Surprise de l’Avent • 2022-2
Vous retrouverez trois différentes facettes d’une même pépite ici. ENJOY !
Vous retrouverez trois différentes facettes d’une même pépite ici. ENJOY !
• Thin Lizzy – Life (Live)
• The Vietnam Veterans – On The Right Track Now
• Bizet – Carmen – OP Berlin ; Baltsa, Carreras – Karajan
• U2 – War
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En ce premier week-end de l’Avent, une surprise que vous ne trouverez nulle part ailleurs –à moins d’un miracle de Noël ?-vous attend ici.
Nous en étions restés aux agapes de l’autre jour, avec cette recette traditionnelle d’ici revisitée à la mode d’ailleurs –mais on ne sait d’où en réalité– : une jolie réussite gustative, à renouveler, mais pas forcément à l’occasion d’une fête d’ailleurs… –Cliquer sur l’imagette pour la voir en plus grand-.
La playlist du jour est associée à des souvenirs forts pour cette fois. Pêle-mêle, on y retrouve :
– une tournée mondiale durant laquelle je vis pour la première fois ce groupe, à Paris ;
– une tournée européenne d’envergure nettement moindre durant laquelle je vis ce groupe pour la première fois ;
– l’un des trois LP que je ramenais de mon premier voyage à Londres ;
– mon premier CD de musique classique à l’heure où ce support en était à ses tout premiers balbutiements.
• Van Halen – Women And Children First
• The Cure – Breakdown, Live Strasbourg 1982
• Beethoven – Symphonies n°5 et n°6 « Pastorale » – OP Berlin, Karajan
• The Rolling Stones – Live In Leeds Rounhay Park
–Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et remettre de l’ordre dans ces propositions-.
Aujourd’hui, dans la perspective des fêtes de fin d’année à venir –elles approchent en réalité à grands pas : le grand sapin de Noël local est déjà en place ! -, je commence à penser aux futures agapes et je vais me lancer dans la confection d’une choucroute non traditionnelle mais, je l’espère, suffisamment goûteuse pour être proposée en auguste société : une choucroute aux volailles et au Monbazillac. Ce qui changera quelque peu de la traditionnelle –et incomparable– choucroute impériale aux onze viandes, mais également à la choucroute de la mer proposée il y a quelques années.
Pour cela, j’ai été chez mon volailler préféré afin qu’il me prépare :
– des saucisses de canard ;
– des saucisses de volailles ;
– des suprêmes de pintade ;
A Noël, pour faire bonne mesure, il n’est pas exclu que je rajoute des filets de poulet ou de dinde, mais aujourd’hui, loin trop n’en faut.
J’ai pas ailleurs acheté du chou à choucroute en quantité suffisante pour deux ou trois personnes –que je vais cuisiner à la graisse de canard et non pas à la graisse d’oie-, quelques rattes du Touquet et une bouteille de Monbazillac. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
• Siouxsie And The Banshees – Once Upon A Time – The Singles
• Charlélie Couture – Poèmes Rock
• Chostakovich – Symphonie n°10 – OP Berlin, Karajan
• Fischer-Z – Red Skies Over Paradise
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Bonus jour férié !
• The Rolling Stones – Tattoo You (Deluxe Edition)
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• Bach – Variations Goldberg, version pour clavecin – Trevor Pinnock
• Stiff Little Fingers – Hanx ! Live
• Hubert-Félix Thiéfaine – De l’amour, de l’art ou du cochon
• Dimitri Chostakovich – Symphonie n°13 « Babi Yar » – Ch. & Orch. Radio de Bavière, Kirill Kondrashin
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La playlist de ce jour est consacrée à Alexandre Scriabine –très bon article à lire-, gentil loufoque passablement fantasque et résolument mystique, dont je vous avais déjà entretenu il y a un peu longtemps, à l’occasion d’un cadeau de Noël que j’avais rapidement épuisé dans son intégralité, mais vers lequel je ne suis, depuis, que ponctuellement retourné –il contient quelques merveilles, pourtant-.
Les quelques autres albums du compositeur qui parsèment ma discothèque sont tout aussi remarquables –même si celui de Pogorelich est un peu en-deçà des deux autres à mes oreilles– et c’est vers eux que je me suis tourné aujourd’hui. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Ne sont donc concernées, dans cette playlist, que des oeuvres issues du corpus pianistique, relativement abondant, du compositeur : sonates, études et autres préludes. Les premières compostions de Scriabine pour le piano sont encore très marquées par Chopin –extrait 1-. Par la suite, le compositeur s’extrait assez rapidement de cette influence pour proposer progressivement des oeuvres nettement plus hardies harmoniquement –extrait 2-, même s’il ne fut jamais un maître de la grande forme –la comparaison avec la sonate « Hammeklavier » de Beethoven, sur le dernier album, est presque cruelle à cet égard…-.
Passablement excentrique, Alexandre Scriabine est passé tardivement à la postérité et reste encore assez peu joué ou enregistré de nos jours : peu enclin à se plier au folklorisme russe, il fut, presque dès son décès, victime d’un assez intense dénigrement, pour son mysticisme et pour son amitié profonde avec Vladimir Plekhanov –menchevik qui contribua à introduire le marxisme en Russie et tomba en disgrâce auprès des bolcheviks lors de la révolution d’octobre 1917– de la part du régime soviétique dès sa création. Politique et art font décidément mauvais ménage…
Avec un peu de retard et après une copieuse mise à niveau de WordPress, vous trouverez la surprise mensuelle de novembre ici. Comme traditionnellement, la surprise précédente disparait désormais du serveur.
Jolie pièce dans une interprétation remarquablement vivante –mais sans outrance– et vivement colorée de couleurs chatoyantes, aux bois comme aux cuivres ! De quoi habiller joliment la grisaille automnale qui commence à s’installer…
ENJOY !
Je suis arrivé à la fin de mon périple à l’opéra entamé la semaine dernière, avec cette playlist « historique » constituée de deux albums légendaires, enregistrés l’un –Hänsel und Gretel– dans une mono optimale, l’autre –Les noces de Figaro– dans une stéréo à ses premiers balbutiements. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Depuis la parution initiale de ces deux albums –1953 pour Humperdinck et 1956 pour Mozart (dans le cadre de la célébration du 200ème anniversaire de sa naissance)-, les deux oeuvres ont connu de très nombreuses autres versions, dont certaines tout-à-fait remarquables –et même parfois plus idiomatiques concernant l’opéra de Mozart-, mais je reste très attaché à ces deux albums, remarquablement dirigés et très bien chantés l’un et l’autre.