Playlist « Aurores boréales »

Levé avant l’aube malgré –ou à cause ?! du décalage horaire-, j’écoute tranquillement cette playlist consacrée à un chef qui s’est énormément et constamment préoccupé d’enregistrer des oeuvres de musiciens issus « du Grand Nord », du fait, notamment qu’il est estonien, et donc investi d’une mission pour populariser la musique issue des états baltes et scandinaves ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Avec l’excellent orchestre symphonique de Götenborg –Gothenburg en suédois-, dont il fut titulaire pendant plus de 20 ans –de 1982 à 2004-, Neeme Järvi, désormais âgé de 83 ans mais toujours actif, a enregistré tout au long de sa carrière, d’innombrables disques consacrés à des musiciens alors peu connus –hors Sibelius, Grieg et, dans une moindre mesure le Danois Carl Nielsen– en proposant des pièces d’ampleur modeste –sur l’album « Aurore », on l’on trouve des piécettes d’Alfvén de Larsson ou encore de Järnevelt– mais également des oeuvres plus ambitieuses, comme, dans cette playlist, les symphonies ou la Fantaisie « Excelsior ! » de Stenhammar.
Tout n’est évidemment pas exceptionnel dans certaines pièces de circonstance, mais rien n’y est indigent non plus, et le premier album présenté s’écoute avec beaucoup de plaisir.

La musique de scène de « Peer Gynt », de Grieg, est livrée ici dans une version plus longue –mais non intégrale– que les traditionnelles suites pour orchestre que l’on entend habituellement, avec chanteurs et choeurs.

Les symphonies de Nielsen trouvent ici une excellente interprétation, puissante mais sans emphase, et dans une très bonne prise de son. Je n’ai pas de point de comparaison pour le disque consacré à Stenhammar, mais j’ai beaucoup apprécié sa deuxième symphonie –la seule du compositeur à faire partie de son catalogue officiellement publié : il renia la première et l’in ne possède que des fragments d’une troisième, inachevé-, fortement influencée par Sibelius.

Une bien belle matinée !

Une montre pour un balai !

Dernièrement, et comme chaque année à la même époque, j’ai rajouté un balai supplémentaire à ma collection, déjà passablement chargée. Généralement, à cette occasion, je me faisais offrir des CD, piochés au sein d’une wishlist plus ou moins fournie, mais que je n’ai justement pas eu le temps de fournir ces dernières semaines !

Cette année, c’est donc une jolie montre que j’ai choisie. En effet, celle qui ornait jusqu’à présent mon bras droit –habitude prise il y a longtemps, lorsque je jouais au tennis et parce que je suis gaucher– donnait ponctuellement et depuis quelques temps de drôles de signes de faiblesse, malgré un changement de pile relativement récent : sporadiquement, elle s’arrêtait tout simplement de fonctionner.
Après quelques recherches, mon choix s’est porté sur celle-ci, noire et dorée, très jolie –selon mes goûts-, et relativement discrète.

Et même pas connectée ! On peut être à l’heure sans être au goût du jour !

Un sapin comme marronnier…

C’est à lire ici, avec moults détails concernant les mensurations du concerné, par exemple, mais aussi la technique d’emballage… Rien n’est dit à cette heure du décor qui ornera son pied, ni d’ailleurs du décorateur retenu cette année, ou alors cela m’aura échappé.

Dans moins d’un mois –le 26 novembre-, réouverture –édition 2020 annulée...- du Christkindelsmärik, pour un mois exactement ! On verra si, malgré la désormais fameuse « crise sanitaire », les festivités se dérouleront comme traditionnellement, avec multitude de touristes venus des quatre coins du monde –ça m’étonnerait concernant ce point précis…-et foules des grands jours…

Retrouvailles tant attendues !

Cela faisait plus de trente ans que je cherchais à retrouver ce magnifique thème musical qui me trottait sporadiquement dans la tête –et que je vous laisse découvrir ci-après : à mon avis, ça vaut un coup d’oreilles ! – et dont je n’avais jamais réussi à retrouver le titre.

J’avais enregistré cette oeuvre sur cassette à partir de la collection de LP de mon oncle, qui possédait la plus riche collection de disques qu’il m’ait été de connaître, et qui me faisait régulièrement partager ses trouvailles, généralement importées d’un peu partout dans le monde, à une époque où internet n’existait pas encore et où la musique classique ne constituait pas encore la majorité de mes écoutes !
Evidemment, mon stock de cassettes a disparu depuis bien longtemps, mais ce très bel air est resté durablement ancré dans ma mémoire, et je fouillais sporadiquement dans ma discothèque pour le retrouver, sachant à peu près dans quelles directions chercher… C’est désormais chose faite depuis ce matin !

Trop content je suis !!!

Playlist « Bonne humeur »

Pour bien commencer la journée, une assez courte playlist pleine de bonne humeur, comprenant notamment l’un des tout meilleurs albums –trop méconnu malheureusement– de rock français et deux autres albums remplis d’allégresse. Jubilatoire !Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

👿Les ligues féministes de vertu vont me tomber sur le paletot pour avoir osé montrer la pochette de « Smell Of Female » … Quand on sait qu’en plus l’album contient un excellent titre intitulé « Faster Pussycat » !!!

