Après une journée laborieuse et fastidieuse –ce qui est assez rare en général pour ce qui concerne ce second qualificatif-, il y a bien, dans cette playlist, un album que je ne dois écouter que tous les quatre ans… C’était, aujourd’hui, le jour ou jamais ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
A vous de deviner du quel il s’agit… Je ne vous donne aucun indice, ce serait trop facile sinon 😉 !
C’est une aimable playlist-cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– qui m’aide à patienter en attendant de retrouver, avec impatience et curiosité, cette série mythique dont je vous parlais il y a quelques temps ici.
Ça recommence ce soir, et on verra bien si la magie fonctionne toujours, près de vingt ans plus tard…
Et hop ! Pour entamer le week-end après une autre longue semaine laborieuse –mais avec de vrais beaux paysages d’hiver au gré de mes pérégrinations ces derniers jours-, ce petit blues en forme de leçon de chant, très expressif et vraiment maîtrisé pour un anglais blanc chantant le blues –sachant qu’à la même époque, il était adepte d’un falsetto assez plaintif-, et de rythmique très adéquate, c’est à dire carrée et simple…
Je reste toujours aussi dubitatif quant à « the ancient art of weaving » instauré par les deux guitaristes, mais il paraît que le guitariste en chef aime ça… Pour moi, c’est souvent un grand barnum… –cliquer sur l’image pour la voir en beaucoup plus grand-.
C’est extrait de leur album le plus décrié –ou le deuxième plus décrié ?– mais parmi le plus vendus, allez comprendre ! Ça date du début des années 80 et ce titre mérite largement d’être sauvé, perdu au milieu d’autres parfois très moyens…
Avant le grand rush professionnel de la quinzaine qui s’annonce, vite vite faire le plein d’énergie en retrouvant des valeurs sûres ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Je suis par ailleurs assailli de courriels du disquaire en ligne qui me signale que de très nombreux « beaux coffrets » sont à prix parfois fortement bradés… Vais-je craquer –aka : ai-je encore de la place ou faut-il racheter une colonne, sachant que cette dernière aura plein de trous très moches appelant d’autres achats ?-.
Une playlist qui se passe de commentaires superfétatoires ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Il s’agit-là des quatre premiers albums des Rolling Stones dans leur édition anglaise –il convient de privilégier systématiquement les éditions UK aux éditions US, beaucoup moins cohérentes-, écoutés dans l’ordre de leur parution entre 1964 et 1965.
A l’époque de la sortie du premier, la très sérieuse revue Gramophone le critiquait ainsi, dans la section « Jazz » du magazine : « They play a kind of negro music in a far more idiomatic way than the Beatles, and with lot more technical skills ». Soit : « Ils jouent un genre de « musique nègre » de manière beaucoup plus idiomatique que les Beatles, et avec beaucoup plus de compétences techniques ».
Ce qui n’est sans doute pas faux si on compare l’extrait ci-dessous avec une chanson du genre « Love me do », beaucoup plus édulcorée –et aux paroles sans aucun des arrière-plans vaguement salaces, pour l’époque, entendus ici-.
Playlist variée en ce brouillardeux jour d’automne ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Je profite par ailleurs d’un peu de temps libre pour mettre à jour ma wishlist de Noël sur Amazon Italie : très bonnes affaires à faire là-bas en ce moment, entre 30 et 50% moins chers que les prix affichés dans les autres boutiques de l’enseigne… Avis aux amateurs !
Hier, en cherchant tout autre chose, je suis tombé sur cette petite vidéo : je ne savais pas que le plus connu des groupes allemands avait commis des reprises de chansons célèbres… Ils auraient aussi bien pu s’abstenir, sur ce coup-là : c’est lourd, monolithique et sans le début de commencement d’un minimum de finesse nécessaire au traitement de cette très jolie chanson –arrgghhh ! la batterie qui souligne les paroles à la fin du refrain, c’est d’un convenu !!!-.
