeur ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
A l’époque où elles se déroulaient, les 80’s avaient une réputation peu engageante –c’est toujours mieux avant, on le sait bien– : arrivée des boîtes à rythme, des synthés et des sonorités électroniques, simplification à outrance d’une musique déjà simple dans son essence, paroles généralement éloignées des problématiques sociales ou sociétales après une décennie marquée par l’emprise desdites problématiques de nombreuses mouvances de la « Pop Rock music » –c’est revenu un peu plus tard-… Avec le recul, et la nostalgie aidant –et l’évolution de cette musique vers des choses bien plus insipides, pour tout dire-, on s’y fait assez bien. Après tout, on y avait 20 ans !
Pour le plaisir, ajoutons un petit extrait de cette playlist, ci-dessous.
La matinée a débuté sous le soleil, l’été indien se poursuit et la chaudière reste éteinte à ce jour ! Une petite playlist –cliquer sur l’image pour pouvoir lire la liste– étonnamment assez chargée en interprètes français ce matin, mais la journée ne fait -presque- que commencer…
J’ai, entre autres, une découverte à écouter plus tard dans la journée : le Don Giovanni de Mozart en allemand : normalement, la prosodie du texte, en italien normalement, se prête assez mal à cette traduction, mais il paraît que c’est excellent -même si Mozart et excellent, ça ne va pas souvent ensemble, à mon avis . Wait and see !
Où l’on apprend que les lèvres de Mick Jagger –71 ans cette année, père et grands-père d’une tripotée d’enfants et petits-enfants plus ou moins grands– sont désormais -et pour la seconde fois, semble-t-il à la lecture de l’article- immortalisées, scientifiquement, et à jamais inoubliables à ce titre : le Jaggermeryx naira est entré ce jour dans tous les bons livres de paléontologie -mais pas encore sur Wikipédia, quel outrage !-…
Un passeport pour l’éternité, donc, qui s’ajoute à celui déjà utilisé pour symboliser par le logo officiel de son groupe -rappelons pour mémoire le nom d’icelui, avant qu’il ne soit oublié : The Rolling Stones-.
Pour bien démarrer le week-end, entamé depuis quelques heures déjà… L’été revient arrive petit à petit, la chaleur aussi, mais plus guère d’occasions d’en profiter désormais !
Edit tardif : surveiller vos écrans dans les temps à venir,la nouvelle, réjouissante, vient de tomber ce matin. Voilà un film à ne pas manquer, après déjà un excellent documentaire paru il y a quelques années. Bande-son tonitruante assurée, accompagnée d’éventuels démontages -et lancers- de sièges !
Ce matin, j’ai commencé la journée avec Black Sabbath, histoire de me mettre de bonne humeur pour toute la journée -et ça marche, malgré le gris du dehors-, pour ensuite établir la checklist des incontournables des vacances, à surtout ne pas oublier : appareil photo et sa batterie -la recharger avant-, les différents chargeurs des différents objets à emporter -et même, éventuellement : un imperméable-, penser à surtout prendre les clés de la maison de Bretagne ! Ça, c’est à peu près fait, et j’aime bien voyager assez léger lorsque je pars en vacances -une valisette me suffit, et il y a une machine à laver sur place-, mais la voiture sera bien remplie quand même 😀 !
Reste encore à faire avant la fin de la matinée : • passer chez le coiffeur, il paraît que j’ai une « coupe Jean Imbert » en ce moment 😕 • prévenir les voisins que leurs travaux sur chaudière -chez eux- ont entraîné une coupure d’eau du lavabo -chez nous- 👿 ! • acheter du liquide pour cigarette électronique, dans le cas où je ne trouverai pas ce que j’aime sur place.
Météo assez moyenne oblige, j’ai eu un peu de temps à consacrer à des écoutes nombreuses et variées ces derniers jours, comme en témoigne la playlist ci-dessous.