Playlist « raretés (relatives…) »

En ce début de dimanche matin à la météo bien morne –le ciel est bas, le brouillard tarde à se lever et on ne devrait pas voir le soleil de la journée…-, une playlist entamée quasiment au pied du lit, donc fort tôt, est déjà en train de s’achever ! Elle est composée de raretés relatives, que l’on peut dégotter sans trop de peine , en cherchant un peu, lorsqu’on sait qu’elles existent. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

De l’album des Cure, je n’ai écouté que les versons acoustiques de ce double best of : ça ne change pas fondamentalement les choses, mais les chansons, bien choisies, résistent étonnamment bien à ce traitement et Robert Smith est un excellent chanteur ! –Cf. extrait ci après, mais également l’extrait vidéo, un peu pus tardif mais réalisé selon le même concept et avec le même instrumentarium  en fin de notule, dont la chanson ne figure pas sur le disque-.

Le live des Cranberries a été enregistré à Milan en 2010, le son en est relativement décent, même si la voix, par moments, est un peu lointaine. Le groupe, dans ces années-là, se produisait triomphalement à travers l’Europe, et l’ensemble est de fort belle tenue !
Enfin, Paradiso est un concert de Joy Division enregistré au Club Paradiso d’Amsterdam le 11 janvier 1980, et c’est sans doute le plus connu des enregistrements pirates du groupe, et probablement le meilleur, puisqu’il bénéficie de très bonnes conditions techniques. La prestation du groupe n’est pas impeccable : pas mal de pains à la basse ou à la guitare, mais la voix de Ian Curtis reste toujours aussi prenante et l’enchaînement de la set-list est implacable ! J’aurais bien aimé y être –je n’ai découvert le groupe qu’en 1981, quand il n’existait déjà plus…-.

La cancel culture frappe les Rolling Stones !

Le phénomène n’est pas nouveau, la cancel culture atteint depuis quelques années le monde de la musique : ainsi, par exemple, l’Opéra de Paris avait débaptisé, il y a quelques années, la «Danse des négrillons» de La Bayadère, la renommant pudiquement «Danse des enfants». Je vous en avais par ailleurs cité l’un ou l’autre exemple que vous pourrez retrouver, notamment, dans cette notule.

Le phénomène frappe même, désormais –temporairement ?-, les Rolling Stones –les mauvais garçons se seraient donc assagis avec l’âge ! -. De fait, à l’occasion de leur actuelle tournée américaine. Ils ont supprimé l’un de leur hit majeur de leur setlist -cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-. On verra ce qu’il en sera lors d’une future tournée européenne ! C’est à lire ici.

Je suis affligé…

Playlist accompagnée

Aujourd’hui, afin développer un peu la technique encore très fruste de mon jeu de guitare, j’accompagne cette playlist des « plans blues » –le blues est une succession de plans sur douze mesures, et l’on peut facilement les accoler dans à peu près n’importe quel ordre, pourvu qu’on respecte le schéma formel d’enchaînement d’accords : ça sonne toujours bien ! C’est très pratique ! -que je commence à appréhender avec mon patient professeur.
Ça change un peu des gammes dans tous les sens auxquelles je m’astreins lorsque j’ai un peu de temps disponible…

Cela me permet, en outre, de profiter de ces quatre excellents albums, tous enregistrés par des maîtres du genre ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Playlist « Impressionnisme musical »

Après une semaine de disette totale pour mes oreilles, j’écoute depuis tôt ce matin une playlist composée d’oeuvres généralement décrites comme « impressionnistes » de Claude-Achille DEBUSSY, musicien que je connais assez peu et que j’ai bien du mal, en réalité, à totalement apprécier. Pourtant, ce coffret-anniversaire « tout Debussy » est constitué de versions généralement très recommandables, et ce ne sont donc pas les interprétations des oeuvres qui sont à mettre en cause. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

En fait, en dehors de « La Mer », que j’aime beaucoup, il y a plein de choses qui m’échappent dans cette musique : les oeuvres pour piano avancent lentement au risque du sur-place –malgré de très beaux moments, je m’y ennuie en définitive assez vite-, je n’aime pas ses mélodies pour voix et piano -ici, c’est essentiellement lié à mon peu d’attrait pour ce genre plus qu’à la production du compositeur-.
A la limite, son opéra « Pelléas et Mélisande » est encore ce qui parle le plus à mes oreilles, et, cependant, il ne s’y passe pas grand-chose non plus -j’ai eu du mal à rester éveillé jusqu’au bout lorsque je l’ai vu/entendu à l’opéra il y a quelques années, ce qui m’arrive très rarement…-, même si certains passages musicaux sont, en effet, d’une beauté ineffable.
Ainsi autant j’aime énormément Ravel et Satie, autant Debussy me laisse dubitatif.

Serais-je insensible aux charmes de l’impressionnisme musical ?