Dans la boîte, encore…

Après avoir passé en revue certains titres du dernier album de Cure, l’excellent « Songs Of A Lost World », je m’attache en ce moment à essayer de mettre en boîte certains titres du dernier album des Rolling Stones, « Hackney Diamonds », non moins excellent. C’est, globalement, plus difficile, les rythmes sont moins monolithiques et la basse y est traitée complètement différemment. Evidemment, on est, ici, loin des lignes de blues des débuts du groupe, mais assez proche par moment de la ligne de basse de « Miss You » !
Voilà donc un titre qui m’aura donné du fil à retordre et que j’ai travaillé assez longuement, et par séquences à vitesse d’abord réduite, pour parvenir à mes fins ! Au bout du compte, il me semble que c’est désormais suffisamment au point pour être présenté !

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Sur un air de coupe du monde (98) !

La semaine dernière, je me suis amusé à accompagner « Hotel California », des Eagles, à la basse : c’est assez simple en réalité.

Les jours suivants, en cherchant à jouer d’autres morceaux se fondant sur le même modèle de Power Chords –fondamentale/quinte/octave– j’ai travaillé ce petit morceau, qui propose une chouette progression harmonique qui se répète à l’infini, un joli rythme syncopé et qui devrait rappeler quelques souvenirs aux plus de 40 ans !

Ce fut un tube, cet été-là, dans une version un peu différente… Souvenirs souvenirs !

Dans les prochains jours, petit retour aux sources avec quelques blues : Parachute Woman –The Rolling Stones– et Yer Blues –version Dirty Mac– !

Et hop ! Une autre mise en boîte !

Généralement, j’apprécie modérément Led Zeppelin, et toujours à dose réduite tant la batterie de John Bonham occupe l’espace et me tape sur le système !

Mais cette chanson : « The Rover », extraite du double LP « Physical Graffiti », paru en 1975, mais qui fait partie des sessions d’enregistrement de « Houses Of The Holy », je l’aime beaucoup et, de plus, elle reste très accessible à la basse –il suffit de planter des clous en rythme (essentiellement en croches sur le couplet), mais le refrain est plus intéressant… et de toutes manières, la batterie couvrirait d’éventuelles fausses notes si j’augmentais le volume de l’enregistrement !!!

Et hop ! C’est dans la boîte !

Le dernier album des Cure, « Songs Of A Lost World », outre qu’il est meilleur à chaque écoute, comporte quelques chansons dont les lignes de basse tombent vraiment très bien sous les doigts et sont simples à jouer, mais redoutablement efficaces !
Le plus difficile est de trouver le bon réglage de l’ampli –le mien est loin d’être exceptionnel et commence à dater quelque peu…– pour ajuster au mieux le son… Je vous en propose une à titre d’exemple !

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Playlist « Pause Pop, tiercé gagnant » !

Entre plusieurs séries en cours -chronologique, défi des dix ans, anthologies orchestrales des deux Richard…- je m’accorde une jolie pause pop avec la playlist de ce jour, composée des trois meilleurs albums  –à mes oreilles, et dans l’ordre de parution : ***** ; **** ; *****– aux superbes pochettes –à mes yeux : cliquer sur l’image pour la voir en plus grand– de Supertramp, dans sa formation la plus fructueuse –avant et après, le groupe a connu un certain nombre de changements de personnel-.

Après des années de disette pour le groupe, ces albums se sont tous vendus comme des petits pains, notamment le dernier, grâce auquel Supertramp connut une popularité à travers le monde entier –au moins trois singles classés simultanément dans les charts un peu partout-. C’est le plus « pop » des trois disques, les deux autres lorgnant parfois du côté du « Prog-Rock », mais de manière suffisamment éloignée pour ne pas m’en éloigner –c’est un genre que je déteste cordialement en général-.

Techniquement, tous ces albums méritent d’être distingués : ils sont tous très bien enregistrés sans donner dans le spectaculaire et bien produits et réédités en CD –livrets avec paroles pour chaque disque, iconographie…-. Ils ont tous bénéficié d’une remastérisation de qualité, qui les rend encore plus agréables à écouter, notamment à fort volume !
En revanche, la réédition en vinyle –Picture-Disc– de « Breakfast In America est à éviter : c’est un joli certes un joli objet, mais rien de plus et le son est altéré du fait même du procédé.

Je n’y avais jamais fait attention auparavant, mais une écoute un peu concentrée permet de constater que certaines lignes de basse s’avèrent réellement intéressantes, très mélodieuses et tombent étonnamment bien sous les doigts. Ce n’est pas très audacieux harmoniquement, mais le rythme est souvent plus complexe qu’il n’y paraît et c’est généralement très joli lorsque joué de manière autonome, sans accompagnement !

