C’est toujours l’été malgré la pluie et les petits 16° de ce matin… La playlist du jour est également estivale, avec un détour par la Provence et la Séville, dans un très beau CD, d’un chef qui profita sans doute plus que tout autre –à l’exception notable de Karajan– de l’apparition du CD pour enregistrer de nombreux disques avec son orchestre de Montréal, durant une idylle qui tourna court –il est désormais quasiment persona non grata là-bas, mais on s’en fiche un peu, ce qui reste de cette époque est vraiment d’une belle et constante qualité, et dans des prises de son généralement formidables, comme en atteste l’extrait proposé ci-dessous…-.
Pour le reste, le sud n’est clairement pas ma destination favorite, je ne descends quasiment plus jamais –sauf obligation professionnelle– en-dessous d’une ligne qui irait du Territoire de Belfort au Morbihan, c’est vous dire… Nonobstant, la chanson de Nino Ferrer est superbe et justement passée à la postérité.
L’été, c’est aussi la saison des festivals, dans tous les domaines, et je ne voudrais pas me priver des deux témoignages présentés ici ! –Cliquer sur l’image pur la voir en plus grand-.
Au terme d’une longue et laborieuse journée, je me suis fait un petit cadeau, ce soir, en souvenir d’un des très bons concerts auquel je me suis rendu, il y a quelques années !
Bon –et juvénile– public, voyage en train en compagnie de quelques « corbeaux » venus eux aussi pour l’occasion et dont il n’était pas difficile de savoir où ils allaient, très joli cadre, excellente première partie, show de qualité malgré le split à venir quelques semaines plus tard et quelques tensions perceptibles sur scène…
Bref, j’avais beaucoup –beaucoup !-apprécié ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand et sur l’extrait sonore pour participer, à votre manière, à ce concert…– !
Décidément, cette semaine termine comme elle avait commencé, sous le signe de l’intelligence artificielle. On a déjà appris, avant-hier et quelques jours auparavant, que les robot et les ordinateurs étaient plus « intelligents » que nous… Mais alors, que va-t-il nous rester, demandais-je ? Et ben… Même plus le sexe, en tout cas ! Le robot attire, si si !!! Comment ? Pas vous ? Pffff, z’êtes des has been 😉 !
Après l’intelligence artificielle, les paradis artificiels… Ah non, ça, c’était l’apanage des musiciens du Jefferson Airplane, dont le guitariste-fondateur, Paul Kantner, est décédé aujourd’hui. Dernièrement, j’avais réécouté « Surrealistic Pillow » : la guitare un peu planante à la voix aigrelette, c’était lui. 2016 se poursuit donc sur une lancée très funeste… The CookingCat m’a fait remarquer que « Tiens, tu n’as pas encore parlé de Keith Richards comme candidat potentiel, aujourd’hui… » !
Allez, pour me remettre de cette seconde d’émotion intense et terminer cette semaine en beauté, une jolie playlist pour accompagner cette soirée. Dans le lot, il y a quand même un CD moyen, je vous laisse décider du quel il s’agit 😉 ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Après une longue journée de labeur et un début de soirée consacré à dépanner en ligne deux ordinateurs paraît-il en panne –sachant que 95% des probeèmes sont situées entre la chaise et le clavier, ce qui a encore été confirmé ce soir…-, une jolie petite chanson à voir et à écouter…
Extrait de leur dernier album studio à ce jour –2008, déjà…-, dans une formule en quatuor sans clavier que j’aime assez –en concert, c’était invariablement excellent, dommage que l’album manque quelque peu d’inspiration-.
Tout en m’ébahissant –la langue pendante, forcément, puisque je suis ébahi-devant la dextérité de l’homme et celle, plus grand encore de la machine, pour résoudre la reconstruction des six faces d’un Rubik’s cube, je profite de cette bien aguichante playlist –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. Les Bruckner sont écrasants, exactement comme j’aime, et d’une plénitude rare ! Les deux autres albums, forcément plus légers, sont des compléments bienvenus…
En même temps, mes lectures actuelles m’amènent à réfléchir, en vain, à la résolution de la quadrature du cercle à la règle et au compas –cf. barre de menu à droite : le précis de géométrie est très agréable à lire, si si, je vous assure !-.
Finalement, la semaine que je pensais allégée ne l’a pas été, jusqu’à présent, autant que je l’imaginais ! Donc, ces derniers jours, mes oreilles sont restées un peu en souffrance, même si quelques jolies mélodies sont venues les réconforter… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
En extrait, ce petit bijou en ligne directe des années 80 : une des très belles productions de l’époque, même s’il ne s’agit pas, de loin, de la plus connue ! Le groupe, cependant, a toujours connu une réputation enviée, malgré sa grande discrétion.
