Playlist « Troisièmes en série »

Profitant d’une matinée de télétravail, j’ai opté pour l’écoute, dans l’ordre de leur composition, d’une série de troisièmes symphonies, ce qui n’a pas été si aisé que cela, sachant que je n’aime pas beaucoup la troisième symphonie de Brahms, ni, curieusement, celle de Sibelius –qui est celle du compositeur finlandais qui me résiste le plus avec la 1ère– ni celle de Tchaïkovsky et que je ne connais pas assez bien celles de S(c)hostakovich et de Prokofiev pour ne pas être perturbé dans mon travail –je serais obligé de lever l’oreille trop souvent…– !

Restaient, donc –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– celles de Beethoven (1803-1804), Mendelssohn (1829/1842), Bruckner (1873/1876-1877/1888-1889) et Mahler (1895-1896), cette dernière en Blu-Ray Audio de très belle qualité sonore. Pour ne pas gâcher le plaisir, chaque symphonie bénéficie d’une excellente version dans cette playlist.

Folk-Grunge Canerican !

Neil Young se définit lui-même comme un Canerican, un Américain du Canada : il a lui-même formalisé ce concept dans une chanson figurant sur l’un de ces derniers –à ce jour– et excellent album « Barn »,  dont je pensais vous avoir parlé il y a quelques temps, mais en fait, non ! Mais je vous en avais présenté un extrait, formidable à mon avis, ici.
Sa discographie est pléthorique –45 albums– et inégale, les pépites –le plus souvent avec son groupe Crazy Horse– côtoient des albums que l’on a du mal à écouter en entier et qui ne laissent aucun souvenir une fois entendu.
Les quatre albums du jour, enregistrés sur une période de près de 50 ans –dans l’ordre de présentation : 1972 ;  1979 ; 1996 ; 2021-, sont, chacun à sa manière, excellents et inoubliables. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
En bonus, l’une de ses meilleures chansons à mes oreilles, qui ne figure pas sur l’un des quatre albums du jour, mais que je trouve exceptionnelle !

Devinette un peu difficile : la solution !

J’avais soumis à votre sagacité cette devinette, restée en rade depuis quelques temps déjà, et que j’avais quelques peu oubliée. Mon immense talent de bassiste ne vous a pas permis de trouver la solution, que je vous livre à l’écoute ci-dessous !

Vous n’écouterez plus jamais cette ligne de basse de la même oreille désormais !

Grandeur et misère de la fonction publique…

Message apparu hier, lors de la saisie mensuelle de mes frais de déplacement… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. 

Y’a plus d’sous, diantre ! Je vais rédiger un courrier de réclamation à mon ministre de tutelle, du type : « Les déplacements reprendront à réception des crédits supplémentaires octroyés. Les ordres de mission seront honorés après le paiement des quelques centaines d’euros actuellement en attente au titre du trimestre échu » !!! 

Y’a plus d’saison !

Malgré le vent soufflant fort ces trois deniers jours, un ciel passablement maussade, des journées raccourcies –et encore raccourcies du fait du décalage horaire…– et des températures en baisse notable –15°C aujourd’hui, au moment où j’ai pris cette photo-, les arbres du parc voisin de notre appartement n’arrivent pas à perdre leurs feuilles cette année !

Playlist « Cette année-là – 2002 ».

Handel – Water Music ; Royal Fireworks Music – Le Concert Spirituel, Hervé Niquet
John Mayall And The Bluesbreakers – Stories
Blondie – Greatest Hits
Mahler – Symphonie n°2 « Résurrection » – OP Vienne, Gilbert Kaplan
Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist « Beethoven HIP ou presque »

Après la récente playlist Beethoven à l’ancienne, voici que je m‘attaque désormais à une playlist proposant des interprétations de Beethoven un peu plus récentes et prenant en compte l’évolution des données de l’historiographie de la musique.-Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Symphonies n°1 & 2 – The Academy Of Ancient Music, Hogwood – 1983 ; 1984
Symphonies n°3 & 4-Orchestre révolutionnaire et romantique – Gardiner – 1993
Concerto pour violon – Tezlaff, DSO Berlin, Ticciati – 2019

J’apprécie de plus en plus la deuxième symphonie, désormais, et je trouve qu’elle supporte très bien ce traitement… Et j’aime toujours autant la quatrième symphonie, cette « frêle dame grecque prise entre deux dieux nordiques » selon le mot de Schumann.

Surprise volatile !

C’est une surprise copieuse qui vous attend ici pour ce mois de novembre, en lien avec une actualité déjà un peu lointaine –septembre 2023-. Le titre de cette notule peut éventuellement vous donner une piste –lointaine elle aussi...- quant à ce que vous découvrirez !
Il me semble ne vous avoir jamais présenté son contenu, mais c’est normal, je l’ai moi-même découvert assez tardivement et je n’y reviens pas souvent.
ENJOY !
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