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Changement de technique…

A partir de dorénavant, j’ai décidé de m’astreindre à changer de technique de jeu à la basse, en utilisant un mediator plutôt que le traditionnel jeu aux doigts que j’ai toujours employé. Pour tout le répertoire pop-rock, le jeu au mediator est tout-à-fait adapté et il permet, a priori, de réaliser ponctuellement des accords difficilement réalisables aux doigts.
Bientôt, pour la plus grande joie du voisinage, je pourrai vrombir à la manière de Lemmy Kilmister !

Pour me motiver, j’envisage même l’achat de cette nouvelle basse, relativement mythique et parfaitement adaptée aux petites mains –diapason court, ou short scale-, et actuellement disponible en copie de qualité à coût raisonnable. –Cliquer sur l’image du dessous pour la voir en plus grand-. La couleur est en cours de négociation avec TheCookingCat…

Devinette un peu difficile : la solution !

J’avais soumis à votre sagacité cette devinette, restée en rade depuis quelques temps déjà, et que j’avais quelques peu oubliée. Mon immense talent de bassiste ne vous a pas permis de trouver la solution, que je vous livre à l’écoute ci-dessous !

Vous n’écouterez plus jamais cette ligne de basse de la même oreille désormais !

Défi des vacances -pour les doigts-

C’était le défi de la quinzaine que m’avait proposé mon prof : apprendre si possible cette chanson à la basse pendant nos vacances, sachant qu’elle sort un peu du lot de ce que je joue généralement : du blues et du rock assez basique, où l’accompagnement par la basse est généralement assez simple.

Ici, la chanson est structurée en quatre parties, elle est assez mobile et variée rythmiquement et comporte des glissandi et des hammer on.
La première débute à 00’40 –la dernière mesure de cette partie peut être jouée en croche ou en noire– ;
la deuxième débute à 01’20 –c’est une partie que l’on peut effectuer en slap, technique que je ne maîtrise pas encore et, de toute manière, avec la basse acoustique que je vous ai présentée l’autre jour, c’est impossible, le tirant des cordes est beaucoup trop souple…– ;
la troisième apparaît à 01’38 ;
(Retour partie 1)
la dernière commence à 02’30
(Enchaînement partie 3 puis partie 1)

Et voilà le résultat ! -le niveau d’enregistrement est assez bas- Défi relevé ?

Devoirs de vacances -pour les doigts et les mains…-

J’ai dégotté, en occasion, cette basse électro-acoustique « short scale » –diapason court pour les experts et les petites mains : c’est plus difficile à trouver que je l’avais imaginé de prime abord…-. Elle est facilement transportable et je pourrai donc l’emmener en vacances –départ : après-demain– pour me dégourdir les doigts et les mains, sans avoir à trimballer, de surcroît, un ampli volumineux et toute sa câblerie…

La basse est arrivée hier, accompagnée de sa housse, dans un volumineux carton aussitôt déposé en déchetterie –le carton, pas la basse ! -, et se montre très agréable à jouer, avec un son doux et chaleureux, même lorsqu’on la branche sur un ampli –mais moyennant un câble suffisamment long (3 mètres au moins) pour éviter le larsen lorsqu’on souhaite monter le volume ! -. En revanche, le tirant des cordes est assez faible, longueur du manche oblige, sans doute. Si nécessaire, je les changerai plus tard, peut-être même pour des cordes en nylon. –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Pour les pieds, quelques longues balades sur les digues de bord de mer seront tout-à-fait idéales !

Retour aux sources…

Avec l’installation dans l’automne et histoire de me dégourdir les doigts, je me suis offert il y a quelques temps un nouveau jouet assez sympathique : une basse à diapason court, qui ménage un peu mes petites mains ! –Cliquer sur l’image pour la voir en plus grand-.

Il faut dire que mon ancienne basse, que j’avais prêtée de longue date à Nain Junior, m’est revenue dans un triste état lorsque j’ai voulu la récupérer : housse de transport perdue (!!!), potentiomètre de tonalité hors service, attaches de sangle perdues et, sans doute, manche à rectifier… Sans compter que je lui avais demandé de changer les cordes en nylon par un jeu de cordes métalliques à filet plat, ce qu’il n’a évidemment pas fait !

Bref, beaucoup travail à y effectuer, et , surtout, après mon passage par la guitare, un manche qui me paraissait désormais gigantesque –d’où le passage au diapason court : le manche est plus court d’une dizaine de centimètres et la longueur et le tirant des cordes sont adaptés à cette longue raccourcie– ! Le confort de jeu est excellent, parfaitement adapté à des mains de petite taille et les micros procurent de belles sonorités, d’autant que je gagne la possibilité d’effectuer des réglages plus nombreux et plus précis.

Depuis, je m’y remets avec bonheur et j’ai plusieurs partitions en stock pour faire travailler mes doigts !

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