Aujourd’hui, n’ayant aucune envie très particulière autre que d’écouter de jolies choses, je me suis donné comme thème «Pochettes rouges». Ainsi, cela m’a conduit à la constitution de cette playlist, des plus avenante finalement, pour accompagner une partie de la matinée, qui va durer longtemps, passage –mortel– à l’heure d’hiver oblige…
Après tout, un certain joue le jeu du classement alphabétique pour entretenir ou raviver sa curiosité, pendant qu’un autre passe en revue, chaque dimanche, le Top 50, pour égayer ses matinées de quelques séquences léguées à la postérité –ou pas !?!-, alors, pourquoi ne pas arrêter une démarche ludique ? –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Petit jeu amusant, donc, qui m’a ramené –tout-à-faitfortuitement, bien sûr– vers mes deux groupes favoris pour deux albums que j’ai toujours bien aimés. D’abord et surtout « Tattoo You », qui jouit d’une réputation plutôt flatteuse –si tard dans leur carrière : 1981, pensez-vous !– et, à mes oreilles au moins, pas usurpée ! La construction sur deux faces –33T oblige : le CD n’était encore qu’au stade de brouillon-, à l’époque, opposait une face A rapide à une face B -la meilleure à mon avis- plus lente. La tournée associée à cet album reste mon premier souvenir d’un concert des Rolling Stones –exactement : le dimanche 13 juin 1982, à Paris, déplacement à 4 dans une vieille R5…-.
« Kiss me kiss me kiss me » reste l’un des albums les plus ambitieux de The Cure –parution sous la forme d’un double 33T– : c’est très varié, alternant les megatubes comme « Just like heaven » et des chansons non moins belles, mais un peu restées dans l’ombre comme « If only tonight we could sleep », cette dernière bénéficiant d’une longue introduction à la guitare, plaintive et torturée.
Quant à Heather Nova, elle jouit d’une certaine popularité au tourment du millénaire, possède une jolie voix, chante des textes inspirés sur de belles mélodies, bien arrangées –cf. l’extrait en écoute ci-dessous-, même si elle est un peu oubliée, semble-t-il, de nos jours.
Enfin, la symphonie « Pathétique » de Tchaikovsky par Guido Cantelli est tout simplement formidable, dans un son plus qu’honorable de 1953, et entretient le souvenir d’un immense chef disparu trop tôt –à 36 ans, dans un accident d’avion– et que Toscanini voyait comme son successeur.
L’heure qui vient s’annonce agréable –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand : l’embêtant, avec ce format d’image, c’est que ça oblige à écrire une notule un peu longue et donc à faire du remplissage, sinon, l’article est moche esthétiquement…-, j’ai créé une petite playlist un peu variée -vous pourrez profiter d’un petit extrait assez peu connu en fin d’article, dans le contexte de la playlist, c’est facile à deviner…– totalement « athématique » mais plutôt inscrite sous le signe d’une relative quiétude dans les sonorités –quoi que : Joey Ramone quand même…– pour débuter ce week-end, qui ne sera pas très ensoleillé paraît-il. Les foires au vin ayant débuté un peu partout, ce temps d’automne semble bien adapté néanmoins 😆 !
Je cherche notamment, pour les temps qui viennent :
• un Crozes-Hermitage –mon vin rouge préféré, assez facile à servir avec un peu tout, ce qui est du dernier pratique : n’ayant pas de cave à vin et pas toujours de temps à consacrer aux assortiments de dernière minute, un vin un peu « universel » est presque indispensable– à prix abordable –ça devient assez difficile, les prix ont eu tendance à s’envoler ces dernières années pour cette appellation : rançon du succès ?- ;
• un petit Edelzwicker –vin blanc local, la qualité peut en être très variable, mais c’est un vin de soif ravissant pour accompagner le quotidien-. De quoi occuper une partie de la matinée, donc…
Est-ce la fin toute proche de l’été qui veut ça ? Ce matin, c’est une petite playlist très agréable et reposante, un peu en mode doux-amer qui a accompagné ces premières heures dominicales, avant que je ne m’attelle à quelques symphonies de Chostakovich, dont l’écoute est déjà programmée. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Allez, pour le plaisir de la découverte ou de la redécouverte –c’est un peu oublié de nos jours-, un petit extrait…
Hier, je me suis fait plaisir en écoutant les neufs premiers quatuors de Beethoven, qui sont à la musique ce que l’Everest est à l’Himalaya –cliquer sur l’image pour la voir en grand et vous rendre compte que la pochette trahit un cruel manque d’inspiration-…
Il m’en reste encore 7 à écouter avant la fin des congés –soit ce soir-, mais ce ne sera pas possible, ce sont souvent les plus longs et les plus denses, d’un accès plus difficile, qui ne supporteraient pas une écoute inattentive ou déconcentrée…
Un petit extrait pour vous faire une idée…
Du coup, ce matin, pour me détendre les oreilles, je suis passé à des choses un peu plus variées -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-…
Avec un autre petit extrait de cette playlist, très différent du premier…