Suite et fin de cette série, avec du lourd : 3 albums représentant 6 disques de 180 grammes ! On dépasse donc allègrement le kilo, et on doit en réalité tourner autour du double si l’on rajoute le poids des pochettes cartonnées… –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Et puisque nous sommes dans les chiffres, le couvre-plateau que je souhaite changer par un autre anti-statique mesure en réalité 3 mm d’épaisseur, qu’on se le dise ! Le nouveau que j’ai commandé fera la même épaisseur –on en trouve de toutes les matières et de toutes les épaisseurs entre 1 et 3 mm, ce qui permet de respecter l’angle d’attaque vertical sans avoir à ajuster la hauteur du bras, d’autant que toutes les platines n’offrent pas cette possibilité-.
Comme nous sommes dimanche que tout le monde est réveillé, j’en profite pour suivre le conseil prodigué sur l’album des Cure : « This music has been mixed to be played loud so turn it up » !
Cette année, sous le sapin, les nains et leur soeur avaient déposé de quoi alimenter le cadeau qu’ils m’avaient offert lors du Noël précédent, et que j’avais commencé à modifier quelques mois plus tard. Je suis d’ailleurs en train d’envisager une autre source de modification à peu de frais –un couvre-plateau en liège pour remplacer celui en feutrine qui s’accroche assez systématiquement lorsqu’on enlève un disque sous l’effet de l’électricité statique-, il faut que je mesure l’épaisseur qui me sera nécessaire –a priori entre 1 et 2 mm-. J’en profite aujourd’hui, et si rien ne m’est inconnu, tout convient fort bien à mes oreilles délicates. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Tous ces LP sont très bien pressés, et trois d’entre eux sont en 180 grammes. Trésor de Janvier a préféré l’album de Lou Reed, parce que le disque, « trop classe » selon elle, est blanc…
C’est un anniversaire largement célébré et commenté ces derniers jours : le Mac a 40 ans, et, depuis 1984, bien des choses ont changé et évolué, se sont souvent alourdies, mais le principe de base initié dès cette époque reste le même : un bureau virtuel où l’on collecte des feuilles et des objets !
Si vous souhaitez vous amuser à remonter le temps et à tester un à un chaque système depuis la création de System 1, vous pouvez vous rendre sur ce site, très bien réalisé !
Quant à moi, j’ai débuté sur le Système 6 à la fin des années 80 –cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-, suis resté longtemps sur les systèmes 7 et 8 avant de passer, parmi les tout premiers, sur MacOS X. Je vous raconte tout cela sur cette page !
On garde les mêmes, mais on abonde… en écoutant certains des singles, ou SP –Short Playing,disques vinyles 2 titres d’un diamètre de 17 cm pour les moins de quarante ans qui n’ont pas connu cet objet– qui étaient sortis parallèlement aux cinq albums –LP, pour Long Playing-, ou un peu après présentés, lors des deux notules précédentes -la période couvre les années 1963 à 1968-.
La jungle des singles est encore plus indescriptible que celle des albums, chaque pays ayant des couplages parfois différents, sans même parler des pochettes, où c’est un grand n’importe quoi, les photos d’illustration n’étant pas toujours contemporaines de la date de parution d’un single. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand.
Poursuivons donc cette aventure débutée il y a peu de temps, avec cette deuxième playlist consacrée à l’écoute de tous les albums des Rolling Stones dans l’ordre chronologique de leur parution.
Les deux albums du jour, « Aftermath » –1966– et « Between The Buttons » –1967– sont écoutés intégralement dans leur version anglaise, complétée de l’écoute des titres sortis en sigles, qui figurent sur l’édition US : « Paint It, Black » sur « Aftermath », qui ne conserve par ailleurs que 11 titres sur 12 ; « Let’s Spend The Night Together » et « Ruby Tuesday » sur « Between The Buttons ». –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Rappelons que, généralement, les versions UK sont à privilégier aux versions US, et c’est encore plus vrai pour ces deux albums, qui sont les premiers à ne proposer que des chansons originales signées Jagger – Richards. Les musiciens ont achevé leur période « assimilatrice » des standards du blues et les déposent provisoirement de côté pour aborder leur première période créatrice, d’inspiration plus pop : ces deux albums s’inscrivent totalement dans le « Swinging London » ambiant propre à cette époque –c’est encore plus vrai pour « Between The Buttons »– et imposent complètement l’image de sales gosses misogynes qui collera longtemps à la peau des membres du groupe. C’est aussi sur ces albums que Brian Jones commence à délaisser peu à peu ses guitares pour prendre possession d’un instrumentarium varié et parfois exotique : sitar, accordéon, dulcimer, kazoo, trombone…
Ce soir, en rentrant, j’ai trouvé dans ma boîte à mail le courrier que vous pouvez découvrir en cliquant sur l’imagette pour la voir en plus grand.