Décidément, l’été 2014 est meurtrier pour les musiciens ! Après Tommy Ramone et Lorin Maazel, voici que je viens d’apprendre le décès de Johnny WINTER. Grand bluesman devant l’éternel, le guitariste texan, qui n’aura pas développé la carrière prometteuse qu’il méritait en raison d’une santé précaire, est décédé hier 😥
Je l’avais découvert à la fin des années 70, avec l’excellent album live. Depuis la fin des années 60 -sa chanson « I’m yours and I’m hers » était la préférée de Brian Jones et fut reprise par les Rolling Stones lors du premier concert à Hyde Park, en 1969-, il promenait sa grande carcasse et sa guitare sur les scènes blues du monde entier, livrant un blues vigoureux et efficace.
Dans la rubrique commémoration, rappelons que cela fait 25 ans que Herbert von Karajan disparaissait, lui aussi… Commémoration célébrée par la réédition de nombreux de ses nombreux enregistrements : véritable poule aux oeufs d’or des maisons de disques qui l’éditaient -plus de 200 000 000 de disques vendus, sur le « marché de niche » de la musique classique, c’est énorme et au niveau des plus grandes stars de la Rock music-, ces enregistrements sont l’objet de rééditions multiples et de remastering dont certains sont remarquables, dont notamment sa première intégrale des symphonies de Beethoven avec le Philharmonia Orchestra de Londres, des années 50, qui nous revient dans une qualité de son magnifique, en 24 bits / 96 kHz. C’est entre sa période « Wunder Karajan » -le miracle Karajan, fin des années 30- et sa période « Europas General Musikdirektor » du début des années 60.
… ils ont mis un superbe solo de saxophone ! Généralement, c’est un solo de guitare, de qualité variable, qui termine les chansons, dans une formule restée célèbre depuis « Layla » de Clapton ou « Stairway to heaven » -plagiat- de Led Zeppelin, par exemple -on aurait pu citer aussi les ballades langoureuses et stéréotypées de Scorpions formule année 80 : couplet – refrain – couplet – refrain – solo 1 court – couplet – refrain – solo 2 long… : le meilleur exemple de la chose est « Lady Starlight » mais c’est aussi le moins connu…-.
Bref, quand le solo de guitare final est remplacé par du saxophone, ce n’est pas moins beau, ni moins mythique d’ailleurs, surtout lorsque c’est joué aussi bien que dans le second exemple du jour –mon coup de coeur des seventies, peut-être : magnifique sonorité, longueur de souffle...-. Mais l’exemple 1 est une très belle « chose » également, l’un des bijoux des 70’s !
Dans les 70’s, où les concerts « de masse » commencèrent à se multiplier, les plus heureux et les mieux servis furent sans doute les Japonais ! Il en restent des traces mémorables et célèbres, et de nombreux enregistrements ont immortalisé ces moments, donnant lieu à des albums mémorables. Le « Tokyo Tapes » de Scorpions, notamment, est tout-à-fait excellent, lorsqu’on sait comment ce groupe évolua par la suite -à savoir : assez mal…-, avec, en particulier, un guitariste de feu : Uli Jon Roth.
La ferveur du public japonais, qui découvrait alors ce style de musique, était, paraît-il, supérieure à celle de tous les autres publics… Etonnamment, les Rolling Stones n’y arrivèrent que fort tard -pas avant la tournée de 1990, pour des raisons de réputation sulfureuse et d’interdiction de séjour, les tournées prévues auparavant durent être annulées…-. Pour moi, ce qui suit en constitue l’un des sommets, un peu oublié désormais, mais plein de fraîcheur !
Après quelques exemples cités ici ou là, voilà que, dans ce cas précis, je préfère la copie à l’original ! Ce qui n’engage que moi 🙂 ! Et c’est un grand titre que celui-ci !!!
Hop, voici d’abord l’original…Voix un peu forcée, cuivres très -trop ?- présents, batterie trop en avant à mon avis. Le texte est néanmoins très intéressant et la mélodie facile d’accès et aisément mémorisable.
… et voici maintenant sa copie !Tempo un rien plus vif,instrumentarium rénové, voix plus souple, belle mise en oeuvre de la mélodie dans un contexte plus contemporain -léger halo de réverbération sur la voix-, mais peut-être moins intemporel…