Playlist 30 ans et 1 jour déjà !

Evidemment, comme tout le monde en parle très largement, et que des reportages parfois très intéressants ont été publié ou diffusé, je ne vais pas en remettre une couche ! Mais j’ai tiré de l’événement une playlist extrêmement nourrissante et un peu longue, qui va m’occuper toute la matinée et bien au-delà ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Trois concerts, donc, dont un, celui de Lou Reed, raconte une sordide histoire se déroulant à Berlin dans les années 70 –l’album orignal, très controversé : on l’aime beaucoup ou on le déteste profondément…– était paru en 1973, et ce concert, qui redonne vie à l’intégrale de ce « concept-album », fut enregistré à Brooklyn en 2006, avec de très bons musiciens, dont l’un ou l’autre survivant des sessions de l’enregistrement original, un petit orchestre et des choristes. Très belle évocation d’une certaine faune berlinoise, quoi qu’il en soit !

Rogers Waters enregistra également, à Berlin, avec toute une pléiade d’invités prestigieux –Marianne Faithful, The Scorpions, Ute Lemper, les choeurs et l’orchestre de la radio de Bavière…– un « remake » du très connu « The Wall » des Pink Floyd. Là encore, l’oeuvre est donnée dans son intégralité et, à la fin, le mur patiemment construit durant le show, est détruit dans un éboulement assourdissant. La longue liste des invités et une scénographie très intéressante permettent de redonner vie à l’album peut-être le plus complexe à appréhender de Pink Floyd, malgré ses facilités musicales.

Enfin, The Cure enregistrèrent un mega-concert au Templehof de Berlin, en 2002, reprenant l’intégralité de leurs trois albums emblématiques : Pornography, Disintegration et Bloodflowers –et, comme si cela ne suffisait pas, deux longs morceaux en rappel– , qui, selon Robert Smith, constituent une trilogie conceptuelle –c’est lui qui le dit…-. Lors de ce très long concert, le groupe apparaît soudé comme jamais, joue superbement et propose un show des plus abouti : superbes lumières, beaux décors d’arrière-plan et une mise en boîte de très belle qualité, tant au niveau du son que de l’image.

Chouette playlist commémorative !

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250 ans et un logo original !

2020, c’est-à-dire presque demain, sera l’année de commémoration des 250 ans de la naissance de Beethoven et, à cette occasion, un logo a été réalisé pour marquer cet événement, en partenariat avec le musée Beethoven de Bonn, lieu de naissance du compositeur. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Directement inspiré de la signature du compositeur, qui gribouillait vite plus qu’il n’écrivait –étant sourd, il écrivait/griffonnait beaucoup dans ses « cahiers de conversation », qu’il transportait partout avec lui et qui constituent une mine d’informations ou d’anecdotes pour les historiens et autres musicologues– et avait donc supprimé les voyelles de son nom dans nombre de ses écrits, le logo officiel –cf. imagette de gauche– fleurit déjà un peu partout en Allemagne, où de nombreuses festivités seront organisées à cette occasion –les deux images de droite-. En arrière plan dans les lettres se cache un portait archi-célèbre du compositeur, réalisé par le peintre allemand Josef-Karl Stieler en 1819-1820.
La lisibilité de ce logo a été testée dans cinq pays, dont la France, mais également la Chine : il doit notamment mettre en valeur le caractère universel du génie de Beethoven, mais aussi la vitalité et le caractère avant-gardiste du compositeur –c’est eux qui le disent...-.

En corollaire de cet événement, j’ai déjà repéré pas moins de quatre coffrets plus ou moins luxueux de l’édition intégralissime des oeuvres du compositeur, parus très récemment ou à paraître très prochainement. L’un d’eux, en particulier, me fait de l’oeil avec insistance et je risque de vous en parler très prochainement…

Vue panoramique…

Il ne reste plus qu’à repeindre la porte, qui jure avec le reste… C’est prévu pour un peu plus tard, puisque toute les portes sont dans le même cas ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Yapuka tout ranger, chose relativement aisée désormais, dès lors que le mobilier le permet ! J’en profite pour faire du tri, hier, j’ai compté que j’avais 14 chemises blanches, sans même compter les autres… Certaines ont finir dans une benne à vieux habits !

