Devinette sportive -et difficile-

Même si elle est difficile, la devinette du mois n’est pas insurmontable !

L’image proposée en support illustre le palmarès d’un sportif né à Strasbourg, toujours actif à ce jour, et, vous le constaterez, c’est l’un des plus beaux palmarès du sport français : déjà 34 médailles glanées tout au long de sa carrière, dont 24 en or !
Indices supplémentaires : il pratique un sport de combat, qui n’est pas le judo cependant.
Questions : dans quel sport ce sportif s’est-il illustré ? Et, d’ailleurs, qui est ce sportif ?

A vos claviers !

Playlist « Grands classiques du répertoire »

La playlist du jour est consacrée à des oeuvres « du grand répertoire », de celles que l’on recommande généralement au « mélomane débutant » pour appréhender la « musique classique » en y trouvant plaisir sans crainte d’aborder une oeuvre trop difficile : vous les trouverez dans toutes les listes du genre « 101 oeuvres pour débuter en musique classique »… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Toutes ces oeuvres sont en effet des chevaux de bataille du répertoire de leur genre et les bonnes interprétations, qui sont légions –et celles-ci en font partie– leur permettent d’échapper aisément à la mièvrerie et suscitent l’intérêt de bout en bout. 

De quoi accompagner très agréablement une après-midi de télétravail !

Atavisme félin

Hier soir, sur une chaîne TV du service public français, ils diffusaient une émission réalisée par une chaîne du service public anglais, traitant des félins.

Miss Moneypenny, d’habitude totalement indifférente aux écrans, par les miaulement de jeunes léopards attirée, s’est soudainement montrée vivement intéressée, pendant près d’un quart d’heure, à cette émission et a pleinement participé au spectacle, suivant les félins virtuels de gauche à droite et de droite à gauche, ou allant les chercher derrière l’écran lorsqu’ils disparaissaient de celui-ci… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Je vais lui acheter des lunettes 3D !

Surprise bucolique

Le contenu de la surprise mensuelle m’évoque immanquablement les ambiances champêtres et bucoliques, et semble tout-à-fait adaptée à l’arrivée proche du printemps : dehors, depuis quelques jours et avec quelques semaines d’avance, des fleurs apparaissent et des bourgeons bourgeonnent.

Vous pouvez la télécharger ici, où elle vient remplacer celle du mois dernier qui est retirée. Du fait d’un agenda très chargé en ce moment –et cela ne va pas s’arranger pour les semaines qui viennent…-, elle est cependant livrée brute de décoffrage. ENJOY !

Playlist « Karli, sac de patates »

Pour comprendre le titre de cette notule, il vous faudra d’abord vous rendre vers cette autre, déjà relativement ancienne, où le chef est traité de « sac de patate, n’ayant jamais dirigé une seule mesure de musique dans toute sa vie » !

Karl BÖHM, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est très loin d’être mon chef préféré, mais il vaut tout de même –beaucoup– mieux que ces considérations vachardes, et le playlist entamée ces derniers jours en est la preuve. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Trop jeune pour faire partie des « grands anciens » mais trop âgé pour être reconnu comme un « Wunder Dirigänt » au sortir de la seconde guerre mondiale, « Herr Professor Doktor » Karl Böhm –qui était docteur en droit et tenait beaucoup à ce titre !– a cependant beaucoup enregistré, notamment avec l’orchestre philharmonique de Vienne, et représente l’image même du Kapellmeister un peu égaré dans le dernier quart du 20ème siècle.

Tous les albums présentés ici ont été enregistrés plutôt au soir de la carrière du chef, et tranchent assez nettement –notamment dans les symphonies de Beethoven et de Mozart– avec les enregistrements plus précoces –nettement plus vifs et acérés– que l’on peut trouver des mêmes oeuvres. Les intégrales Beethoven et Mozart sont très classiques dans le meilleur sens du terme, équilibrées et sans excentricité, mais sans grande passion non plus. Nonobstant, ses interprétations des symphonies de Mozart ont mieux résisté à l’usure du temps que d’autres versions de la même époque, et la symphonie « Pastorale » est un remarquable témoignage de l’art du chef.

De même, ses enregistrements bruckneriens sont excellents à mes oreilles –et préférables, selon moi par exemple, à ceux de Celibidache !-. Vous pouvez écouter sa très belle version de la quatrième symphonie en ligne dans de très bonnes conditions.

Bref, voilà de quoi entamer le week-end de belle manière !