Petit moment d’angoisse avant de découvrir le contenu des 9 pages de calcul reconstituant ma carrière… et, finalement, à quelques euros près, le calcul effectué par le service des retraites de l’État correspond aux projections les plus optimistes que j’avais envisagées en tenant compte des nouvelles modalités liées à la réforme des retraites votée l’an dernier : excellente nouvelle !
Pour l’instant, j’en suis encore à compter les mois, puis, dans quelques temps, une fois la majorité des taches que je me suis fixées avant l’été accomplies, je compterai les semaines, avant de commencer enfin le compte à rebours des jours qui me restent à travailler, au retour des congés d’été : ce seront mes dernières vacances d’actif !
• A.S Dragon – Spanked • Marais – Pièces de viole du second livre – Savall • B.O.F. Love Actually • Schumann – Pièces pour piano – Pletnev
– Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand–
Pour fêter dignement les dix ans de ce blog et, accessoirement, les 60 ans depuis la parution demeure premier LP, je me lance le défi –facile à réaliser…– d’écouter tous les albums de la discographie officielle des Rolling Stones dans l’ordre de leur parution en Grande-Bretagne, et en ajoutant les chansons parues sur certains albums de leur discographie US –jusqu’en 1967, il y a parfois des différences plus ou moins importantes…-.
Première playlist : les trois premiers albums, période d’assimilation des standards du rythm’n’blues noir-américain, mais, également, temps des premières compositions dont certaines sont restées légendaires, comme l’hymique « Satisfaction (I Can’t Get No) ». –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand : les pochettes des albums US sont en petit format-.
A ce premier stade de leur carrière entamée en 1962, les musiciens ont pleinement achevé d’assimiler ce style qu’ils vont imposer à l’Angleterre et jouent vraiment très bien : leurs deuxième album est révélateur, tant dans sa version anglaise que dans ses deux avatars américains.
Ce blog a dix ans (et un mois) cette année ! Après en avoir développé un premier, assez schématique encore, il y a 20 ans, soit à peu près aux prémices des blogs, puis un deuxième beaucoup plus élaboré grâce à Rapidweaver quelques années plus tard, et qui a subsisté plusieurs années, celui-ci a connu plusieurs versions et est passé par différentes applications plus ou moins performantes avant de trouver, il y a environ cinq ans, la forme que vous connaissez actuellement, et qui me convient suffisamment pour ne pas avoir envie d’en changer –jusquà maintenant…– !
Ce blog a dix ans, donc, et compte 1878 notules –avant celle-ci– et ± 2600 commentaires validés, ce qui est peu quand on sait que le filtre anti-spam en a stoppé plus de 50 000.
Quant à savoir si c’est reparti pour dix ans, c’est une autre histoire !
Je retrouve avec plaisir ces disques, témoignages d’oeuvres connues par coeur, mais que je n’avais plus écoutées depuis lustres dans ces versions, pourtant fort belles, mais assez rapidement supplantées par d’autres encore plus à mon goût ! -Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Je m’explique : lorsque j’ai acheté ce coffret, à peu près au moment de sa parution –les notes de pochette disent 1987, je pensais que l’achat était un peu plus tardif-, les séries dites « économiques » n’existaient pas encore, et un tel coffret représentait une somme conséquente pour moi, à l’époque –de l’ordre de 350 à 400 francs soit environ une centaine d’euros en équivalent pouvoir d’achat 2023-. Néanmoins, le contenu justifiait son achat, d’autant qu’il s’agissait alors de la première intégrale CD de ces oeuvres sur mes étagères : j’avais eu en cadeau d’anniversaire, vers 9-10 ans, un coffret LP de ces concertos dont le pianiste était Brendel, sous étiquette Vox Turnabout, de qualité très variable, les orchestres n’étant pas tous fameux…-.
Bref, j’ai beaucoup écouté ce coffret, puis quand sont parues les première séries économiques, à partir de 1988, je me suis tourné vers des versions que j’aimais d’avantage –première intégrale Gilels, première intégrale Kempff…-. A la réécoute, ce coffret est quand même tout-à-fait remarquable : excellent tout jeune pianiste, Leon Fleisher, prometteur mais trop tôt disparu des radars pour raisons de santé et un chef, George Szell –un tyran à grosses lunettes très efficace mais pas très rigolo…– moins raide que dans l’intégrale qu’il enregistra une dizaine d’années plus tard avec Gilels. Etonnamment, ce premier remastering est très bien réalisé, alors que très souvent, les premières rééditions chez CBS étaient très moyennes, à l’instar des pressages européens des LP de cette firme, fort médiocres dans mon souvenir, tout au moins pour la branche classique du label.