Mes armes du moment…

Ajoutez-y une once de patience et beaucoup d’huile de coude ! La boîte rouge, au milieu, est en prévision du décryptage des notices –notamment l’installation des portes coulissantes…-, dont la lisibilité toute en dessins vient parfois heurter mon esprit cartésien… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Hier, j’ai monté les 9 tiroirs seul, et assez rapidement, puis, avec Mini-Nain, nous avons monté les quatre portes vitrées –4 vitres à installer dans des rails et à insérer dans un cadre métallique pour former une porte, puis des roulettes qui viendront coulisser dans des rails, à visser sur les cadres– : près d’une heure pour la première, moins d’une demi-heure pour les trois suivantes :  une fois que le principe est acquis, ça va finalement assez vite !

Je me suis également « amusé », ce matin, à monter un caisson (2,36m x 1m) tout seul, il m’a fallu une heure bonne mais je voulais voir si c’était faisable tout seul, ce que je confirme. Sauf que c’est long et un peu complexe à manipuler, les planches étant lourdes –le caisson vide fini pèse 51 kilos-. A deux, ça doit pouvoir se faire en une vingtaine de minutes –le plus long étant de planter les 47 clous du fond : je crois que je vais essayer de trouver une cloueuse…-.

Donc : relâche jusqu’à mercredi, où j’aurai un compagnon de jeu efficace !

Décalage horaire…

Ce matin, je me lève, tout, guilleret, vers 05:30, comme à peu près chaque jour depuis quelques temps –j’aime bien travailler le matin tôt, quand je sais que je ne serai pas dérangé : très efficace ! -, lorsque TheCookingCat me dit :

« Mais qu’est-ce que tu fait, ça ne va pas bien ? Tu ne vas quand même pas déjà te lever, il n’est que 04:30, on a changé d’horaire, cette nuit ! ».

Du coup, je me suis levé quand même –pour la laisser dormir tranquillement-, et me suis obligé à rester paisiblement allongé sur le canapé du salon, en écoutant l’excellent album, très bien enregistré de surcroît, dont vous pouvez pouvez admirer la très belle pochette sur l’imagette de droite –un surhomme nietzschéen parcourant l’espace : c’est très approprié…-.
Il faut que je profite de ce petit temps à consacrer à mes oreilles, parce qu’elles sont un peu négligées en ce moment, travaux de rénovation / embellissement obligent. J’ai encore traîné un petit quart d’heure avant d’attaquer mon café.

En ouvrant les volets, à 06:45 –nouvelle heure-, le soleil était déjà présent : normal, il se lève à l’est, comme chacun sait !

Des cartons partout !

Le dressing commandé est arrivé en kit de 54 lots exactement, dont les quatre plus lourds pèsent 59 kilos chacun, le petit caisson ne pèsant « que » 47 kilos… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. On trouve dans tout cela des tringles, des vitres, divers montants et des centaines de vis et autres accessoires…

Evidemment, il y a désormais des cartons partout, pour rajouter un peu de désordre au bazar qui régnait déjà !!! Pour l’instant, histoire de me faire la main, j’ai monté 5 tiroirs, ça se réalise aisément tout seul. Demain, nous serons deux pour assembler les portes vitrées, livrées en kit elles aussi, puis, mercredi, ce sera le gros oeuvre : le montage et l’assemblage des caissons. Je ne serai pas déçu quand tout cela sera achevé !

Selon les tutoriels vus ici ou là, le montage varie entre un peu moins de deux heures et trois semaines pour monter et assembler 5 caissons… Je compte sur une grosse demi-journée de travail, sachant que j’aurai déjà assemblé les portes vitrés et les tiroirs les jours précédents.

Il nous restera ensuite tout le week-end prolongé pour tout ranger !

L’histoire sans fin…

Ça faisait longtemps que je n’avais plus évoqué la folle histoire du Brexit, que je suis avec un très vif intérêt depuis trois ans déjà… Il faut dire qu’il s’en passe de belles à la Chambre des Communes, de tergiversations en vaines querelles, et que les Britanniques ne semblent toujours pas savoir ce qu’ils veulent, tout en sachant ce qu’ils ne veulent pas…

Les débats des derniers jours, que l’on peut suivre en direct ou en différé sur le site des Commons, est néanmoins très intéressant, et, souvent, de bonne tenue, avec, régulièrement, une pointe de cet humour typiquement british, même dans les circonstances les plus difficiles. Pourvu que ça ne dure plus trop longtemps, cependant !

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