Voici donc la copie :
Et, à présent, la version originale, bien préférable à mes oreilles, avec de beaux arrangements de Brian Jones –flûte, violoncelle– :
Aujourd’hui, n’ayant aucune envie très particulière autre que d’écouter de jolies choses, je me suis donné comme thème «Pochettes rouges». Ainsi, cela m’a conduit à la constitution de cette playlist, des plus avenante finalement, pour accompagner une partie de la matinée, qui va durer longtemps, passage –mortel– à l’heure d’hiver oblige…
Après tout, un certain joue le jeu du classement alphabétique pour entretenir ou raviver sa curiosité, pendant qu’un autre passe en revue, chaque dimanche, le Top 50, pour égayer ses matinées de quelques séquences léguées à la postérité –ou pas !?!-, alors, pourquoi ne pas arrêter une démarche ludique ? –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.
Petit jeu amusant, donc, qui m’a ramené –tout-à-faitfortuitement, bien sûr– vers mes deux groupes favoris pour deux albums que j’ai toujours bien aimés. D’abord et surtout « Tattoo You », qui jouit d’une réputation plutôt flatteuse –si tard dans leur carrière : 1981, pensez-vous !– et, à mes oreilles au moins, pas usurpée ! La construction sur deux faces –33T oblige : le CD n’était encore qu’au stade de brouillon-, à l’époque, opposait une face A rapide à une face B -la meilleure à mon avis- plus lente. La tournée associée à cet album reste mon premier souvenir d’un concert des Rolling Stones –exactement : le dimanche 13 juin 1982, à Paris, déplacement à 4 dans une vieille R5…-.
« Kiss me kiss me kiss me » reste l’un des albums les plus ambitieux de The Cure –parution sous la forme d’un double 33T– : c’est très varié, alternant les megatubes comme « Just like heaven » et des chansons non moins belles, mais un peu restées dans l’ombre comme « If only tonight we could sleep », cette dernière bénéficiant d’une longue introduction à la guitare, plaintive et torturée.
Quant à Heather Nova, elle jouit d’une certaine popularité au tourment du millénaire, possède une jolie voix, chante des textes inspirés sur de belles mélodies, bien arrangées –cf. l’extrait en écoute ci-dessous-, même si elle est un peu oubliée, semble-t-il, de nos jours.
Enfin, la symphonie « Pathétique » de Tchaikovsky par Guido Cantelli est tout simplement formidable, dans un son plus qu’honorable de 1953, et entretient le souvenir d’un immense chef disparu trop tôt –à 36 ans, dans un accident d’avion– et que Toscanini voyait comme son successeur.
Pourquoi le jour d’avant ? Parce que, comme l’année dernière à la même époque, demain, je serai un peu plus vieux… Du moins, c’est ce qu’indiquent le calendrier et l’état civil !
Pour affronter le temps qui passe, cette playlist fera tout-à-fait l’affaire, dans un premier temps… –Cliquer sur les images pour les voir en grand-. Et demain, vous aurez droit à une jolie surprise –et un repas convivial concocté par moi-même, auquel il faudrait que je commence à réfléchir un peu…– pour fêter cet événement –moi aussi, si ça se trouve, j’aurai droit à des surprises 😀 – !
Et puisqu’on en parle, aujourd’hui, en guise de surprise –mauvaise, très mauvaise, pour le coup !-, j’ai été confronté à un vrai gros bug de Quark XPress dans le nouvel OS X, qui le rend à peu près inutilisable sans risque de tout perdre à n’importe quel moment…
Une mise à jour semble s’imposer –et il y en a une à faire, en effet, je viens de le vérifier : plus de 400 Mo, ce qui est finalement assez peu selon les normes actuelles, mais quand on pense que la version complète de Quark XPress 3 tenait sur deux disquettes dans les années 90, on est en droit de s’interroger !-. Du coup, je suis passé temporairement à InDesign, que je hais que j’exècre que j’abhorre…